Official Satellite Meeting
Presentation by
Eleni Papadopulos et al.

Dept. Med. Phys. Royal Perth Hospital, Australia
Dia 17

La raison de ceci, au moins dans le cas de Montagnier, est devenue évidente dans son interview avec Djamel Tahi en juillet 1997. On a demandé à Montagnier, "pourquoi les photographies de microscope électronique publiées par vous [en 1983] viennent de la culture et pas de la purification?". Sa réponse fut, "Il y avait si peu de production de virus qu'il était impossible de voir ce qu'il pouvait y avoir dans un concentré du virus venant du gradient ["virus pur"]. Il n'y avait pas assez de virus pour faire ça. Naturellement on l'a recherché, on l'a recherché dans les tissus au début, de même à la biopsie. Nous avons vu quelques particules mais elles n'avaient pas la morphologie typique des retrovirus. Elles étaient très différentes. Relativement différentes. Ainsi avec les cultures [non purifiées], cela a pris beaucoup d'heures pour trouver les premières images. C'était un effort de romain !... Charles Dauget [ un expert en matière de microscope électronique] a regardé le plasma, le concentré, etc..... il n'a vu rien d'important "(les italiques sont mises par nous).

Quand on lui a demandé si Gallo avait épuré le VIH, il a répondu: "je ne sais pas s'il a vraiment purifié. Je ne pense pas."

Dans ce cas, ça aurait du être le commencement et la fin du VIH.

   


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