Official Satellite Meeting
Presentation by
Eleni Papadopulos et al.

Dept. Med. Phys. Royal Perth Hospital, Australia
Dia 3

Au milieu des années 70, Robert Gallo et ses associés ont revendiqué avoir trouvé la preuve de l'existence du premier retrovirus humain, le HL23V.

Ils ont trouvé une activité de transcriptase inverse dans des lymphocytes non cultivés d'un patient présentant une leucémie.

Quand les fluides débarrassés des cellules venant des cultures de lymphocyte ont sédimentés dans des gradients de densité de sucrose à la densité de 1.16g/ml, ils ont trouvé:

1) Des particules retrovirus-like (c'est à dire du genre retrovirus)

2) Une activité de transcriptase inverse

3) Des protéines qui ont réagi avec les sérums du patient

Les anticorps de HL23V ont été confirmés par Reinhard Kurth et Robin Weiss, qui ont conclu :

"Les études sérologiques présentées fournissent l'évidence indirecte que le mode de transmission infectieux demeure une vraie possibilité chez l'homme, et suggère que l'infection avec un oncovirus [rétrovirus] puisse être extrêmement répandue"

   


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