Bonjour mes ami(e)s
Nous sommes en 2004 et je suis mort depuis 1991 d’après les médecins en 1986 !
Je n’ai jamais pris de thérapie anti-$IDA ou contre la séropositivité.
C’est confronté à ce défi, que je suis tombé amoureux de la vie et de la force de la nature, et que j’ai compris que l’esprit matérialiste (cartésien) de notre époque a besoin de retrouver un peu d’humilité.
Je me suis focalisé sur le chemin d’autres qui ont retrouvés la santé après un diagnostic fatal, et j’ai mis mon chapeau de fouille-merde gênant pour faire mon enquête (merci Humphrey Bogart).
C’était mon droit et c’est le vôtre.
Je n’ai fait que chercher ce qui pouvait améliorer ma santé et mon bien-être.
Le résultat – je suis encore là, 51 ans et en 2004… pour le meilleur ou pour le pire.
Les fruits de ma recherche se trouvent sur : www.sidasante.com et www.altheal.org
et vous trouverez mon coeur en http://mark.griffiths.free.fr/music/musindex.htm
L’existence de survivants à long terme non-médicalisés
est un phénomène trop souvent occulté par l’orthodoxie
et les médias.(Discours prononcé devant la chambre
des Lords au sujet de l'industrie pharmaceutique. Earl Baldwin de Bewdley. http://www.sidasante.com/journal/jouearlb.htm)
La découverte de ma séropositivité, en 1986, m’a
propulsé sur un long voyage d’investigation et de découverte.
Aujourd’hui je peux dire que mes conclusions sont basées sur le
bon sens, une fois que la peur, la stigmatisation et l’ignorance ont été
balayées par un examen approfondi des faits dans la littérature
scientifique, par des rencontres avec d’autres survivants de par le monde,
et par la collaboration avec de nombreux scientifiques et professionnels de
la santé.
J’eus une première information exceptionnelle dans les jours qui suivirent mon diagnostic dans une clinique privée en Suisse où j’étais en sevrage de dépendance à l’héroïne. Un groupe d’infirmières m’informa qu’il existait aux États-Unis des séropositifs en bonne santé qui avaient changé leur alimentation, faisaient de la méditation et du sport. (Mais on me recommanda de ne surtout pas le mentionner aux médecins de la clinique !)
Cette information me donna une lueur d’espoir et un but à poursuivre pendant les trois années suivantes, qui furent des années d’enfer. C’est à Genève en 1989 que je rencontrai pour la première fois deux personnes venues des États-Unis qui avaient retrouvé la santé après des pathologies graves liées au SIDA. À ce moment, je découvris également les écrits de nombreux praticiens de santé qui avaient travaillé depuis le début des années 80 dans une optique multi-causale de l’immuno-déficience. J’eus connaissance des publications du Professeur Peter Duesberg, découvreur de la carte génétique des rétrovirus, membre de l’Académie Nationale des Sciences Américaine et lauréat du prix du « Meilleur Chercheur » de cette académie. En 1987, dans le journal « Cancer », il osa nier le rôle des rétrovirus dans la maladie humaine, que ce soit le cancer ou le SIDA.
Depuis cette époque, je pose la question : « d’où viennent nos informations concernant le SIDA, et qui détient l’autorité de condamner une personne à la maladie et la mort sans espoir d’un traitement curatif? » Ceci sur la base d’un test non-spécifique pour un virus qui n’a jamais été isolé d'une manière scientifiquement valable.
Aujourd’hui (2004) je suis en train d’entamer un procès contre les fabricants des « tests » pour « faux diagnostic » et tout le tort moral que cela a entraîné pour moi et des milliers/millions d’autres. Pour le principe, pour créer un précédent, et pour la vérité.
Je suis convaincu que les historiens décriront cette
époque du SIDA comme « la page la plus noire de l'histoire de la
médecine » et « la plus grande tragédie médicale
et scientifique de notre époque ».
Avant tout, le bon sens devrait nous diriger vers la recherche des facteurs
globaux qui engendrent l’immuno-déficience ainsi que l'étude
des facteurs qui peuvent accroître l'immunité naturelle. (Le
programme LIFE. Jeffrey Liephart. http://www.sidasante.com/suggesti/life.htm)
À ce jour, le montant des recherches orientées sur l'approche
virale du SIDA dépasse les $120 milliards pour les seuls Etats-Unis,
et cela sans résultat. La mortalité due au SIDA pour tout le continent
africain est inférieure à celle des Etats-Unis ! Pour citer l’Organisation
Mondiale de la Santé : « La plus grande cause de mortalité,
de mauvaise santé et de souffrance à travers le monde, est la
pauvreté extrême. ».
Aucun des textes publiés par les Nations Unies sur les droits humains de personnes « diagnostiqués VIH+ » ne tient compte du fait que la formule (élevée au rang de dogme) « HIV = maladie infectieuse = SIDA = mort » est basée sur des HYPOTHÈSES et non sur des études respectant la rigueur scientifique. Nul ne sait sur quelles publications scientifiques s'appuie ce dogme. Jamais nos organismes internationaux qui diffusent ce dogme à outrance n'ont fait savoir sur quelles publications scientifiques ils s'appuient.
Tous ceux qui, dans le monde occidental comme dans le tiers-monde, sont confrontés à un diagnostic de SIDA et à la prescription de "traitements antiviraux" ont le droit de savoir que :
On peut dire que la dissidence est aussi vieille que l’humanité
! Au début de notre époque Hippocrates proposait que la matière
était vivante alors que Démocrite la prétendait inerte.
Déjà deux philosophies opposées ! Plus tard Pasteur soutenait
que les microbes causaient les maladies, alors que son contemporain, Béchamp,
proposait que l’état du terrain prédisposait à la
maladie.
En 1970 Temin et Baltimore ont découvert la transcriptase
inverse. Une enzyme supposée être unique aux rétrovirus,
mais rapidement reconnue dans toute activité cellulaire.Ils ont cependant
reçu le prix Nobel en 1975…
(Temin HM, Mizutani S. RNA-dependent DNA polymerase in viriona
of Rous sarcoma virus. Nature 1970; 226: 1211-1213.)
Suite à cette découverte, des sommes astronomiques
furent investies dans la recherche pour la cause rétrovirale du cancer.
Cette recherche perdait rapidement sa crédibilité vers la fin
des années 70.
(Brian Ellison (1994). L'histoire secrète du VIH. http://www.sidasante.com/journal/jouhisec.htm)
(Etienne de Harven. La tragédie des annèes 70 . http://www.sidasante.com/edh/edh70s.htm)
En 1981, après la découverte de jeunes
homosexuels souffrant d’une immuno-déficience grave par le CDC
(centre de recensement de la maladie) américain. Il fut reconnu et documenté
que tous les premiers cas de ce qu’on appellera ultérieurement
le sida apparaissaient chez de grands consommateurs de drogues, légales
et illégales. À ce moment-là, il existait aux Etats Unis
un intérêt pour la recherche des multiples causes possibles de
ces états d’immuno-déficience, et on donnait des soins basés
sur les besoins particuliers de chaque malade.
(Centers for Disease Control 1981a Koposi's
sarcoma and Pneumocystis pneumonia among homosexual men – New York city
and California; Morb. Mortal. Weekly Rep. 30 305–308)
Le 23 avril 1984 une conférence de presse fut donnée par Robert Gallo et Margaret Heckler, alors ministre de la santé américaine, pour annoncer que la science américaine venait de découvrir la cause « probable » du $IDA. Le lendemain, dans la presse du monde entier, le mot « probable » avait disparu et l’origine virale du SIDA devenait instantanément le dogme quasi-religieux que nous connaissons aujourd’hui. A partir de cette date, toutes les recherches se sont orientées sur l’hypothèse d’une cause unique et virale de la maladie à l’exclusion de toute autre direction de recherche. (Les mêmes chercheurs qui n’ont jamais trouvé le rétrovirus du cancer n’ont toujours pas trouvé le virus du SIDA !). Le bon sens a soudainement quitté la recherche. Et du même coup, les anticorps, témoins normaux de l’immunité acquise, sont devenus des signes de maladie. Les principes classiques de la virologie sont tombés cul par dessus tête !
De nombreux chercheurs, travaillant dans le domaine de la rétrovirologie,
ont trouvé cette conférence scandaleuse car pour la première
fois de l’histoire de la médecine, la presse avait donné
naissance à un dogme scientifique et non la publication scientifique
habituelle. Les premiers articles sur le Sida de Gallo furent publié
en « Science », mai 1983. Il faut se souvenir que le même
Gallo fut accusé d’inconduite et de fraude en matière de
brevet par un comité du Sénat américain en 1992.
(Popovic, M. et al (1984). Detection, Isolation,
and Continuous Production of Cytopathic Retroviruses (HTLV-III) from Patients
with AIDS and Pre-AIDS, Science, 224: 497-500. Also pp.500-508.)
(US Congressional Subcommittee on Oversight and Investigations. Investigation
of the Institutional Response to the HIV Blood Test Patent Dispute and Related
Matters. http://www.healtoronto.com/gallodocs.html)
La première contestation d’un scientifique renommé
fut publiée en 1987 dans le journal Cancer par le professeur Peter
Duesberg, découvreur de la carte génétique des rétrovirus
et lauréat d’une subvention de « chercheur exceptionnel »
de l’Académie des Sciences des Etats-Unis. Son article mettait
en cause presque 20 ans de recherche pour trouver un rétrovirus causant
une maladie humaine. Cette publication a fait beaucoup de remous, mais certains
chercheurs, souvent dans le secret par peur de perdre leur travail, ont soutenu
les critiques de Duesberg.
(Retroviruses as Carcinogens and Pathogens: Expectations and
Reality. Peter H. Duesberg. Cancer Research, Vol. 47, pp. 1199-1220, (Perspectives
in Cancer Research), March 1, 1987.
http://www.duesberg.com/papers/ch1.html)
En 1988 le Groupe de Perth publia un document proposant
le "Stress oxidatif" comme cause du SIDA.
Eleni Papadopulos-Eleopulos. Royal Perth Hospital, Medical Physics
Dept., Perth, Western Australia. Reappraisal of Aids: Is the Oxidation Induced
by the Risk Factors the Primary Cause? http://www.theperthgroup.com/SCIPAPERS/reappraisalofaids.html)
C’est en grande part sous l’inspiration de Duesberg
que fut créé, en 1992, le « Groupe pour la réévaluation
scientifique de l’hypothèse VIH/SIDA ». Trois prix Nobel
parmi eux, ce groupe n’a cessé de grandir depuis.
(http://www.virusmyth.net/aids/group.htm)
Cette même année la publication de plusieurs articles
dans le « Sunday Times » britannique du journaliste Neville Hodgkinson
a fait fureur.
(http://www.sidasante.com/journal/jounhst1.htm)
En 1993 le groupe des dissidents fut représenté au Congrès Mondial sur le SIDA à Berlin. Des copies de leur publication « Rethinking AIDS » furent posées sur une table à l’entrée du congrès, à la suite de quoi un médecin hollandais, Robert Laarhoven, fut chassé par les organisateurs et la police ! Cet incident l’a motivé à construire le site Internet « www.virusmyth.net » qui est la plus grande banque de données du point de vue dissident dans le monde.
En 1993 le « Group de Perth » a publié
sa première critique du test « Western Blot » dans le journal
« Bio-technology ».
(Papadopulos-Eleopulos, E., Turner, V. F. & Papadimitriou,
J. M. Bio/technology 11, 696-707 (1993).
http://www.theperthgroup.com/SCIPAPERS/biotek8.html)
En 1994, le scientifique allemand Stefan Lanka a publié
un article « VIH : Artefact ou réalité ? » qui fut
le précurseur d’un mouvement grandissant démontrant que
le « VIH » n’a jamais été isolé dans
le sang des malades, mais seulement dans des cultures cellulaires activées
artificiellement au laboratoire.
(http://www.sidasante.com/science/scistef1.htm)
En 1996 les livres « Comment on a inventé
le virus du SIDA » de Peter Duesberg et « SIDA : L’échec
de la science contemporaine. Ou comment un virus qui n’a jamais existé
a trompé le monde » de Neville Hodgkinson sont publiés.
(Duesberg, P.H. (1996). Inventing the AIDS Virus,
Regnery Publishing, Washington, D.C.
Hodgkinson, N. (1996). AIDS: The Failure of Contemporary Science, pp 69-99,
Fourth Estate, London.)
À cette époque, Huw Christie à pris en
charge la rédaction du journal « Continuum » à Londres.
Ce journal fut le premier à rassembler des articles scientifiques dissidents
ainsi que des suggestions thérapeutiques. En 1998, ce journal a offert
un prix substantiel pour le premier scientifique qui démontrerait l’«
isolement du VIH » selon les critères définis en 1973 par
l’Institut Pasteur. Prix qui n’a toujours pas été
réclamé même si le montant aujourd’hui s’est
élevé à 100,000$ !!!
(http://www.sidasante.com/textes/prixhc.htm
; http://perso.wanadoo.fr/esprit-libre/continuum/continuum.htm)
Pendant les années 90 l’Afrique du Sud
s’est libérée de l’apartheid et des siècles
d’oppression. Vers 1999 le président Mbeki et d’autres intellectuels
du Congrès National Africain commençaient à se demander
pourquoi payer des médicaments chers, toxiques et non-prouvés
contre un virus dont l’existence même est en question, et quand
la plupart de son peuple souffrait principalement de pauvreté.
(http://www.altheal.org/africa/hlongwane.htm)
Il a convoqué deux réunions, entre dissidents
et orthodoxes (à huis clos), pendant la première moitié
de 2000, avant le congrès mondial sur le SIDA à Durban. Le rapport
du « panel » Sud Africain de cette rencontre fut divisé en
deux parties. Les dissidents ont présenté la pauvreté comme
principale cause de l’immunodéficience ; pour eux les besoins fondamentaux
sont : l’eau potable, les installations sanitaires, l’habitation,
les écoles, l’alimentation, l’agriculture et les soins de
base pour les maladies endémiques. Ils réclamaient aussi l’arrêt
immédiat des tests et des traitements antirétroviraux. Les scientifiques
orthodoxes, persuadés que le virus est l’unique cause du SIDA,
demandaient plus de surveillance épidémiologique ainsi que l’accès
aux antiviraux et aux tests. Il faut remarquer que ces propositions nécessitent
une infrastructure hors de prix pour la plupart des pays du tiers-monde.
(Presidential AIDS Advisory Panel Report, March 2001, http://www.altheal.org/africa/aidspanelreport.pdf)
Pendant le congrès mondial sur le SIDA à Durban (Afrique du Sud) cette même année 2000, certain scientifiques orthodoxes, intéressés par l’aspect commercial du SIDA (notamment les détenteurs de brevets de test du SIDA de l’Institut Pasteur), ont fait circuler une déclaration qui énumérait les dogmes officiels du SIDA et ne répondait à aucune des questions du gouvernement de Mbeki. Cette « Déclaration de Durban » (http://www.sidasante.com/science/refutation.htm), signée par 5000 personnes, fut publiée aussitôt dans le journal « Nature », journal soi-disant scientifique, mais qui a refusé depuis 1992 de publier les arguments scientifiques de plusieurs experts dissidents. Donc, fin de la discussion ouverte et démocratique jusqu’à la courageuse initiative de Paul Lannoye qui a organisé un colloque sur "Le SIDA en Afrique" au Parlement Européen, à Bruxelles, le 8 décembre 2003.
Pour une première fois de l’histoire (Décembre
2003), les penseurs orthodoxes sur l’origine virale et dissidents
qui prônent de multiple causes non-virales du SIDA, furent invités
à exposer leurs points de vue divergents dans un cadre publique et démocratique.
(http://www.altheal.org/events/epbriefreport.htm)
Nous espérons une ouverture officielle pour l’expression des points
de vue dissidents pendant le Congrès mondial sur le SIDA qui aura lieu
à Bangkok, en Thailande, Juillet 2004.
Mon point de vue est qu’il n’y a pas de guérison du $IDA ni de la « zéropositivité », il n’y a que la guérison de la peur et de l’ignorance à ces sujets.
Avec tous mes vœux pour un futur basé sur la santé et non sur la maladie organisée…
Mark Griffiths. Mars 2004.
(info@sidasante.com)
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