Apprenti Sage - Edito 5
Compte rendu du 12ème congrès mondial
sur le sida, Genève 1998.
Dessin de René
Bickel
Les irréductibles du "sida"
au Palais Vaudou de Genève pour constater les délires
de la première "maladie virtuelle" de l'histoire.
12ème Congrès Mondial du sida, 28 juin - 3 juillet
1998
Nous revenons du 12ème Congrès Mondial du sida à
Genève. Ils sont fous ces "spécialistes du
sida" ! Il y avait une fois des hommes capable de traverser
l'Atlantique il y a 1000 ans et même d'atterrir sur la lune
en 1969. Comment se fait-il qu'"ils" affirment aujourd'hui
qu'il est impossible de bien vivre sur la terre responsable et
pleinement conscient de sa santé ? En tout cas nous étions
beaucoup d'irréductibles à nous rencontrer à
Genève. Des années après notre "diagnostic"
nous vivons bien sans aucun médicament ni suivi hospitalier.
Des centaines de scientifiques, médecins, thérapeutes
et associations sont au courant que le "sida" est un
montage artificiel qui disparaîtra dès qu'une investigation
scientifique, rigoureuse et publique sera entamée. Le "sida"
n'existera plus car les maladies spécifiques seront de
nouveau appellées par leur nom. D'où le titre "première
maladie virtuelle de l'histoire". Ceci nous laissera toujours
avec les véritables problèmes sociaux qui sont à
l'origine du "sida" et nous fera prendre conscience
de l'importance d'accroître notre immunité naturelle
dans un monde qui devient de plus en plus toxique.
Ce Congrès a couté 50 millions de francs suisses
pour de nouveau échaffauder une hypothèse virale
du sida déjà écroulée depuis des années
! Sans parler des plus de 50 milliards de dollars investis dans
une recherche virale, unilatérale et totalement infructueuse
depuis 1984, ce qui représente un gaspillage éhonté
de l'argent du contribuable et un danger pour la santé
publique mondiale. Notre plateforme d'information a devoilé
en douceur et en public les dérives des instigateurs du
mensonge du "sida" - Gallo, Montagnier, Ho, Fauci et
compagnie ont essayé de sauver la face suite à l'échec
total de leurs recherches quant aux vies humaines sauvées.
L'industrie du sida est seulement un succès commercial
remarquable. Gallo a admis avoir "stressé" ses
cultures de laboratoire avec de la cortisone en disant que c'était
un "rétrovirus" et non la cortisone qui provoquait
le stress enregistré par son brevet du "test du sida".
Montagnier a admis ne pas avoir "purifié" ses
cultures de laboratoire avant de les avoir brevetées. Personne
n'a produit le papier scientifique prouvant l'isolation du "virus
IH" ni le papier prouvant son éventuelle responsabilité
dans la genèse de quelques 30 maladies totalement différentes
nommées artificiellement "sida". Ce congrès
était la preuve royale du pouvoir des sorciers vaudous
modernes qui brandissent le bâton d'un diagnostic fondé
sur une "science" devenue corrompue pour créer
la maladie rentable et de nouveaux marchés de la mort par
médicaments - un monopole diagnostic / traitement totalement
illégal et un mépris des droits humains. Le titre
"Bridging the gap" (Franchir le fossé) de cette
conférence avait pour but de créer de nouveaux marchés
dans le tiers monde subventionnés par l'argent des contribuables
en occident, pour palier à la réduction du marché
occidental qui flanche en résonance avec la découverte
par de plus en plus de gens de l'escroquerie du sida.
La bonne nouvelle : A 20H00 du soir de l'ouverture du congrès
l'International Forum for Accessible Science et le journal anglais
Continuum ont réussit à organiser (pour la première
fois dans l'histoire des congrès "sida") un débat
sur le non-isolation du virus et le non-spécificité
des tests avec Eleni Papadoupulos-Eleopulos et Stefan Lanka. La
mauvaise nouvelle : cette intervention fût prévue
au moment où tous les participants du congrès étaient
invités pour un apéritif offert par les organisateurs
!
Le comble de la semaine fût peut-être une "cérémonie
religieuse" à la Cathédrale St. Pierre qui
n'était qu'un stratégie de marketing pour remercier
Dieu pour l'efficacité des "traitements". Les
organisateurs de cet évenement semblaient avoir oublié
que la guérison fait également partie des manifestations
de "Dieu" et de la nature.
Nous étions une vingtaine d'associations sur place pour
donner un autre son de cloche sur le sida. Nous nous sommes installé
une semaine avant la conférence et l'aide de deux "squats"
et plusieurs amis naturopathes nous ont permis de loger des dizaines
de personnes - scientifiques, thérapeutes, membres d'associations
et "guéris" du "sida".
Nous avons créé une permenance au Guest House SWISSAIR,
à dix minutes du Palexpo pour accueillir les "survivants
à long terme", les scientifiques, les journalistes
et les associations "dissidentes" du monde entier lors
de leur passage à Genève. Nous avons souligné
l'importance d'un lieu de rencontre etd'échange pour les
diagnostiqués VIH+ qui vivent bien depuis plus de dix ans
sans traitement médical officiel. Au congrès officiel
les "survivants à long terme non-médicalisés"
n'ont pas eu la parole malgré le beau discours de la présentation
officielle qui soulignait "le principe genevois", censé
donner la parole à tous ceux qui sont concernés
par le sida. Nous avons donc organisé cinq jours de témoignages,
de vidéos, de documents mis à disposition, de points
de vue thérapeutiques et scientifiques pour souligner l'importance
d'une approche globale et humanitaire de la santé. Nous
avons clôturé la semaine avec deux jours portes ouvertes
à Action Studios au centre de Genève et un concert
de rock, avec votre serviteur à la basse fût organisé
par nos amis squatters pour soutenir notre travail.
Nos ami(e)s de COBRA Espagne
Une action a été menée devant l'entrée
principale du Congrès, les Nations Unies et l'Organisation
Mondiale de la Santé. Pendant la semaine trois personnes
ont entamé une grève de la faim pour attirer l'attention
sur les lacunes de l'hypothèse officielle du sida ainsi
que les solutions alternatives d'espoir. Nos raisons et buts :
<<* La politique officielle du sida est directement responsable
de milliers de morts.
* Ce Congrès coûteux n'amène pas la preuve
de l'existence d'un virus du "sida".
* Ce Congrès et les Nations Unies doivent fournir une plateforme
publique pour un débat ouvert sur un modèle différent
et guérissable du "sida".
* Nous honorons tous ceux qui ont été sacrifiés
à cause de l'abus économique de la science et de
la médecine.
Nous avons fait une grève de la faim pour :
* L'abolition des tests du "sida"
* L'abolition des médicaments anti-viraux
* Que les traitements immuno-stimulants et humanitaires soient
reconnus.
Le but était d'attirer l'attention sur le crime contre
l'humanité nommé "sida". Ce crime est
soutenu légalement et économiquement par les autorités
mondiales de la "santé" et l'industrie pharmaceutique
au sein d'un monopole constitutionellement illégal".
Cette grève de la faim a été soutenue
par :
Association Mark Griffiths - France.
A.V.E.S. (Asociacion de Vencedores de las Etiquetas del SIDA)
- Spain.
C.O.B.R.A. (Centro Orientativo de Bio-Regeneracion Aplicada) -
Spain.
REGIMED (REsearch Group in Investigative MEDicin & journalism)-
international.
MuM (Wissenschaft, Medizin und Menschenrechte) - Germany.
Kinesis - Italy.
MEDITEL Productions - London.
IFAS (International Forum for Accessible Science)
ApS (Aktion positive Switzerland).
La Pulce nell'Orecchio - Italy
HEAL (Health Education AIDS Liason) - USA
SOS-HIV - Italy.
HEAL - Germany.
CONTINUUM - England.
GaIA (Gay International Association).
Quels sont les lacunes de l'hypothèse virale du "sida"
?
1) Il n'existe aucun papier scientifique prouvant l'isolation
du "VIH". Il existe un prix international de £1000
pour le premier scientifique qui produira cette preuve. Pour cela
il faut isoler une entité virale par les critères
suivants qui furent rigoureusement débattues à l'Institut
Pasteur à Paris en 1973 et sont les critères minimums
pour établir l'existence indépendante du VIH :
Les méthodes d'isolement ont été rigoureusement
discutées à l'Institut Pasteur, à Paris,
en 1973, et représentent les critères minimums
permettant d'établir l'existence du VIH. Ces méthodes
comprennent:
1. La culture du tissu supposé infecté,
2.. La purification des échantillons par ultracentrifugation
sur gradient de densité de sucrose ou de percoll,
3. L'examen au microscope électronique du matériel
sédimentant à la densité de 1.16 gm/ml,
établissant la présence de particules ayant la
morphologie et les dimensions (100-120 nm) des rétrovirus,
à l'exclusion de toutes autres particules de morphologie
et de dimensions différentes,
4. La preuve que ces particules contiennent la transcriptase
inverse,
5. L'analyse des protéines et de l'ARN de ces particules,
et la preuve de leur caractère unique,
6. La preuve que les étapes 1-5 sont la propriété
exclusive des tissus infectés et ne s'observent jamais
dans des cultures témoins. Les cultures témoins
sont identiques aux cultures infectées; elles sont cultivées
dans les mêmes conditions, mais proviennent de malades
qui ne sont pas sensés être infectés par
un rétrovirus,
7. La preuve que les particules sont infectieuses, réalisée
en infectant avec les particules purifiées soit des cultures
non-infectées, soit des animaux de laboratoire et obtenant
ainsi une nouvelle génération de particules virales,
identiques aux premières comme doit le démontrer
la répétition des étapes 1-5.
De plus les règles de la virologie pour définir
l'agent causal de maladie infectieuse n'ont pas étés
respectés :
Introduits par Robert Koch au siècle dernier, les critères
classiques pour la détermination du caractère infectieux
d'une maladie et l'attribution de sa cause à un microbe
particulier sont appelés les Postulats de Koch. Or le
virus HIV, comme le souligne Walter Gilbert (Prix Nobel de Chimie),
ne répond pas aux critères des Postulats de Koch:
Postulat 1: Le germe doit être trouvé dans les
tissus affectés pour chaque cas de la maladie en question.
Toutefois, aucun HIV ne peut être isolé dans 10
à 20 pour cent des cas de SIDA. Jusqu'à ce que
les méthodes hautement sensibles de détection fassent
récemment leur apparition, l'on ne trouvait pas de trace
directe du virus dans la majorité des cas. De plus, le
HIV ne peut être isolé à partir des cellules
du sarcome de Kaposi ni à partir des cellules nerveuses
des patients atteints de la démence sidéenne.
Postulat 2: Le germe doit être isolé des autres
germes et du corps de son hôte. Les quantités de
HIV sont tellement faibles chez les patients atteints de SIDA
que le virus ne peut être isolé qu'indirectement,
après isolation d'un grand nombre de cellules du patient
et réactivation du virus. Dans les maladies classiques,
on trouve assez de virus actifs pour qu'il soit possible d'en
isoler directement à partir du sang ou des tissus lésés:
il est habituel d'en avoir entre un million et un milliard d'unités
par millilitre de fluide corporel durant la période active.
Certains virus de la même classe que le HIV se rencontrent
à raison de 100'000 à 10 millions d'unités
par millilitre, mais le HIV ne présente rarement plus
de cinq unités et jamais plus de quelques milliers par
millilitre de plasma sanguin.
Postulat 3: Le germe doit provoquer la maladie lorsqu'il est
injecté à des hôtes sains. Le HIV n'a pas
provoqué la maladie quand on l'a injecté expé
rimentalement à des chimpanzés, ni dans les cas
accidentels où il a été inoculé à
des travailleurs du secteur médical, pourtant, dans chacun
de ces cas, le virus avait infecté ses hôtes avec
succès. Si en considération de raisons éthiques
ou autres, ce troisième postulat s'avère difficile
à tester pour certains germes, il est alors nécessaire
d'en appor ter la preuve d'une autre façon, grâce
à des théra pies spécifiques qui neutralisent
le microbe et pré viennent par là-même la
maladie. Malheureuse ment, bien que de nouveaux médicaments
et vac cins soient continuellement proposés, aucune thérapie,
aucun anticorps contre le HIV n'a été capable de
prévenir les maladies du SIDA.
Postulat 4: Le même germe doit pouvoir être isolé
également à partir de son nouvel hôte. La
condition du troisième postulat n'étant pas remplie,
ce critère devient non pertinent.
Cette inadéquation aux postulats de Koch remet en question
le caractère infectieux du SIDA. En effet, les postulats
de Koch sont les critères standard en vue de la détermination
d'agents infectieux. Lorsque ces conditions ne sont pas remplies,
il faut alors pouvoir fournir à la place, des preuves
équivalentes et solides si l'on veut maintenir l'hypothèse
d'un agent infectieux.
Ces méthodes n'ont jamais étés appliqués
au "virus du sida" !
En conséquence :
a) la cause du "sida" ne peut pas être le "VIH".
b) les "tests du sida" ne sont pas valables.
c) les traitements "antiviraux" sont empiriques, inutiles,
dangereux et souvent mortels.
2) Il y a de très nombreux "vainqueurs de l'étiquette
du sida" en bonne santé de par le monde et qui ne
prennent pas les traitements officiels. Les médias n'en
parlent pas. Depuis 1984 la médecine et la plupart des
médias nient l'existence de personnes ayant retrouvé
la santé après un diagnostic de "séropositivité",
même après un "sida déclaré".
Pourtant les statistiques suisses démontrent que le sida
ne représente que 0,9% de la mortalité annuelle
et que, depuis 1983, 85% des diagnostiqués séropositifs
sont encore en vie. Il y a de forts intérêts économiques
qui entretiennent la manipulation de l'opinion publique pour faire
croire à une épidémie qui n'a jamais eu lieu>>.
Cette manifestation à Genève a été
une formidable ooccasion de réunir des centaines de personnes
qui ont des buts communs :
1) Informer le grand public que le sida est une fraude, les tests
sont sans valeur et que les "traitements" tuent.
2) "L'immuno-déficience" est aussi vieille que
l'humanité. On peut la traiter / ou la prevenir par des
moyens naturels et une éducation à la santé.
Prendre conscience de l'ampleur de cette supercherie demande du
courage et une remise en question par rapport aux informations
et idées reçues.
Dans ce but notre association oeuvre pour informer,démystifier
et proposer de la documentation sur les chemins de vie empruntés
par ceux qui vivent en pleine santé de nombreuses années
après leur diagnostic de séropositivité ou
même après un diagnostic de "sida déclaré".
Nous tenons ici à dire un grand merci toutes les personnes
qui nous ont soutenu pendant les deux semaines de notre séjour
à Genève.
Diagnostiqué "séropositif" en 1986,
Mark Griffiths a posé publiquement des questions fondamentaux
sur la science du sida et a étudié les "survivants"
et les techniques naturelles d'immuno-stimulation depuis 1990.
Il est conférencier, auteur du dossier de recherche "L'Apprentissage",
et instigateur de la traduction de "L'escroquerie du sida"
du Dr. Robert Willner en 1993 et "Et si tout ce que vous
avez appris à propos du sida était faux" de
Christine Maggiore traduit par Christian Tal Schaller en 1998.
Avec son amie Sylvie Cousseau et son fils Arthur, les trois "vainqueurs
de l'étiquette du sida" ont créé l'association
Mark Griffiths en 1996 et lancé le premier journal de santé
séropositive "L'Apprenti Sage" en 1997.
* Grâce au soutien de CompuTours et de l'Institut de
Santé Globale nous avons notre site Internet ! "SIDA
ET SANTE" (Exploser le mythe "VIH=sida"):
http://perso.wanadoo.fr/sidasante/
email : information@sidasante.com
* A l'automne, sortie de notre prochain numéro de "L'Apprenti
Sage - Premier journal de santé séropositive"
qui sera un 'Special virus (non)-isolation', interview de Eleni
Papadopulos-Eleopolus par Christine Johnson traduit en français
par Philippe Krynen de l'association Partage en Tanzanie. L'Apprenti
Sage. Abonnement (4 parutions par année) et adhésion
à l'Association Mark Griffiths - 200FF, prix unique.
Quelques citations :
"Je sais que la plupart des hommes, même ceux qui sont
à l'aise avec des problèmes d'une grande complexité,
ont de la peine à accepter les vérités les
plus simples et les plus évidentes si elles les obligent
à admettre la fausseté des conclusions qu'ils ont
enseignées avec fierté aux autres, qu'ils ont expliquées
avec délice à leurs collègues et avec lesquelles
ils ont tissé fil par fil le tissu de leur vie." Léon
Tolstoï.
"Le sida n'est pas une nouvelle maladie. C'est le triomphe
de la politique sur la science". Sénateur Gil Gutknecht.
"L'important est de se libérer des médicaments
toxiques. Lorsque je les prenais, la qualité de ma vie
baissait à grande vitesse." Greg Louganis, séropositif.
"Il n'y a aucune preuve scientifique que le virus VIH soit
la cause du sida. Il n'y a pas le moindre document dans la littérature
scientifique qui puisse le prouver !" Dr. Kary Mullis, Prix
Nobel de chimie 1993.
"L'épidémiologie du sida n'est qu'une accumulation
d'histoires anecdotiques qui ont été choisies pour
confirmer le dogme populaire du virus comme cause du sida."
Dr. Peter Duesberg.
"Comme scientifique j'ai étudié le sida depuis
16 ans et me suis rendu compte que cette maladie n'avait pas grand
chose à faire avec la science. Le sida est un phénomène
sociologique construit par la peur. Celle-ci a créé
une sorte de Maccarthysme qui a fait s'effondrer toutes les règles
de la science pour imposer un mélange de croyances pseudo-scientifiques
à un public fragile." Dr. David Rasnick.
"Le sida est une grande illusion qui est maintenue parce
qu'il y a beaucoup de gens qui gagnent beaucoup d'argent grâce
à elle. Enlevez la question financière et toute
la mythologie s'effondrera. Charles Thomas, PhD, ancien directeur
du département cellulaire du Scripps Research Institute.
"Cette information donne la possibilité de se guérir
de cette terreur chronique et du sentiment de désespoir
qui accompagnent souvent le fait d'avoir un test positif pour
le virus VIH. Elle est un passeport pour aller vers la liberté
pour tous ceux qui ont vécu dans la peur. C'est avec enthousiasme
que j'encourage chacun à s'informer." Dr. Michael
Ellner, Président de HEAL New York.
L'Apprenti Sage. N° 5. Automne 1990.
Table des matières :
Eleni Papadopoulos-Eleopulos - Le VIH est-il la cause du SIDA ?
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