LE " VIH " NA JAMAIS ÉTÉ ISOLÉNamur Le 12 octobre 2002.
Dans les cercles de la dissidence du Sida, vous entendrez souvent laffirmation selon laquelle le VIH na jamais été isolé. Cette affirmation est catégoriquement rejetée par lorthodoxie bien pensante comme appartenant au domaine de lhérésie. Elle est souvent débattue dune manière quelque peu laborieuse par les dissidents, la difficulté provenant du fait que le mot " isolement " ne reçoit pas toujours la même définition. Pour mieux comprendre ce débat, nous allons passer quelques instants à revoir ensemble ce quil faut entendre, en virologie classique, par les mots " isolement" et " purification ". Sur base de quoi, nous conclurons sur lapplication de ces termes dans le cas spécifique du VIH. En pathologie expérimentale, travaillant sur des poulets ou sur des souris bien sélectionnés, plusieurs maladies comprenant diverses formes de cancer et de leucémie peuvent êtres transmises par linjection à ces animaux de " filtrats acellulaires ". Ces filtrats étant totalement dépourvus de cellules et de bactéries, de telles expériences permettaient de faire une distinction claire entre la transmission dun cancer par greffe cellulaire, ou par des facteurs infra microscopiques comme les virus. De tels filtrats étaient obtenus par diverses techniques dultrafiltration, techniques qui éliminaient complètement la présence de cellules entières ou de bactéries. Si, par surcroît, lactivité de tels filtrats étaient concentrée par centrifugation à haute vitesse, maintenue après stockage à basse température, mais perdue par chauffage à 65-68°, on pouvait raisonnablement conclure que la maladie en question avait été transmise par un virus. Et lon pouvait affirmer que le virus incriminé avait été " isolé ". Cest une telle approche méthodologique qui avait permis à Peyton Rous d " isoler " le virus du sarcome des poulets, et à John Bittner d " isoler " le virus des tumeurs mammaires de la souris, tout cela bien avant linvention et la mise en application de la microscopie électronique à la virologie expérimentale. Lorsque des expériences similaires sont faites, non plus sur des animaux de laboratoire mais sur des cultures cellulaires, on peut démontrer l " isolement " dun virus, résultat qui repose alors sur lobservation au microscope de diverses altérations cellulaires, comme la formation de cellules géantes pluri-nuclées. Et ce sont des expériences de ce type qui ont permis au groupe de recherche de Luc Montagnier, à lInstitut Pasteur en 1983, disoler un rétrovirus initialement appelé LAV et rebaptisé " VIH " peu après. La difficulté dinterprétation, dans le cas de la découverte du groupe de Montagnier, provenait du fait que les cultures cellulaires utilisées étaient très complexes, comprenant en fait un mélange de plusieurs types cellulaires, dont certains sont bien connus comme étant des porteurs chroniques de rétrovirus. Il y a bien eu " isolement " dun rétrovirus, soit. Mais il ny avait aucune preuve que cet " isolement " ait le moindre rapport avec linfection des cultures cellulaires par des extraits provenant dun malade sidéen. Bref, il y avait eu probablement " isolement " dun rétrovirus, mais il ny avait aucune raison de prétendre que ce virus provenait du malade, et donc aucune raison de lappeler VIH, ce qui nous fait revenir au titre de ma présentation : le VIH na jamais été isolé ! Mais il y a un autre problème lié à linterprétation de ce type disolement viral. Le problème étant que ce type disolement ne permet, en aucune manière, didentifier avec certitude des molécules que lon pourrait considérer comme des " marqueurs " moléculaires spécifiques du virus. Car, en effet, pour identifier avec certitude des molécules que lon pourrait considérer comme des " marqueurs " spécifiques dun virus, ce virus doit dabord être hautement purifié, cest-à-dire séparé de toute contamination par des débris cellulaires ou bactériens. Le succès dune telle purification doit être rigoureusement testé, faute de quoi lidentification de prétendus " marqueurs " est une fraude scientifique grave. Cest ici que la microscopie électronique prends un rôle essentiel, car pour tester le succès dune technique de purification, et malgré tout le bruit fait autour des techniques de la biologie moléculaire, elle reste la seule méthode qui permette de démontrer que les particules virus ont été avec succès séparées de toute contamination dorigine cellulaire, bactérienne ou mycoplasmatique. Lorsque ce contrôle est satisfaisant, et alors seulement, on peut affirmer que le virus a été purifié avec succès, et cest seulement à partir de tels échantillons que lon peut identifier diverses molécules (protéines, enzymes ou acide nucléiques) qui pourront effectivement êtres considérées comme des " marqueurs " spécifiques du virus. Deux méthodes ont été employées avec succès pour purifier les virus. Lune est basée sur lultrafiltration, lautre sur la centrifugation à grande vitesse dans des gradients de densité. Dans mes recherches sur les virus des leucémies de souris (la leucémie Friend), jai employé une combinaison des méthodes dultrafiltration et de centrifugation qui nous avait permis de démontrer, en 1965, un degré remarquable de purification du virus de Friend (1). Je nai jamais employé les techniques de gradients, employées cependant avec beaucoup de succès par dautres auteurs dont les travaux avaient clairement démontré que les virus cancérigènes à ARN (comme on les nommait avant 1970) sédimentaient tous, en sucrose, à la densité de 1.16 gm/ml. Le problème de la méthode des gradients était cependant clair : il était bien reconnu que de nombreux débris cellulaires, comme des microvésicules, sédimentent également à cette densité magique de1.16gm/ml. Récolter du matériel à cette densité ne suffit donc pas pour proclamer lisolement dun rétrovirus, loin de là ! La nécessité de contrôler labsence de débris cellulaires par la microscopie électronique est donc une nécessité absolue, fait qui avait été clairement réaffirmé en 1973, à lInstitut Pasteur, lors dune conférence importante qui traitait exclusivement des méthodes de purification des rétrovirus (2). Avant denvisager limplication de ces remarques au prétendu " isolement " du VIH, il nous faut revenir sur un événement capital qui prit place en 1970, cest-à-dire la découverte par Temin (3) et par Baltimore (4) de la transcriptase inverse (cest-à-dire de la synthèse dADN à partir dun modèle ARN). Cétait une révolution en biologie moléculaire que de comprendre lactivité de cette enzyme que lon a fort judicieusement appelé la transcriptase inverse (RT). En 1970, la transcription de lARN vers lADN était certainement une découverte surprenante. Une découverte qui fournissait une explication très séduisante au mécanisme daction possible des virus cancérigènes à ARN ! La transcription inverse navait jamais été observée en biologie avant 1970, et lintérêt pour cette découverte fut tel que lon décida, peu après, de re-baptiser les virus cancérigènes à ARN sous le nom de rétrovirus Mais où était le problème ? Le problème était que Temin et Baltimore navaient, ni lun ni lautre, vérifié la pureté des échantillons de virus dans lesquels ils avaient identifié lactivité enzymatique en question. Or, peu de temps après leurs publications de 1970, il devenait évident que la transcription inverse était un phénomène tout à fait courrant en biologie, comme la récapitulé Varmus en 1987 (5). Dès 1971 (6), il apparaissait que la transcription inverse était commune à un grand nombre de cellules animales, ainsi que de bactéries (7). Dès lors, avant de considérer lenzyme comme un marqueur rétroviral, il eut été nécessaire de répéter les expériences de Temin et de Baltimore sur des échantillons dont le degré de purification aurait été vérifié, afin dexclure la présence de débris cellulaires qui pourraient, à eux seuls, expliquer la présence dune activité de transcriptase inverse. A ma connaissance ces contrôles nont jamais été effectués, et lenzyme est considérée depuis 30 ans, comme le principal marqueur des rétrovirus ! Dans larticle historique publié par Barré-Sinoussi, Chermann, Montagnier et collaborateurs (8) et dans lequel lisolement dun rétrovirus était annoncé, la détection de lactivité enzymatique (RT) dans une fraction sédimentant à 1.16gm/ml était la clé de la démonstration dun rétrovirus. Or nous savons maintenant que cette enzyme nest pas un marqueur spécifique des rétrovirus ! Et nous savions depuis bien longtemps que les fractions 1.16gm/ml contiennent une abondance de débris cellulaires parfaitement capable dexpliquer la présence de lactivité enzymatique Larticle de Barré-Sinoussi faisait également grand cas dune image en microscopie électronique illustrant des rétrovirus bourgeonnant à la surface dun lymphocyte. Limage était interprétée comme la preuve de linfection des cellules en culture par lextrait en provenance du patient. Ce que larticle omettait de considérer cest que les cultures étaient mélangées avec des lymphocytes provenant du sang du cordon ombilical, et que le placenta humain était connu, depuis plusieurs années (9), comme un tissu exceptionnellement riche en rétrovirus endogènes (HERVs). Bref, larticle considéré dans le monde entier comme la référence de base sur lisolement du VIH repose sur trois erreurs méthodologiques : 1) Ne pas avoir vérifié la présence de débris cellulaire dans les fractions, 2) avoir ignoré lactivité enzymatique de ces mêmes débris cellulaires, et 3) avoir ignoré la présence de rétrovirus endogènes dans les cellules en culture. Cet article peut être considéré comme la démonstration dun rétrovirus, probablement endogène aux cultures cellulaires utilisées. Mais Il ne peut pas être présenté comme la preuve de lisolement dun rétrovirus provenant dun patient sidéen. Il a fallu attendre 15 ans pour que les premiers contrôles expérimentaux soient effectués, dans deux laboratoires, lun aux Etats-Unis (10), lautre en France (11). Ces deux laboratoires ont publié conjointement, dans Virology, leurs résultats détude au microscope électronique de gradients obtenus de cultures cellulaires supposées produirent le VIH. Dans les deux cas, les auteurs ont observé une abondance de débris cellulaires, sans aucune évidence acceptable de particules rétrovirales. À peu près au même moment, Luc Montagnier fut interviewé par Djamel Tahi et finit par admettre quen effet, le VIH navait jamais été purifié dans son laboratoire (12). Il est intéressant à noter que dans larticle provenant de Pasteur en 1973, il était clairement indiqué quune activité de transcriptase inverse est présente dans les débris cellulaires. Aussi incroyable que cela puisse paraître, cest dans ce même laboratoire de lInstitut Pasteur que, dix ans plus tard, en 1983, le rôle des débris cellulaires a été ignoré, mettant la recherche sur le sida sur une fausse piste pour les 20 années à venir Avant de conclure, je voudrais ajouter quelques remarques relatives à dautres " marqueurs " moléculaires, relatives également aux prétendus isolements génomiques basés sur les techniques du PCR, et relatives enfin à labus de la crédibilité du public par des images, embellies par ordinateurs, qui sont sensées représenter le VIH. Autres marqueurs moléculaires. Ne revenons pas sur la transcriptase inverse qui a déjà retenu largement notre attention. Plusieurs protéines, prétendument dorigine rétrovirale, sont fréquemment utilisées comme " marqueurs " spécifiques, par exemple p24. Le doute, déjà ancien, sur la spécificité de ce marqueur a été clairement analysé récemment par Fabio Franchi (13) qui souligne labsence de toute correspondance entre les résultats obtenus avec p24, et les mesures de la prétendue " charge virale " sensée être mesurée par PCR. Dautre part, on ne peut manquer dêtre troublé en apprenant que 50 % des chiens, testés par le Western blot, réagissent positivement avec une ou plusieurs des protéines de VIH obtenue par recombinaison génétique, telles que gp120, gp41, p31, et p24 (14). Labsence de spécificité de ces prétendues protéines structurelles du VIH a été clairement démontrée, il y a près de 10 ans, par Eleni Papadopulos et le groupe de Perth dans un article classique publié en 1993 dans Nature/Bio-technology (15). Les conclusions de ces auteurs étaient on ne peut plus claires, mais ont été prudemment ignorées par lorthodoxie du sida. Un constituant des cellules normales tel que lactine correspond vraisemblablement à gp41, alors que gp120-160 correspondent probablement à un oligomer de gp41. De toute évidence, la présence de débris cellulaires explique facilement la présence de prétendus " marqueurs " rétroviraux. Et tous les soi-disant succès disolement du VIH sexpliquent facilement par des applications abusives de marqueurs non-spécifiques. Comme nous lavons déjà souligné, les marqueurs spécifiques font totalement défaut puisque personne, même pas Montagnier (!), na jamais réussi à purifier le VIH. Marqueurs géniques et mesure de la charge virale par PCR Cette approche pourrait, en principe, paraître plus attractive pour deux raisons : 1) elle sapplique directement au sang des patients, évitant ainsi toutes les incertitudes qui planent autour des cultures cellulaires, et 2) les méthodes sont prétendument quantitatives. Et cependant Sachez quil na jamais été possible de visualiser, au microscope électronique, la moindre particule rétrovirale dans le sang de patients sidéens, même si on sélectionne des patients présentant une charge virale très élevée (16). En outre, il paraît probable que les techniques du PCR sont susceptibles damplifier de petits fragments dARN provenant de fragments géniques de rétrovirus endogènes, qui sexprimeraient plus abondamment dans des conditions de stress. Il faut savoir que plus de 2% du génome humain sont représentés par des séquences rétrovirales endogènes (17, 18). Mesurer la prétendue " charge virale" par PCR pourrait bien navoir aucun lien avec la mesure quantitative dun prétendu VIH exogène. Enfin, noublions pas labsence de toute corrélation entre les mesures dites de la charge virale et celles du nombre de molécules de p24 dans le sang circulant des malades. Noublions pas non plus que Karry Mullis lui-même, le découvreur de la technique du PCR qui reçut pour cela le prix Nobel en 1993, rejette catégoriquement toute application de " sa " technique du PCR à des mesures quantitatives du VIH (19). Labus des belles images. Vous pouvez trouver, dans les journaux et magazines du monde entier dadmirables images, hautes en couleurs totalement artificielles, qui sont sensées représenter le VIH lui-même, embelli par ordinateurs. Publier de telles images, cest porter à lattention du grand public et des médecins un message apparemment limpide et clair : le VIH a effectivement bien été isolé puisquon peut le voir et le portraiturer au microscope électronique ! Cest là un énorme mensonge ! Toutes ces images proviennent de cultures cellulaires. Aucune ne provient directement dun seul malade sidéen (20), même si on sapplique à sélectionner des patients étiquetés comme présentant une charge virale élevée. Luc Montagnier lui-même a décrit les cultures cellulaires très complexes utilisées pour le VIH comme de vraies soupes de rétrovirus (12) ! Et cest bien vrai ! Cest vrai, car tout avait été prévu pour que des particules rétrovirales y apparaissent, et parce que les contrôles élémentaires qui auraient dû faire comprendre lorigine réelle de ces virus nont jamais été faits, ou sils ont été faits nont jamais été publiés ! Ces cultures cellulaires sont toujours mixtes et hyper stimulées. Mixtes, car elles se composent dun savant mélange de plusieurs lignées cellulaires comprenant, par exemple, les lymphocytes du patient plus les cellules H9 de Gallo, cellules qui sont bien connues comme porteuses chroniques de rétrovirus (21), ou des lymphocytes du patient mélangés à des lymphocytes du cordon ombilical qui, dérivant du placenta, ont toutes chances dêtre porteur de rétrovirus endogènes. Un exemple dusage abusif de la force convaincante dune belle image est fourni par larticle classique de Barré-Sinoussi, Pasteur 1983. On y voit une excellente image prise au microscope électronique et représentant des particules de rétrovirus bourgeonnant à la surface dun lymphocyte. Parfait ! Mais les auteurs utilisent cette image pour prouver que ce lymphocyte a été infecté par les virus du patient. Or, rien ne prouve cette interprétation-là ! Tout porte à croire, au contraire, que les rétrovirus endogènes de ce lymphocyte provenant du sang du cordon ombilical ont été activés par les conditions particulières de la culture. Toutes ces cultures mixtes sont par surcroît hyper stimulées par différents facteurs de croissance comme la phytohemagglutinin (PHA), le facteur de croissance des lymphocytes T (TCGF), plus lInterleukin-2, ou plus encore les corticostéroides. Or, tous ces facteurs sont connus comme activateurs de lexpression des rétrovirus endogènes que nous portons tous en nous (18). Faut-il dès lors être surpris dobserver des particules rétrovirales dans de telles " soupes rétrovirales " hyper stimulées ? Non, certainement pas. Il est très troublant de constater que dans cet article historique de 1983, la microscopie électronique na pas été utilisée quand elle était indispensable pour identifier les débris cellulaires, et a été mal interprétée dans le cas des lymphocytes du cordon ombilical Conclusion. En effet, le VIH na jamais été ni isolé, ni purifié. Des particules rétrovirales, très vraisemblablement dorigine endogène, ont été observées en cultures cellulaires, mais leur lien hypothétique avec les patients sidéens na jamais été prouvé, guère plus que leur pouvoir pathogène. Pour des raisons politiques et non scientifiques, raisons sur lesquelles nous nous sommes expliquées ce matin, lorthodoxie du sida a tenté de faire face à cette difficulté disoler directement le virus en inventant plusieurs " marqueurs " moléculaires. Car il fallait sauver lhypothèse VIH=Sida à tout prix (22), même au prix de lintégrité scientifique (23) ! Nous avons vu cependant que ces marqueurs qui manquent totalement de spécificité nont conduit à aucune observation cohérente. Si le sida était effectivement une maladie causée par un rétrovirus, comment se fait-il que 20 ans de recherche naient pas permis disoler le rétrovirus exogène responsable ? Comment se fait-il que ce qui se démontrait si facilement chez la souris soit si difficile à démontrer chez lhomme ? Vingt ans deffort basé sur une seule hypothèse, lhypothèse VIH=SIDA. Vingt ans deffort pour narriver, en 2002, à aucun traitement curatif, à aucun vaccin, et à aucune prédiction épidémiologique vérifiable Ne pensez-vous quil est grand temps de se poser courageusement la question essentielle ? La question étant: lhypothèse VIH=SIDA est-elle exacte ? Car il y a moyen de voir le sida autrement, en dehors du cadre restreint des maladies infectieuses et de la rétrovirologie. Pensons à la toxicologie, à la pharmacologie, à la malnutrition, au stress Et dans cette optique-là, qui est chargée doptimisme, les difficultés rencontrées dans les efforts disolement et de purification du prétendu VIH trouvent une explication simple et totalement désarmante : ces difficultés résultent probablement du fait que le VIH NEXISTE PAS en tant quagent exogène et infectieux. Le doute sur lexistence même du VIH a été soulevé par plusieurs scientifiques depuis plusieurs années (24, 25). Mais, pour lorthodoxie, il fallait rester politiquement correct, même sil fallait inventer le VIH pour tenter de justifier de gros investissements, pour développer dénormes marchés pharmaceutiques, et aussi pour sauver la face ! Noubliez pas le titre du livre que le père de la dissidence du sida, Peter Duersberg, a publié en 1996. Son titre était : " Comment on a INVENTÉ le virus du sida ", en anglais " Inventing the AIDS Virus " Références
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