IL EST POSSIBLE DE PASSER DE SEROPOSITIF A SERIEUXPOSITIF.1Alfredo Embid.
- JE SUIS SEROPOSITIF, JE SUIS CONTAMINE PAR LE VIRUS DU SIDA. ON VOUS A DIT QUE VOUS ETIEZ SEROPOSITIF. Vous en faites la confession, rongé par une angoisse toute évidente qui, dans de nombreux cas, est empreinte d'un sentiment de culpabilité. Vous pensez être contaminé par la maladie la plus terrible de ce siècle, condamné à mort puisque vous croyez qu'être séropositif veut dire être contaminé par un virus fatal qui mène inévitablement à cette mort horrible qui, à plusieurs reprises, vous est présentée à la télévision aux heures des repas...
Votre déjeuner ne passe pas.
Mais, calmez-vous et à propos...
Nous vous demandons un moment de répit. AUSSI INCROYABLE QUE CELA PUISSE VOUS PARAITRE, CE DIAGNOSTIC N'IMPLIQUE NULLEMENT QUE VOUS SOYEZ CONTAMINE PAR UN VIRUS CONDUISANT A UNE MORT FATALE, TEL QUE L'ON A ESSAYE DE VOUS LE FAIRE CROIRE, CAR: 1- Les tests ne mesurent pas la contamination par le virus. 2- Les tests n'indiquent même pas que vous ayez des anticorps (signe que votre organisme est en train de lutter avec succès contre le virus), ni même que vous ayez été en contact avec lui. 3- Les tests montrent des erreurs aberrantes telles que 80% de faux positifs avec le test Elisa et dans le cas des plus perfectionnés et considérés à tort comme "infallibles" (Western Blot) ils présentent des réactions croisées avec d'autres maladies (entraînant donc des erreurs) et des situations que nous commençons tout juste à comprendre maintenant. 4- Et de plus, il s'avère que le rôle même du virus dans le SIDA n'est pas clair du tout. Il existe des cas de sida sans virus et de présence de virus sans sida. De nombreux chercheurs du monde entier s'interrogent sur la théorie officielle, y compris sur le diagnostic. Parmi eux se trouvent des Prix Nobel, des membres de l'Académie Américaine des Sciences, des professeurs émérites d'immunologie et de santé publique, des microbiologistes, anatomapathologistes, biologistes, professeurs agrégés en philologie, en droit, des spécialistes en biostatistique, en épidémiologie et de nombreux médecins généralistes possédant de l'expérience dans le traitement du SIDA.2 Ainsi donc, concentrez toute votre attention sur les lignes qui vont suivre car nous allons vous apporter les preuves de telles affirmations.
INFORMEZ-VOUS. Ce n'est pas une affirmation que nous avançons à la légère. Dans un groupe de soutien, constitué spontanément et formé par des malades du sida et des séropositifs, nous avons pu constater que l'état général de ces derniers présentait une nette amélioration (fait reconnu par leurs familles et amis) et ceci après une seule séance d'échange de points de vue et sans aucun traitement.
Nous pouvons affirmer (en nous basant sur notre propre expérience mais surtout sur celle de différents groupes internationaux de dissidents) que la contre-information est la base de la guérison. Il est important pour vous de connaître plusieurs points concernant les tests sur lesquels vous basez votre condamnation à mort... QUE REPRESENTENT LES TESTS DU SIDA?
Les tests n'indiquent pas que vous soyez contaminé par le virus. Ils ne mesurent ni ne détectent le virus VIH. LES TESTS ENTRAINENT DES RESULTATS CONTRADICTOIRES DE FAUX-POSITIFS. Examinez avec nous quelques études publiées antérieurement qui remettent en question le diagnostic de la séroposivité du test Elisa et vous verrez qu'elles présentent une majorité de faux-positifs par rapport à certains tests plus élaborés comme le Western Blot.4 - En Russie en 1991, le test Elisa donna lieu à 30 000 tests positifs dont seuls 66 furent confirmés par le Western Blot. Si les études russes présentent pour vous peu de fiabilité, tournons-nous alors vers les études américaines d'où proviennent, soit-disant, les meilleurs travaux scientifiques.
- 83% des Aspirants à l'Armée des Etats-Unis détectés "positifs" par le test Elisa (10 000/12 000) s'avèrent être de faux positifs.
- 131 homosexuels de sexe masculin sont, à plusieurs reprises, "positifs" par Elisa et "négatifs" par Western Blot.
- 7 donneurs de sang sur 10, traités par un vaccin du virus de la influenza en 1991, deviennent positifs par Elisa et de faux-positifs par le Western Blot. LE TEST WESTERN BLOT.(WB) CONSIDERE FIABLE A 100%, PRESENTE DES REACTIONS CROISEES ET N'EST DONC PAS NON PLUS VALABLE.
Les tests d'anticorps les plus perfectionnés Western Blot.(WB) sont eux aussi remis en question pour leur imperfection. Dans de nombreuses situations normales ou pathologiques, mais indépendantes du virus VIH, ils ne mesurent qu'un taux de protéine élevée. Mais malgré tout, on les considère comme les preuves irréfutables de la séroposivité- et donc d'une soit-disante infection par le virus... LE TEST WESTERN BLOT.(WB) PRESENTE, DANS LES SITUATIONS SUIVANTES, DES REACTIONS CROISEES PRODUISANT DONC DES ERREURS DANS LES RESULTATS:
- pour une personne sur 150 sans problèmes de santé. Synthèse des travaux d'Eleni Eleopulous, Biophysicienne au Royal Perth Hospital et de d'autres collaborateurs des services d'urgence et du département de pathologie de l'Université d'Australie.6 L'INFORMATION EN FRANCE. Nous tenons à signaler que ces études ont été publiées dans les meilleures et plus prestigieuses revues scientifiques du monde entier: Lancet, JAMA (Journal of the American medical Association), New England Journal of Medecine, AIDS, Biotechnology, etc...
CEPENDANT, SEULEMENT 2 REVUES: "ENERGIE ET SANTE", ET "MEDECINES NOUVELLES" ONT EU LE COURAGE DE PUBLIER DES INFORMATIONS SUR LES DISSIDENTS.
Nous en avons assez d'entendre des aberrations telles que: De nombreux chercheurs du monde entier sont persuadés que cette idée manque de fondements scientifiques, mais le plus grave c'est qu'elle est fortement contaminante et engendre le SIDA. Tout ceci nous a poussé à écrire cet article.
En premier lieu, ce travail est destiné à vous tous qui êtes touchés par les terribles effets secondaires d'un tel diagnostic. Ainsi donc, si on vous a diagnostiqué "séropositif" (ce qui n'a plus grand sens, comme vous pouvez le constater), autrement dit que vous êtes contaminé par un virus mortel (ce qui est encore moins sûr), tôt ou tard vous allez vous déprimer. Cette dépression aura sur vous des répercutions à niveau psychologique et entraînera aussi une baisse de vos cellules de défense.
Un diagnostic qui produit stress, panique, peur et vous fait sentir comme un condamné à mort, entraîne automatiquement une inmunodépression.
et si par hasard le vaudou manque son but... Et c'est l'histoire du poisson qui se mord la queue: un diagnostic vaudou qui engendre une dépression immunitaire aggravé par un traitement contre le sida qui, à son tour, produit une déficience immunitaire. Incroyable? Pas vraiment, si vous tenez compte des bénéfices obtenus par les inventeurs des tests et des traitements.7
Références
|