L'Afrique du Sud se révolte contre l'orthodoxie
du SIDA
Alfredo Embid. Coordinateur de la revue de Médecines
Complémentaires (Espagne).
Bien que les medias le cachent, nous vivons le début
d'une révolution exceptionnelle qui est en train de se
produire en Afrique et qui pourrait enflammer le monde.
Nous pouvons y prendre part en diffusant les informations qui
suivent.
Au cours de l'été 1999, le président d'Afrique
du sud, M. Thabo Mbeki, a rencontré, en visite privée,
le vice-président des Etats-unis, Al Gore. Ce" dernier
entendait lui vendre au rabais de l'A.Z.T.
L'A.Z.T. n'est pas un médicament nouveau mis au point
contre le SIDA. C'est une drogue qui a été utilisée
et abandonnée, il y a plus de vingt ans, dans la chimiothérapie
du cancer, parce qu'elle n'avait pas obtenu l'agrément
de la F.D.A. (Food and Drug Administration) à cause de
son extrême toxicité, bien que toutes les chimiothérapies
soient toxiques.
L'A.Z.T., utilisé dans le traitement du SIDA provoque
l'immunodepression (SIDA), anémie, lymphômes, hépatite,
toxicité, etc. (voir n° 33-34, 43, 45)
L'A.Z.T., mis en question dans le monde occidental pour sa
toxicité, est progressivement abandonné. On cherche
donc à revendre au rabais les stocks du Tiers-monde.
En octobre 1999, le président de l'Afrique du sud, Thabo
Mbeki, a dénoncé la toxicité de cette drogue
dans une conférence qui s'adressait aux gouverneurs des
provinces de son pays, affirmant qu'une "très importante
littérature soulignait sa toxicité" et la considérait
comme "un danger pour la santé".
De surcroît, le président Mbeki a mis en question
la validité de l'hypothèse officielle selon laquelle
le SIDA serait provoqué par le VIH.
En novembre, Le président Clinton promettait que les
Etats-Unis aideraient les pays d'Afrique à s'obtenir "des
drogues contre le VIH".
L'O.N.U. lance alors un programme d'aide au Tiers-monde afin
de traiter à l'A.Z.T. les femmes séropositives et
leurs enfants.
En décembre, la même organisation tire la sonnette
d'alarme à propos de l'épidémie de SIDA qui
frappe l'Afrique et l'U.N.I.C.E.F. s'aligne sur ce discours.
Le 9 janvier 2000, le Conseil de Sécurité de
l'O.N.U. réunit ses quinze membres, pour la première
fois, en une séance extraordinaire afin de débattre
d'un problème sanitaire : le SIDA et ses conséquences
en Afrique.
Al Gore, préside la réunion : l'administration
sollicite une aide financière plus importante du Congrès
américain pour l'Afrique.
Curieusement, ce même mois, M. Mbeki a pris contact avec
le groupe des scientifiques dissidents "Reappraising AIDS"
(www.virusmyth.com) et
les invite à un débat sur le SIDA dans son pays.
En février il annonce la conférence sur le SIDA,
avec la participation des dissidents qui pourront y exposer leurs
arguments.
Il écrit aux chefs d'Etat d'autres pays.
Le 3 avril le président Mbeki écrit au président
Clinton et à d'autres chefs d'Etat pour les informer de
sa position dans l'affaire du SIDA, dénonçant et
critiquant la censure qui frappe le point de vue et l'argumentation
des scientifiques dissidents.
Le 16 avril, le programme "Search for Solutions"
est lancé dans toute l' Afrique (44 pays) par l'intermédiaire
de "Carte Blanche" sur la chaine M-net. Il inclut une
interview de Thabo Mbeki et des extraits d'autres programmes,
réalisés par Joan Shenton et son équipe de
Meditel à propos du SIDA en Afrique. Ces programmes mettent
en question l'hypothèse officielle selon laquelle le VIH
est la vause du SIDA.
Le 19 avril le Washington Post critique vertement, en première
page, l'attitude du président sud-africain.
Et le 30 avril, arrive la réponse officielle, même
si les medias cachent qu'il s'agit d'une réponse à
la dissidence.
Le président Clinton déclare : "Le
SIDA est une menace pour la sécurité des Etats-Unis".
Sa déclaration serait fondée sur une information
du Conseil de Sécurité national et sur un dossier
des services d'intelligence américains.
Le président américain annonce une augmentation
de "l'aide" américaine au Tiers-monde.
Bien entendu affirmer que le SIDA constitue "une menace
pour la sécurité des Etats-Unis" assimile cette
maladie au terrorisme.
Il y quelques années, le gouvernement américain
avait assimilé un autre événement à
"une menace contre la sécurité des Etats-Unis".
Il s'agissait de l'accroissement de la population du Tiers-monde.
Ces faits, très importants, sont liés, bien que
les medias aient occulté leur relation (voir plus loin).
Les 6 et 7 mai derniers la conférence, convoquée
par le président Mbeki, s'ouvre à Prétoria,
réunissant les scientifiques orthodoxes et les dissidents.
Une commission d'experts des deux bords est constituée.
Le débat se poursuivra sur Internet et une nouvelle
réunion aura lieu en juillet.
Le 9 mai, les multinationales pharmaceutiques décident
de réduire le prix des médicaments, supposés
combattre le SIDA, qu'elles proposent à l'Afrique et à
d'autres pays en voie de développement. Il s'agit de ne
pas laisser mourir les Africains sans qu'ils aient auparavant
consommé les produits toxiques que les multinationales
ont de plus en plus de difficultés à écouler
dans les pays riches. La charité américaine est
sans limites !
Les scientifiques qui soutiennent la thèse du VIH exercvent
toutes sortes de pressions pour faire annuler le Conférence
internationale sur le SIDA prévue le 6 juillet à
Durban en Afrique du sud.
Affaire à suivre.
Comment on a inventé l'épidémie
de SIDA en Afrique.
Brièvement :
1) En 1985, sous la pression des services d'intelligence américains
touchant aux épidémies, CDC, EIS (la C.I.A. médicale),
et du CDC d'Atlanta, l'O.M.S. (Organisation mondiale de la santé)
admet, pour les pays sous-développés, un diagnostic
du SIDA, sans aucun test et fondé sur des critères
cliniques intitulés "Définition de Bangui".
Il suffit de répondre à deux des trois critères
suivants pour êtyre" déclaré séropositif :
1) perte de poids de 10% ; 2) diarrhée 3) fièvre
pendant un mois ; un autre critère mineur est la :
toux ! (voir le détail dans le n° 59, "Como se
inventa la epidemia de SIDA en el tercer mundo", Alfredo
Embid)
2) Quant aux tests, ils se révèlent "positifs"
si les sujets souffrent de la malaria, de la tuberculose, de maladies
infectieuses, de malnutrition, d'hépatite etc., même
s'ils ne sont pas infectés (voir http://perso.wanadoo.fr/sidasante/science/scifalse.htm).
Il s'agit alors de faux positifs.
Le test Elisa donne plus de 80 % de faux positifs. Documentation
publiée dans la plus importante revue de médecine
officielle, New England Journal of Medicine, pour ne citer
qu'un article.
Question : Pourquoi continuer à faire un test dont les
résultats sont non-spécifiques ? Réponse :
Il faut bien vendre les stocks.
Le test de confirmation Western Blot, présenté
comme 100% valide, est non-spécifique, comme le démontrent,
dès 1993, les travaux de scientifiques australiens qui
ont été publiées en juin 1993 dans Biotechnology,
une des revues les plus importantes du monde, du groupe Nature
(document que nous avons publié n° 36), sans contestation
ultérieure. (Voir sur aussi sur la non-spécificité
des tests le n° 47).
3) L'interprétation du Western Blot diffère selon
les pays. Exemple : il faut 4 bandes pour être diagnostiqué
positif en Australie mais seulement 2 en Afrique.
Ceci est scientifiquement inacceptable.
On ne peut être classé comme séropositif
dans un pays africain et comme séronégatif en Occident
avec le même test.
4) La proportion de séropositifs en Afrique est de 50%
d'hommes et de 50% de femmes. Par contre la proportion aux États-Unies
reste de 90% d'hommes et de 10% de femmes. Ceci met en question
la thèse selon laquelle le SIDA est une maladie infectieuse,
la thèse de la transmission sexuelle et même la thèse
qu'il s'agit de la même maladie. D'un autre côté,
la distribution sexuelle du SIDA en Afrique a l'avantage de confirmer
l'hypothèse officielle.
Nous avons publié dans les numéros. 33-34, 40,
44, 47, de la revue de Médecines Complémentaires
d'autres travaux sur le SIDA en Afrique.
Conclusions :
- Ces faits (entre autres) démontrent que l'épidemie
africaine a été inventée et qu'elle n'existe
pas.
- Les maladies du sous-développement sont croissantes
dans le Tiers-monde et elles sont délibérément
redéfinies comme SIDA.
Pourquoi ?
La réponse est très simple.
- Réduction des aides pour les maladies endémiques
de la pauvreté, puisque par définition des "services
d'intelligence des épidemies des CDC" américains,
elles sont requalifiées comme SIDA.
* Conséquence : la mortalité augmente.
- Augmentation des aides pour le SIDA.
Où sont investis ces dollars ? Dans des projets
de terrorisme informatif sur le sexe et la répartition
massive de condoms.
* conséquence : moins de naissances.
Si nous additionnons les deux variables, même un demeuré
comprendrait sa signification :
- Contrôle et réduction de la population de la
planète.
- Et bien sûr contrôle
de l'immigration (plus de 50 pays refusent l'entrée aux
séropositifs pour des considérations "sanitaires"
bien sûr hors du débat politique).
Si vous pensez que nous écrivons de la science-fiction
au lieu d'un article scientifique considérez les données
suivantes :
Exemple de l'Ouganda.
L'Ouganda n'investit que 36.000 $ pour la malaria.
La malaria est endémique et, comme la tuberculose, on
ne peut plus la distinguer du SIDA grâce aux nouveaux critères
de diagnostic du SIDA (fièvre, perte de poids et diarrhée).
Donc la malaria n'existe plus et n'est plus traitée puisque
ceux qui en sont atteints sont désormais diagnostiqués
comme malades du SIDA.
Dans la vidéo de Meditel; "Le SIDA en Afrique"
(non diffusée dans nos pays), on visite les hôpitaux
de Rakai (épicentre de la fausse épidémie).
Ils sont vides car les personnes ont été privées
des médicaments gratuits qui leur étaient precédemment
offerts pour traiter les maladies endémiques qui les déciment
et qu'ils devraient payer maintenant, alors qu'ils n'en ont pas
les moyens (voir aussi n° 40).
Sinistre contrepartie, l'Ouganda investit des milliers de $
dans la lutte contre le SIDA avec 700 O.N.G. qui contaminent le
pays avec l'hypothèse orthodoxe, ce qui se traduit par
un véritable terrorisme sexuel et par l'utilisation des
condoms.
Il faut être clair.
Chaque dollar investi dans la lutte contre la fausse épidémie
du SIDA dans le Tiers-monde assassine des milliers de personnes.
Au-delà de ces faits nous proposons l'hypothèse
que l'invention du SIDA en Afrique entre dans la stratégie
de l'Ordre Mondial de contrôle de la population, spécialement
dans le Tiers-monde. Nous avons des données précises
qui justifient ces affirmations (voir dossier n° 59).
Des documents du Conseil de Sécurité Nationale
des Etats-Unis élaborés entre 1974 et 1977 et maintenus
secrets pendant de nombreuses années affirmaient que la
croissance de la population dans le Tiers-monde est une menace
contre la sécurité nationale des Etats-Unis (Mondo
e Misione, Institut Pontifice de Missions Étrangères.et
EIR, vol. 9, n° 1, Enero 1992).
En 1988, un document du Centre d'Études Internationales
et Stratégiques, "Tendances démographiques
mondiales, implications pour la Sécurité Nationale
", réaffirme que la croissance de la population dans
le Tiers-monde est une des grandes menaces contre la sécurité
nationale des Etats-Unis.
La partie de ce document touchant à la démographie
mentionne aussi le SIDA dans l'espoir que l'épidémie
aidera a réguler la croissance de la population (Rev. Washington
Quarterly, printemps de 1989, J. Brewda, "La démographie
raciste de la stratégie militaire des États-Unies",
Executive Intelligence rev. EIR. 1,7,91.)
Le SIDA est donc considéré comme une partie de
la stratégie du contrôle démographique. Ce
n'est pas un sujet médical, c'est une affaire politique.
Independamment de votre adhésion à nos hypothèses
sur l'interprétation stratégique, le SIDA en Afrique
est une tromperie.
Il faut soutenir l'attitude courageuse du président
Thabo Mbeki qui insiste pour que le SIDA soit publiquement réétudié
(ce que nous demandons depuis des années).
(Voir http://perso.wanadoo.fr/sidasante/critique/mbekifr.htm)
Il faut agir vite. Les documents sur le SIDA en Afrique doivent
se diffuser, d'innombrables vies sont en jeu.
Les orthodoxes du SIDA ont raison d'être inquiets.
On peut tromper peu de gens pendant longtemps.
On peut tromper beaucoup de gens pendant peu de temps
Mais on ne peut pas tromper tout le monde tout le temps.
Alfredo Embid.
Coordinateur de l'A.M.C.
A.M.C. Asociacion de Medicinas Complementarias
Prado de Torrejon 27, Pozuelo de Alarcon 28224 Madrid, Espana.
Tel. (34) 9135121 11. Fax. (34) 913512171.
E-mail: <amcmh@amcmh.org>.
Web: <www.amcmh.org>
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