Official Satellite Meeting
Presentation by
Eleni Papadopulos et al.

Dept. Med. Phys. Royal Perth Hospital, Australia
Dia 10

Ils avait un patient gai, nommé Bru, qui avait une lymphadénopathie.

Des lymphocytes venant des ganglions lymphatiques de BRU ont été cultivés. A la culture, ils ont ajouté beaucoup d'agents stimulants.

Ils ont revendiqué qu'après quelques semaines, ils avaient pu trouver l'enzyme de transcriptase inverse (TI) dans la culture.

En fait, ils n'ont pas prouvé l'existence de l'enzyme, mais seulement de l'activité de transcriptase inverse. C'est-à-dire, la capacité de la culture de faire de l'ADN à partir d'ARN.

Ils ont mis un long bout d'ARN synthétique dans une culture, un modèle d'ARN. A un bout de ce dernier, ils ont attaché un petit morceau d'ADN synthétique, dT15, une amorce.

Le résultat a été qu'un long bout d'ADN s'est avéré avoir été retranscrit de façon inverse à partir de l'ARN.

Ceci a été interprété comme une preuve que la culture et les lymphocytes de Bru ont été infectés avec un retrovirus.

   


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