Mort par la médecine

« Quand le tueur n°1 de la société est le système de soins, le système n’a aucune excuse sauf la réévaluation de son échec. »

Le plus que j’étudie le phénomène du $IDA, le plus je comprends que la plupart des solutions à la crise de la santé actuelle existaient déjà.

La croissance du financement de la recherche a enterré progressivement les solutions viables au fur et à mesure que les cartels pharmaceutiques ont imposé mondialement leur monopole diagnostic/traitement. Ceci est valable pour presque toutes les grandes maladies d'aujourd'hui.

Le financement par l'industrie pharmaceutique de la formation et les structures médicales s'est augmenté de manière vertigineuse depuis 20 ans.

Une étude précise et complète réalisé à partir de journaux médicaux et de statistiques gouvernementales sur la santé, montre que la médecine américaine est plus souvent responsable de mal que de bien.

Le nombre de personnes hospitalisées ayant eu des réactions négatives aux médicaments prescrits est de 2,2 millions.
Le Dr Richard Besser, du CDC (Centre de Control des Maladies), annoncait en 1995 que le nombre d'antibiotiques prescrits inutilement pour des infections virales chaque année était de 20 millions. Le Dr Besser en 2003, parle maintenant de plusieurs dizaine de millions d'antibiotiques inutiles.
Le nombre d'actes médicaux et chirurgicaux inutiles réalisés annuellement est de 7,5 millions.
Le nombre de personne hospitalisées inutilement chaque année est de 8,9 millions.
Le nombre total de morts par effet iatrogène montré dans le tableau suivant est de 783 936. Il est évident que le système médical américain est la principale cause de mort et de blessures aux Etats Unis. En 2001, le nombre de morts suite à des maladies cardiovasculaires est de 699 697 ; le nombre de mort par cancer cette année là est de 553 251.

« Ce que nous devons déduire de ce rapport est que la médecine a besoin d’un réforme complet : depuis le curriculum des écoles de médecine jusqu’à la protection des patients de l’intervention médicale excessive ».