Voici plusieurs graphiques datés 31/03/2001 et de 2008 du " Bulletin de l’Office Fédéral de la Santé " en Suisse.

 

La première série de tableau montre les tests positifs depuis 1985.

statistiques de seropositivite en Suisse 1999-2008

 

La deuxième série donne les cas de SIDA depuis 1981

Les chiffres de 1981 à 1989 (source Unaids/Who)

Nouveaux cas de sida en Suisse selon l'année du diagnostic de 1981 à 1989
1981 1982 1983 1984 1985 1986 1987 1988 1989
5 5 14 42 120 206 309 464 596

statistique sida en Suisse 1990-2000

En 1993, le nombre de cas de sida aurait du fortement baisser. Mais la définition du SIDA a été changée. Ce qui a permis de doubler le nombre de sidéens. Sans ce changement de définition, en 1993, le nombre de cas de sida aurait été de 336 (de 355 en 1994, et de 368 en 1995), alors qu'il était de 643 en 1992. Bref, il y aurait eu un véritable effondrement des cas par rapport à 1992.

 

Le troisième donne la mortalité depuis 1986.

Notez l’augmentation de la mortalité en 1988, l’année suivante l’introduction de l’AZT. La mortalité a diminuée depuis 1996, l’année suivante la diminution de la dosage de l’AZT et l’introduction des " cocktails " (moins toxique) en 1995.

Ce document officiel déclare : " La diminution du nombre de décès jusqu’à 1998 s’explique par le recours aux nouveaux traitements combinés antiviraux très efficaces ".

D’environ 25,000 tests, il y a une mortalité de 5,000 (depuis 1983 en réalité). Distribution de mortalité : 3875 masculin ; 1144 féminin. La population Suisse est de 7,000,000, et la mortalité annuelle d’environ 70,000. Est-ce que l'on peut vraiment considerer cela comme une épidémie quand la mortalité due au Sida est de moins de 1% de la mortalité annuelle et avec une telle repartition entre sexes ? ? ?

 

Page du Federal Office of Public Health (FOPH) sur le sida en Suisse : les graphiques

Page PDF de graphiques du Federal Office of Public Health (FOPH) : HIV and AIDS in Switzerland 2007

 


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