Toujours vivant 16 ans après un "diagnostic mortel"

 

"Ne vous laissez pas impressionner par le poids des traditions, même honorées en de nombreux lieux et par plusieurs générations. Ne croyez pas quelque chose parce que beaucoup de gens en parlent. Ne vous en remettez pas à l'autorité des sages d'autrefois. N'accordez pas foi à votre imagination en croyant qu'un Dieu vous a inspiré. Ne croyez rien qui dépende uniquement de votre maître ou des prêtres. Ne croyez, après examen, que ce que vous avez vous-même mis à l'épreuve et avez trouvé juste et bon". BOUDDHA

Cette œuvre est le fruit de plus de dix années d'accumulation de documents exceptionnels et du travail de nombreux bénévoles. Ce site vous donne des explications claires pour comprendre que le "sida" est un concept sans aucune base scientifique réelle. Enlever les dogmes transmis médiatiquement et la réalité apparaîtra. Le "sida" est un syndrome défini artificiellement et non une maladie. Chacun des éléments qui participent à ce syndrome a une cause et une solution qui peuvent se comprendre et se soigner en dehors de toute psychose collective et surtout en dehors de toute origine prétendument virale du $ida.

Le fonctionnement du système immunitaire comporte encore de nombreux aspects fort mystérieux, même pour les meilleurs immunologistes d'aujourd'hui. En conséquence, limiter l'analyse du "sida" à l'étude des lymphocytes ou à l’étude de la "charge virale" relève presque de la folie, si ce n'est du crime...

L'homme est l'organisme le plus évolué sur cette terre et pour comprendre son fonctionnement il est nécessaire de prendre en compte ses multiples facettes, qui dépassent la seule conception matérialiste. Chacun a son histoire personnelle unique, ses pensées, ses émotions et sa manière de se sentir en harmonie avec la vie et avec lui-même ou non. Des recherches depuis vingt ans démontrent clairement que notre état d'esprit influence notre corps. Alors à quand une médecine qui admette l'importance d'unir soins de l'esprit et soins physique ?

Comment en sommes-nous arrivés à cette folie qu'est le sida ? Ce site tente de donner quelques explications.

La "viromanie" a commencé il y a longtemps, dès le début du XXe siècle, et de nombreuses erreurs ont été commises en essayant d'identifier divers microbes comme cause de plusieurs maladies, alors qu'en fait, la cause de ces maladies devait être trouvée dans les conditions de vie et le comportement des malades.

Au début des années 1970, le président Nixon a investi beaucoup d'argent dans la recherche de rétrovirus comme cause possible du cancer. Le résultat de ces efforts fut nul (sauf le déficit pour les contribuables américains !). Vers la fin des années 1970, les rétrovirologistes commençaient à perdre leur crédibilité. L'échec était évident. Beaucoup de chercheurs commençaient à s'interroger sur le rôle du stress et les nombreux facteurs toxiques de la vie moderne, plutôt que sur la recherche d'hypothétiques agents infectieux.

Après l'annonce faite par le CDC en 1981 d'une dépression immunitaire grave chez de jeunes américains, les rétrovirologistes ont tenté de trouver une cause virale à ce fléau dont 5 cas avaient été décrits aux USA. Les cinq cas en questions étaient apparus chez cinq consommateurs de "poppers", d'antibiotiques et de drogues illégales. Ces aspects toxicologiques ont très rapidement été censurés par les autorités qui étaient trop contentes d'avoir enfin trouvé une justification inespérée à 15 ans de recherche infructueuse sur les rétrovirus comme cause du cancer !

Le Dr Robert Gallo, travaillant à l'Institut National de la Santé des USA, et qui avait commencé par annoncer la prétendue découverte du "premier rétrovirus humain" (HTLV-1) découverte qui ne fut jamais confirmée, a donné une tristement célèbre conférence de presse, le 23 avril 1984, en présence du Secrétaire d'Etat à la Santé, pour déclarer que la science américaine venait de découvrir un rétrovirus comme cause "probable" du sida. Aucune publication scientifique ne permettait de soutenir cette hypothèse ! Dès le lendemain, la presse a laissé tomber le mot "probable"... et depuis la recherche sur le sida a sombré dans le domaine de la science-fiction. Sans aucune base scientifique, le dogme VIH=SIDA=MORT fut mondialement accepté. Très rapidement, sous la pression du monde "gay" américain, le nom même de la maladie qui était "Gay Related Immune Deficiency" (GRID) fut changé pour enlever un signe discriminatoire intolérable. Un lobbying frénétique et insensé s'est développé pour produire en un temps record un traitement pour le "Acquired Immuno Deficiency Syndrome" (AIDS).

Cette pression fut reçue avec gourmandise par plusieurs grandes compagnies pharmaceutiques, avides de nouvelles conquêtes après l'échec de tous leurs efforts déployés pour trouver des thérapies antivirales contre le cancer. Les règles les plus élémentaires pour l'isolement des virus, et des rétrovirus en particulier, furent promptement ignorées, devant l'urgence de trouver "une solution au problème du sida". Les nombreux scientifiques qui tentaient de critiquer le nouveau dogme VIH=SIDA furent prestement réduits au silence ou ridiculisés.

Vous pouvez trouver la suite de cette tragique page de l'histoire de la médecine sur ce site.

Aujourd'hui, les meilleurs analystes du "sida" qualifient ce syndrome de phénomène d'hypnose/psychose collective sans aucun fondement scientifique. Notre point de vue est que les "tests" du sida ne détectent que des débris cellulaires, des fragments d'ADN sans réelle spécificité virale voir même des organismes endogènes. Le sida nous apparaît comme le "Syndrome de Déficience Énergétique Acquis" - dû à notre mode de vie, au stress, au surmédicamentation et à la peur d'un "diagnostic de sida" déclaré sans espoir de guérison par la médecine officielle.

La liberté de choix thérapeutique est un droit humain fondamental. Imposer un diagnostic mortel et les traitements les plus toxiques de l'histoire sur la seule base d'hypothèses sans preuves est intolérable. C'est une violation inadmissible des droits de l'homme.

Je serais ravi de venir chez vous pour donner une conférence sur le contenu de ce site et sur mon expérience d'"étiqueté" séropositif depuis 1986 sans traitement "officiel". D'après la médecine de 1986 je devrais être mort depuis 1991 ! Je serais également ravi de participer à l'organisation en France de conférences pour donner la parole aux scientifiques cités dans ce site.

Mark Griffiths, janvier 1999. Ce document est dédié à ceux qui aiment la vie.

Je remercie tous ceux et celles qui m'ont aidé de près ou de loin à produire ce document et tous les autres amoureux de la vie de la planète.