Apprenti Sage - Edito 8
Editorial.
Des questions sans réponse.
Le Sida et le VIH sont des concepts artificiels, définis par des impératifs politiques, moraux et économiques, et non par une analyse scientifique honnête et rigoureuse. Un nombre croissant de dissidents ont exprimé leurs doutes sur le dogme VIH / SIDA depuis le début de la controverse. De nombreuses questions sont restées sans réponse et ont été exclues de tout débat public.
Ces questions comprennent :
Où est la preuve de l'existence du VIH ? L'isolement de ce virus, directement à partir des malades sidéens, n'a jamais pu être prouvé par les critères traditionnels de la virologie.
Et quand bien même ce rétrovirus existerait, les articles scientifiques publiés en 1984 et indiquant un lien de causalité entre ce virus et la dépression immunitaire, ont, depuis, été démontrés frauduleux. Où a-t-on jamais prouvé rigoureusement que ce virus soit la cause de la trentaine de maladies collectivement appelées "Sida" ? Trois définitions différentes du Sida ont été formulées à Atlanta aux Etats-Unis par le " Centre de Contrôle des Maladies ", la dernière incluant même des conditions qui débordent du cadre de la pathologie.
Deux théories diamétralement opposées ont été postulées depuis 1984. La première théorie, qui date de 1984, suggère que le VIH est un rétrovirus "lent" qui, après l'infection initiale, met des années avant de se réveiller et d'endommager le système immunitaire. La seconde théorie qui date de 1995 et qui prévaut actuellement, suggère que le VIH est actif immédiatement et dégrade progressivement les défenses immunitaires. Comment l'orthodoxie du Sida peut-elle s'accommoder de définitions aussi différentes et cependant appliquer les mêmes protocoles thérapeutiques ?
Où est l'épidémie annoncée au début des années 1980 ? Les chiffres publiés par l'Office Mondial de la Santé et par les médias confondent la séropositivité VIH et le Sida ! Dans la plupart du tiers-monde, un test VIH+ n'est pas nécessairement un critère de diagnostic de Sida. Par surcroît, un grand nombre des maladies, hélas traditionnelles dans le tiers-monde, donnent des résultats faussement positifs au test du VIH. La conséquence étant que ces maladies ne sont pas traitées d'une manière appropriée.
Puisqu'il n'y a aucune preuve solide d'isolement du VIH, comment le test pourrait-il être considéré comme spécifique, et, sur le plan déontologique, comment ces tests "positifs" pourraient-ils être présentés aux patients comme une menace de mort imminente et comme l'obligation, pour ces patients, de s'exposer à des médicaments dangereusement toxiques ?
Où est la preuve de l'efficacité des médicaments anti-rétroviraux qui sont parmi les substances les plus toxiques jamais mises sur le marché dans toute l'histoire de la médecine ?
Et qu'est-ce qui pourrait jamais justifier que ces médications hautement toxiques aient pu être approuvées par les autorités sanitaires en des temps records ?
Les personnes qui ont survécu de nombreuses années à un diagnostic de séropositivité ont toutes un point commun : elles ont toutes refusé les traitements officiels, et ont toutes utilisé des traitements naturels et économiques favorisant la stimulation immunitaire. Pourquoi ces résultats ne sont-ils pas portés à la connaissance du public ? Est-ce que nos gouvernements peuvent vraiment investir dans des médicaments fort coûteux et d'efficacité non-démontrée ?
Où est le comité de surveillance, indépendant et international, qui pourra limiter les monopoles économiques et scientifiques en matière de santé publique ? Refuser la politique mondiale actuelle sur le Sida, pourrait ouvrir la voie vers la création d'un tel comité.
Peter Piot, directeur de UNAIDS, a systématiquement refusé (ou a été incapable) de fournir la moindre preuve de l'existence du VIH et/ou de son lien de causalité avec le Sida. Pourquoi ? Est-ce que ceci ne devrait pas représenter la pierre angulaire d'une politique internationale du Sida ?
Ces quelques questions doivent être posées publiquement et doivent recevoir une réponse si nous voulons voir la fin d'une des plus grandes tragédies médicales et scientifiques de notre époque.
En attendant une réponse à ces questions, nous recommandons :
L'arrêt des tests de séropositivité et l'arrêt des traitements dangereusement toxiques.
L'arrêt de la recherche sur le VIH aussi longtemps qu'il n'a pas été isolé d'une manière satisfaisante.
Que les gouvernements, les manufacturiers des tests et les compagnies pharmaceutiques dédommagent ceux qui ont été stigmatisés par l'étiquette "séropositif" et ceux qui ont été intoxiqués ou tués par les médicaments anti-rétroviraux ainsi que les survivants des familles de ces victimes iatrogènes.
Que les fonds de recherche soient redirigés sous un contrôle strict vers des programmes qui diminueront la malnutrition, le manque d'habitation satisfaisante, le manque d'hygiène, la dépendance de substances toxiques et qui fourniront des soins de santé de base, sans considération pour l'étiquette "séropositive".
Qu'un dialogue ouvert et honnête commence pour définir toutes les causes de l'immuno-déficience.
Christine Maggiore de "Alive & Well" à Los Angeles raconte sa rencontre avec un membre d'une grande agence de relations publiques et comment ils ont travaillé pour UNAIDS et d'autres géants pharmaceutiques pour faire passer un article dans le magazine "Time" au même temps que le dernier congrès mondial du SIDA en Afrique du Sud. Cet article (évidemment) était pour contrecarrer la "scepticisme" du Président Mbeki qui posait, comme nous, des questions très embarrassantes sur les vraies causes du SIDA.
"Sachant ceci, on peut seulement imaginer les forces monumentales qui travaillent pour promouvoir les intérêts des corporations multinationales pharmaceutiques et les agences SIDA en Afrique du Sud, le prétendu épicentre de l'épidémie".
Et la même chose est vraie chez nous !
Le SIDA n'est que la pointe de l'iceberg d'une industrie qui s'est approprié notre santé et infiltre très dangereusement même les arbitres internationaux jusqu'au sommet de l'Organisation Mondiale de la Santé et de l'ONUSIDA.
Mark Griffiths et Dr. Etienne de Harven, Octobre 2000.
L'Apprenti Sage. N° 8. Automne 2000.
Table des matières :
Celia Farber Science fiction
Dr Marc Deru - Quelles sont les causes du SIDA ?
Paul Philpott - Tout le monde est-il positif pour le VIH ? Tout le monde est-il infecté par le VIH ?
Christine Johnson - De quels anticorps s'agit-il donc ? Facteurs reconnus pouvant donner des résultats de tests VIH faussement positifs.
Jane Doe et ses enfants - Témoignage de l'horreur
Sylvie Cousseau - Arrêter les traitements ? ou le saut de la foi !
Flora - Recherche dÍune convivialité avec le VIH
Témoignage de Josep
Miguel Asturias - Sida, un défi personnel.
Index de tous nos documents depuis 1990
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