Sida: faux rétrovirus ou vrai clone ?

 

Alors que Science&Vie de décembre 2002 constitue un dossier alarmant sous la plume de Fabrice Demarthon sur l'évolution de la maladie dans le monde, alors que le même mensuel publie une photo du Virus de l'Immunodéficience Humaine (VIH) agrandi 800000 fois, nous trouvons sur Internet des centaines de scientifiques, voire des milliers, qui remettent en question le lien de cause à effet entre le VIH et le Sida.

Mais prenons la température sur la question à l'endroit le plus chaud de la planète. Un article: "La bourde du $ida", en première page du Mail & Guardian, Johannesburg, Afrique du Sud, le 24 janvier, 2001, par David Rasnick, PhD, Membre du Comité Consultatif de Thabo Mbeki, Afrique du Sud. David Rasnick y écrit tout bonnement: "L'hypothèse selon laquelle le SIDA est une maladie contagieuse causée par le VIH est la plus grande bourde scientifique du XXe siècle."

Science&Vie martèle dans son dossier: "Un virus sournois qui ne cesse de se modifier".

Tout le problème, dans ce virus mutant, c'est qu'il donnerait irrémédiablement la même maladie: le Sida. Or, dans les études de l'Institut Pasteur sur les maladies émergentes à partir de virus, on s'aperçoit que la mutation est l'un des éléments qui joue dans l'apparition de nouvelles maladies. Le VIH, lui, échappe à cette règle. Il mute et s'attaque toujours spécifiquement au système immunitaire. Ajoutons que les virus normaux, eux, donnent de véritables maladies. Le VIH, lui, échappe à nouveau à cette règle. Il est à l'origine d'un syndrome, mais toujours le même. En plus, il est doué d'une intelligence rare puisqu'il "change de visage" afin de se "cacher" à l'ennemi et de remplir exactement la même mission. Ce scénario à peine esquissé ne nous donne-t-il pas cette curieuse impression d'avoir affaire à un fantôme ou à autre chose qu'un virus ?

Mais ce n'est pas tout. Le VIH est un rétrovirus, non un virus, et il ne tue pas la cellule hôte. Voilà la goutte qui fait déborder le vase! Selon Science&Vie toujours, qui montre un schéma de la reproduction du VIH à l'intérieur de la cellule, c'est la prolifération du VIH qui tue la cellule.

Oui, d'accord, mais comment ? Aucune explication.

Plus loin, toujours dans le même article, on trouve le graphique de l'évolution "d'une maladie lente". On constate qu'après l'installation du VIH dans l'organisme, des anticorps sont fabriqués. Chaque mutation de l'intrus devrait donc provoquer une adaptation correspondante des anticorps. Mais curieusement le nombre des cellules immunitaires (lymphocytes T CD4) diminue comme si quelque chose d'autre intervenait sur la capacité de l'organisme à reproduire son matériel de défense.

Situation étrange, n'est-il pas ?

Depuis le 19 juillet 2002, Alexander Russell invite les chercheurs des universités et clame sur Internet: "Je suis tellement convaincu qu'il n'existe aucune photographie obtenue par microscopie électronique (respectant strictement la méthodologie d'Étienne de Harven) qui prouve l'existence du VIH que j'offre la somme de 100 000 dollars à la première personne qui présentera une telle photographie, étant entendu que celle-ci devra avoir été obtenue dans des conditions rigoureuses." Ensuite, il énonce la méthodologie à utiliser pour valider l'obtention d'une telle photo. Qu'est-ce que la photo publiée par Science&Vie montre exactement?

Alexander Russell répond par les travaux d'un virologue.

"Hans Gelderblom, de l'Institut Robert Koch de Berlin, est l'un des auteurs du premier article paru dans Virology de mars 1997 qui montre que le prétendu "VIH purifié" n'est en réalité qu'une accumulation de "microvésicules purifiées". Ce qui était supposé être le "VIH purifié" n'est rien d'autre qu'un amas de vésicules, c'est à dire de morceaux de protéines cellulaires. [...] À ce jour, il n'existe aucune image obtenue par microscopie électronique de particules de VIH isolées, purifiées et compactées récupérées dans des échantillons de fluide corporel fraichement prélevés."

Il n'y aurait donc jamais eu d'isolation réelle du rétrovirus et la photographie ne représenterait qu'un simulacre ou clone censé exister dans la nature.

En outre, Science&Vie, page 110, 60 millions de personnes seraient infectées à ce jour, mais les chaînes de télévision parlent de 85 millions le 1 décembre 2002, jour anniversaire du Sida. Pour l'Afrique, les statistiques sont faussées parce que, les tests coûtant trop chers, on se met à compter les séropositifs à partir de symptômes chroniques. Une diarrhée qui dure un mois devient allègrement un séropositif dans les comptes médicaux. Le plus effarant est sans doute le nombre des témoignages de séropositifs qui sont toujours en vie après 16 ans ou plus de diognostics noirs. Mieux, de nombreux témoignages tendent à démontrer que le fait d'éviter les médecins et de se tourner vers des thérapies naturelles amorce un nouvel espoir de vivre.

Les contradictions se multiplient et le nombre de scientifiques qui rejoignent l'hypothèse d'une épidémie virtuelle augmente. Pire, une hypothèse est de plus en plus souvent avancée, celle d'une épidémie fantôme provoquant la mort par l'effet "nocébo" produit sur les patients informés de leur séropositivité, et par les médicaments, dans le but d'enrichir l'industrie pharmaceutique. Il faut le souligner en effet, certains médicaments (AZT) utilisés pour soigner des séropositifs auraient encore affaibli les patients et les auraient tués.

Le Syndrome Immuno Déficitaire Acquis n'est rien d'autre que la trentaine de maladies auxquelles nous sommes tous susceptibles de succomber. Que la drogue, les antibiotiques, la malnutrition ou autre phénomène puisse rendre un individu plus faible face à ces maladies resterait en définitive l'explication la plus raisonnable.

Pour conclure, donnons la parole à Mark Griffiths, 13 ans de documentation sur le sujet, qui écrit en janvier 1999: Le "sida" est un syndrome défini artificiellement et non une maladie. Chacun des éléments qui participent à ce syndrome a une cause et une solution qui peuvent se comprendre et se soigner en dehors de toute psychose collective et surtout en dehors de toute origine prétendument virale du $ida.

Luc Spirlet, 11/01/03
luc.spirlet@brutele.be


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