VIH-SIDA : L'effondrement d'un mytheNexus n° 23, Nov-DécLe Mensonge Statistique
Par le professeur Jens Jernal, MD (MA), DSc hc, MSc,
BA, FWAIM, © 2002
Apartudo 591 Arrecife, Lanzarote, ES35500, Espagne, e-mail : paradoxe@intercom.es Les statistiques sur l'expansion mondiale de ce qui est communément appelé VIH et SIDA doivent s'analyser en tenant compte des limites de leurs concepts fondateurs.
La science statistique est censée constituer le fondement de toute science moderne et être une discipline habituellement et exclusivement intéressée par les quantités, les mesures et les chiffres, édictés comme autant de preuves indiscutables. Malheureusement, il est aisé de falsifier ou de biaiser intentionnellement des résultats statistiques en négligeant simplement certaines règles spécifiques et complexes présidant à l'échantillonnage et à l'évaluation des données. Mais l'aspect le plus fascinant des statistiques réside dans les possibilités qu'elles offrent à un statisticien intelligent de manipuler à dessein les chiffrés et de créer ainsi l'illusion de démontrer ou d'infirmer à peu près tout et son contraire. Les statistiques du SIDA constituent une superbe vitrine de ce travail de prestidigitation. Elles sont clairement conçues dans un souci d'arrangement, employant plusieurs trucs d'illusionniste pour gonfler les chiffres à un point qui suscite suffisamment la terreur ou la panique au sein d'une partie assez large de la population. Elles permettent ainsi au pouvoir d'introduire des mesures exceptionnelles de contrôle par des moyens forts comme des mandats médicaux, intervenant de façon contraignante sur la liberté de mouvement et de comportement. C'est un moyen assez comparable au couvre-feu qui permet de contrôler une situation d'agitation politique ou de guerre. Nous n'aborderons pas ici les raisons probables d'un tel jeu au sein du pouvoir et examinerons seulement de quelle manière les chiffres du SIDA sont de facto manipulés intentionnellement dans le but d'affecter la réalité d'une distorsion importante et de fonder des projections alarmistes pour le futur. Quels sont donc ces trucs d'illusionniste auxquels je fais illusion ? Le premier utilise la technique du cumul des données, inusité pour les autres maladies, qui n'a d'autre intérêt logique que de grossir la réalité des chiffres et de donner l'impression de leur progression. Ainsi, plutôt que d'établir le nombre de nouveau cas apparu telle année, on préfère vous nourrir du nombre cumulé de cas rapportés depuis le début du phénomène. Cela a plus d'impact, et avec un peu de chance, le chiffre pourrait même être pris pour une donnée annuelle. Une seconde technique, généreusement utilisée par de nombreux rapports sur le SIDA, est de changer la base de référence des chiffres, spécialement lorsque ceux-ci contredisent les attentes. Cela a été fait de différentes façons, la plus courante étant celle consistant en l'élargissement des symptômes donnant lieu au diagnostic de SIDA. Par exemple, de nouvelles maladies ont été intégrées à la définition du syndrome d'immunodéficience. Plus de 29 différentes maladies, toutes connues préalablement à l'apparition du SIDA, sont ainsi considérées comme manifestation du syndrome lorsqu'elles s'accompagnent d'un test séropositif (test en fait non spécifique, qui réagit à plus de 60 divers facteurs qui n'ont rien à voir avec le SIDA ou le VIH). Il est alors aisé de comprendre que plus nombreuses sont les maladies répertoriées comme symptomatiques du SIDA, plus les statistiques comptabilisant le nombre de personnes infectées sont importantes. C'est un des moyens permettant de désigner le SIDA comme un fléau en progrès alors que les faits démontrent le contraire. En effet, après un pic en 1992, le nombre de nouveaux cas déclarés aux USA décroît régulièrement. Ce n'est pas l'impression laissée par les messages véhiculés par les médias et les autorités sanitaires. Il est également important de prendre conscience du fait qu'en Afrique, aucun test n'est requis pour le diagnostic de SIDA. Toute maladie déclarée pendant plus d'un mois et manifestant certains symptômes est automatiquement répertoriée comme tel. Ces maladies ont . toujours existé ; elles étaient courantes bien avant l'apparition du SIDA. C'est l'une des raisons de I'inflation des chiffres concernant l'Afrique. Mais même en adoptant cet élargissement des critères de la maladie, les chiffres restent inférieurs aux évaluations données par les journaux. La raison en est que les estimations dont ces 1) derniers font état sont créées de toutes pièces et généreusement épicées par des projections dans le futur infondées et imaginaires. Évidemment, il est préférable d'utiliser les "estimations" plutôt que les décomptes réels, car elles peuvent être gonflées à volonté. Par ailleurs, lorsque l'on désire dénombrer le nombre de personnes infectées par le VIH, I'estimation est le seul outil disponible car aucun chiffrage précis n'est possible. Seul un très faible pourcentage des cas est soumis à un test d'anticorps, abusivement désigné comme "test VIH", laissant toute latitude à l'estimation des quantités. Si seul le nombre de cas avérés et correctement diagnostiqués était rapporté, le fait ne causerait certainement pas le même émoi, et encore moins de panique, dans l'opinion publique. Un rapport américain récent affirmait qu'au moins le quart des personnes séropositives n'en avait même pas connaissance. Comment, dans ces conditions, un journaliste peut-il donner de chiffres ? Les statistiques du SIDA sont pleines d'absurdités de ce genre, mais personne ne semble s'en émouvoir, ni même le remarquer. LES STATISTIQUES DE LAFRIQUE L'une des rares sources de statistiques africaines du SIDA est constituée les résultats de tests anticorps (dit VIH) effectués sur les femmes enceintes dans quelques maternités publiques. Ces chiffres montrent une forte proportion de mères séropositives. Pourquoi ? Parce qu'il existe plus de soixante conditions médicales différentes pouvant occasionner la positivité du test, dont la grossesse elle-même ! Elles incluent les vaccinations ou de récentes infections provoquées par les hépatites, la malaria, la tuberculose ou la grippe. Considérant que ce test est pratiqué sur des femmes enceintes et que la gestation est l'une des causes connues d'erreur du test, que la plupart des femmes accédant a ces maternités souffrent de malnutrition, de pauvreté et ont probablement été exposées à plusieurs des autres conditions d'invalidité du résultat, il est aisé de prédire qu'une forte proportion d'entre elles sera dépistée séropositives. Cependant, cela ne signifie aucunement qu'elles le sont, et encore moins qu'elles développeront le SIDA. Pourtant, ces résultats inévitablement imprécis et non significatifs sont pris en compte et appliqués au continent entier, aux hommes comme aux femmes, aux jeunes comme aux vieux, aux rlches comme aux pauvres, sans distinction, les incluant à la démonstration de l'incidence du SIDA. Ces personnes n'en sont pourtant aucunement représentatives, et quiconque est en possession des rudiments de connaissance au sujet des tests et des statistiques ne peut qu'en être conscient. C'est bien pourtant ainsi que les statistiques sur le SIDA en Afrique sont élaborées puis publiées. Incidemment, en dehors de l'invalidation des résultats du test par plus de soixante causes, il a été prouvé que ceux-ci varient d'un jour à l'autre pour une même personne, même réalisés par le même laboratoire, encore plus si les laboratoires sont différents, et toujours plus si ces derniers sont dans des pays différents. La raison en est qu'il n'existe pas de "règle d'or" en la matière, et que la décision de retenir tel ou tel taux sur léchelle de séropositivité est laissée au libre-arbitre de chacun. On utilise ce type de test pour convaincre les gens qu'ils vont mourir du SIDA, afin qu'ils achètent des médicaments hors de prix qui les rendront désespérément malades, et les tueront même plutôt que les guérir. Voilà le passif, et les bonnes raisons qui expliquent la réticence du Président d'Afrique du Sud Mbeki à offrir ces médicaments non seulement inefficaces mais mortels aux femmes enceintes, aux nouveau-nés et finalement à n'importe lequel de ses concitoyens. Une étude a déterminé qu'un groupe de jeunes hommes ayant effectué le test avait connu une mortalité plus importante qu'un autre groupe de sujets non testés, et quiconque en prenait connaissance supposait automatiquement que ces séropositifs étaient bien morts du SIDA. Cependant l'étude ne montrait pas la cause réelle de ces morts dans le groupe testé séropositif. Dans la partie de l'étude qui s'en préoccupait, on établissait une corrélation entre les personnes testées positivement et le taux de mortalité légèrement supérieur, mais aucune corrélation n'est faite avec le SIDA. La plupart de ces morts n'étaient pas en fait causées par le SIDA. Ceci constitue un cas typique de miroir aux alouettes ! En outre, en Afrique, les rapports épidémiologiques sont basés sur un éventail de critères très différents selon la région ou l'agence de recensement. Le fait que les cas de SIDA semblent mieux soutenus financièrement que les maladies traditionnelles, pousse les auteurs de rapports à assimiler toute maladie comme SIDA lorsqu'il s'agit de simples cas de tuberculose, de malaria ou d'autres maladies endémiques du continent africain. De façon intéressante, la tuberculose et la malaria, toutes deux très courantes en Afrique, ont été inscrites sur la liste entrant à part entière dans la définition du SIDA, mais chacune d'entre elles peut rendre déficient le test VIH. Malin, non ? Vous apercevez l'écran de fumée ? Selon les estimations officielles de l'UNAIDS pour 2000, 36,1 millions de personnes dans le monde vivent infectées par le VIH/SIDA. Parmi ceux-là, 25,3 millions vivraient en Afrique subsaharienne. Mon interrogation à ce sujet est: comment peuvent-ils le savoir ? Dans le tiers-monde, un cas de SIDA peut être diagnostiqué sans l'usage du test dit VIH, sans qu'il s'agisse d'une véritable infection par le VIH. C'est un fait avéré que très peu sont testés et ceux qui ont obtenu un résultat positif représentent un part infinitésimale des 36,1 millions que l'UNAIDS déclare vivre avec le SIDA. Alors comment trouvent-ils donc les autres ? Généralement, aucune distinction n'est faite entre les séropositifs porteurs sains et les sidas déclarés. Comme s'il s'agissait de la même chose ! Un autre écran de fumée. Ailleurs, la même source estimait le nombre de nouvelles infections à 5,3 millions en 2000, alors qu'elle donnait pour le nombre cumulé de morts du SIDA le chiffre de 21,8 millions. Sachant qu'extrêmement peu de tests sont réalisés en Afrique à cause de son coût élevé, on ne peut s'empêcher de se demander sur quelle base sont faites ces estimations. C'est encore plus vrai considérant que le nombre officiel de morts du SIDA ne correspond qu'à une petite partie des chiffres délivrés par l'UNAIDS depuis le début de "I'épidémie", il y a 20 ans. Ceci en dépit de toutes les bonnes raisons avancées pour qualifier d'alarmante la progression de la maladie en Afrique. Un des arguments avancé par les statisticiens inflationnistes pour expliquer ce décalage est que la plupart des décès dus au SIDA sont attribués à d'autres maladies, soit parce que les proches ne souhaitent pas admettre qu'un membre de la famille ait été victime d'une maladie aussi honteuse, soit parce qu'ils ne savent pas qu'il s'agit du SIDA ! Mais par contre, ceux qui réalisent des estimations le savent, même sans l'aide du test. On se demande bien comment. Sans doute par clairvoyance ? ANATOMIE DUN PANDÉMIE Que faire de plus pour conjurer l'insidieuse impression que le SIDA représente une pandémie à progression accélérée menaçant de balayer l'ensemble de la population mondiale à moins de l'anticiper et de la juguler en poussant les gens à se jeter sur une chimiothérapie chère et mortelle abusivement qualifiée "d'antivirale"? Un autre truc employé est de sélectionner une tranche d'âge connaissant le taux de mortalité le plus bas, disons les jeunes entre 20 et 30 ans, et de montrer que le SIDA (ou plutôt les "antiviraux" prescrits) s'y avère être la cause première de décès. Prenez soin alors de ne pas révéler le taux réel, car s'il est trop faible, il émousserait l'effet recherché. Ainsi, dans la mesure où peu de membres de cette génération meurent de causes naturelles, il est aisé de voir dans le SIDA la principale cause de mortalité, ou au moins une cause majeure au côté des suicides et des accidents. Publier ce type de résultats avec suffisamment de publicité entraîne facilement l'opinion publique à conclure que le SIDA est une cause majeure de décès, ou du moins qu'une très forte proportion de membres de cette tranche d'âge est victime du SIDA... alors que le taux réel, même parmi ces jeunes, pourrait ne pas excéder 1 %. Vous le voyez ? et hop ! "Disparu". C'est un moyen utilisé par les illusionnistes pour une prestidigitation statistique qui leur évite de réellement mentir. Au final, jouons la carte du nombre réel des orphelins du SIDA comparé aux estimations. Celles-ci omettent de préciser la définition d'un orphelin: enfant dont l'un ou les deux parents sont décédés. Il n'existe pas non plus de documentation fiable permettant de dénombrer le nombre de parents manquants effectivement morts du SIDA ou même simplement morts par quelque cause que ce soit. La cause d'absence des parents de loin la plus répandue en Afrique en est les conflits armés qui ravagent le continent depuis plusieurs décennies. Un exemple récent pro venant d'Inde illustre bien ce qui se passe. Les statistiques officielles présentées aux Nations Unies affirment l'existence de 560 000 orphelins du SIDA dans le pays, pour seulement 17 000 morts ! Lors d'une conférence de presse, un journaliste demanda à David Miller, représentant de l'UNAIDS en Inde, d'où il sortait ces données concernant les orphelins. Il n'avait aucune réponse. Le ministre indien de la santé en référa à la personne chargée de gérer la collecte des chiffres du SIDA pour le gouvernement. Cette dernière lui rétorqua qu'il n'existait aucune estimation du nombre d'orphelins du SIDA en Inde. Quand le Docteur Miller fut interrogé à ce sujet, il répondit: "Je ne peux révéler la source de l'information. Je dois en discuter avec mes collègues de Genève." Un autre fait n'a cessé de me fasciner: comment une institution publique, supposée professionnelle et responsable, comme celle de I'Organisation Mondiale de la Santé, peut-elle connaître l'incidence du virus VIH (souvent assimilée au SIDA) sur les adolescentes africaines, affirmant que leur taux de contamination augmente de 26 % d'une année sur I'autre ? Quelle est la source d'information lui permettant une telle assertion ? Quelques jeunes filles testées dans une école l'an dernier, et quelques autres cette année, peut-être juste après a voir été vaccinées, ou après le pic annuel de grippe ? Ou bien l'étude était-elle limitée aux adolescentes enceintes ? Combien d'entre elles ce test a-t-il concerné ? Comment y a-t-on procédé ? Pourrions-nous voir le détail de l'étude, s'il vous plaît ? La plupart des personnes ne réalisent pas que souvent, lorsqu'un pourcentage est donné pour un pays ou un groupe social, seul un petit nombre d'entre ses membres ont été effectivement examinées. Le résultat obtenu dans ce petit échantillon est alors étendu à l'ensemble du groupe visé, malgré le risque important de sa non-représentativité. Un statisticien aguerri qui souhaite falsifier la réalité choisira en conséquence I'échantillon occasionnant le résultat escompté, sans avoir besoin de truquer les chiffres eux-mêmes Pour compléter ce tour des "illusions statistiques", je vais vous livrer un aperçu essentiel de ce que cache derrière la soi-disant fiabilité statistique du test VIH. On affirme un test VIH être fiable à 98 %. Acceptons l'assertion par amour de la rhétorique. Dans notre culture obsédée par les chiffres, les quantités et les pourcentages, cela devrait rassurer la plupart des personnes. Mais que peut donc signifie cette vérité statistique dans la vie d'un individu ? Dans un échantillon représentatif de la population américaine, I'estimation de la fréquence de l'infection VIH est de 0,04 %, soit 4 cas pour 10000 personnes. Si l'on teste donc 100 000 américains, on peut s'attendre à trouver parmi eux 40 cas réels de personnes infectées par Ie VIH. Cela signifie aussi que le reste, soit 99 960 personnes, serait diagnostiqué séronégatives. Cependant comme le test est fiable à 98 %, il se peut qu'il se trompe pour 2 % de ces 99 960 personnes en les identifiant comme séropositives, soit 1,999 d'entre elles ! Ainsi, pour cet exemple, parmi les 2 039 qui seraient révélées séropositives, seules 40 le seraient réellement. Cela signifie que 98 % de ceux qui ont été testés séropositifs ne le sont pas du tout. Lin d'autres mots, ce test déclaré fiable à 98 % et ainsi agréé pour être commercialisé est en fait imprécis à 98 %, du point de vue des personnes qu'il aura révélé séropositives. Imaginez les sorts des 1999 cas sains, informés faussement de leur contamination par le VIH et qui, à force d'intimidations, ou bien séduits par l'establishment médical, prennent de l'AZT ou d'autres médicaments toxiques pour "retarder" la manifestation de la maladie. Mis à part le coût exorbitant du traitement (et donc l'énorme bénéfice pour le secteur médical) combien, d'après vous, survivront à l'épreuve ? Peu, je vous l'assure. Tel est le scénario diabolique mis en scène par les autorités américaines. L'ensemble de la population a peur de faire le test et ceux qui sont déclarés séropositifs sont poussés à acheter des médicaments nuisibles assurés de les mener à la mort. (Si vous croyez toujours, à l'instar de la propagande médiatique, que l'AZT est un remède servant La vie, aller donc chercher quelques informations facilement vérifiables sur le site web : www.rethinkingaids.com et faites une recherche sur "Anthony Brink" et le corollaire du procès en instance.) Nous avons accepté plus haut l'idée de la fiabilité du test à 98 %; Il semble que personne ne se soit demandé comment ce fait avait été établi, dans la mesure où il n'existe aucun contrôle sérieux. Comme pour le reste du dogme actuel du SIDA, et la plus grande part de la "science VIH", il s'agit simplement d'une pure déclaration de foi. En fait, sur la base de ce que révèle cet article, nous savons que la marge d'erreur peut être beaucoup plus importante. Mais nous savons également qu'être déclaré séropositif par un test anticorps non spécifique pour un VIH hypothétique est sans fondement, car en lui-même, il n'a pas de valeur prédictive d'un développement futur du SIDA. S'agit-il ainsi d'un écran de fumée destiné à piéger les personnes "à risque" confiantes dans un bourbier de tests et de traitements hautement rentables qui, comme il est admis ouvertement, ne mènent nulle part sinon à l'anéantissement et à la mort ? UN PROGRAMME SECRET Une interprétation encore plus sinistre suggère que l'état de panique et de terreur intentionnellement provoquée par le matraquage médiatique fut conçu pour préparer le terrain en vue d'instituer un état d'urgence général justifiant d'importantes restrictions des droits et des libertés civiques, voire même des interventions militaires. En effet, sinistre fut la tonalité apportée par la présidence de Clinton en 2000 lorsque le SIDA fut déclaré "question de sécurité nationale" non seulement en Amérique, mais partout dans le monde, et spécialement en Afrique. Est-il possible de déceler un programme politique secret derrière ceci, voire un complot du pouvoir pour le contrôle de la planète ? Si c'est vraiment le cas, qui en est la tête pensante ? La Maison Blanche, quelle que soit la tendance politique au pouvoir ? Ou le Président en place ? Ou la CIA ? ou le Pentagone ? Ou l'industrie pharmaceutique ou pétrochimique ? Et peut-être même l'ensemble de ces pôles de pouvoir, en concertation ? Et l'objectif en est-il seulement de générer des profits astronomiques et de renforcer le pouvoir financier ou bien s'agit du contrôle effectif de la planète entière ? Il se pourrait quil ne s'agisse pas du début froidement planifié d'un scénario politique cohérent, mais peut-être devrions-nous rappeler comment tout ceci a commencé. C'est l'administration Reagan qui, au cours d'une année de campagne présidentielle`, déclara, sans aucun bilan d'expert, débat ou consensus scientifique, qu'un nouveau rétrovirus était "la cause probable du SIDA" et qui promit un vaccin dans les deux ans. C'était en 1984, titre du célèbre roman visionnaire d'Orwell au sujet du futur gouvernement "Big Brother" qui fut publié cinquante années auparavant. Depuis cette déclaration d'avril 1984, le gouvernement fédéral américain prit un contrôle total et dictatorial sur l'épidémie. Les autorités médicales décidèrent quelle recherche financer, quel traitement approuver, quel matériel publier clans les revues professionnelles et quelle information donner au public par les médias. Le reste de la sphère institutionnelle, à l'exception de quelques-uns, se mit à danser penaudement sur cet air-là, entrant dans une transe de mort dédiée au SIDA de l'Oncle Sam. Et puisque la seule menace du SIDA ne produisait pas aux USA l'effet escompté sur le long terme, elle devait être suppléée par la menace terroriste et la peur de l'anthrax. Maintenant cet effet est bien atteint. Rapidement, la population effrayée s'est laissé complaisamment dépouiller de ses droits civiques élémentaires, et des pouvoirs dictatoriaux incontrôlés ont été conférés à diverses agences politiques, le tout au nom de la sécurité et dans le but de "protéger les gens". Ces mesures, ainsi que l'intervention militaire en Afghanistan, avaient été mises au point bien avant les attaques du 11 septembre. Dans ce cadre, vous devriez comprendre plus facilement que la présence du nouveau rétrovirus, le mal nommé VIH, chez les personnes "testées séropositives", soit déduite de l'utilisation de marqueurs non spécifiques. Quelques chercheurs extrêmement crédibles affirment que ceux-ci ne constituent aucunement une preuve d'infection par le VIH et que ce dernier pourrait même ne pas exister du tout ! À ce jour, le VIH n'a d'ailleurs jamais été isolé chez un patient; Que vous le croyiez ou non, ce sont les faits, et chacun peut le vérifier. Avez-vous d'ailleurs remarqué que les personnes officiellement désignées "à risque" étaient en premier lieu de race blanche "socialement indésirables": les homosexuels, les toxicomanes par intraveineuse, les prostituées et les hémophiles, puis la classe pauvre des noirs américains et enfin les habitants de l'Afrique noire sub-saharienne ? Et avez-vous remarqué que le premier et pendant longtemps le seul médicament autorisé pour traiter les malades du SIDA aux USA était l'AZT, vieux de 20 ans et mis au point pour lutter contre le cancer. 11 n'avait jusque là pas reçu l'agrément de la Food and Drug Administration pour cause de trop grande toxicité pour la consommation humaine ! Mais pour les groupes sociaux "à risque" du SIDA, l'AZT fut adopté par une procédure expresse qui s'est révélé depuis être une fraude pure et simple. Pour un nombre sans cesse croissant d'observateurs professionnels avertis, il est de plus en plus évident que le SIDA n'est causé par aucun virus, qu'il n'est pas transmissible par voie sexuelle, et qu'il n'est même pas contagieux du tout. Au lieu de cela, il s'agit plutôt d'un syndrome multifactoriel, dont les causes les plus importantes sont l'absorption de produits chimiques toxiques ou de médicaments. Parmi eux figurent les pesticides, insecticides, les lubrifiants à base de benzène employés par certains homosexuels, les drogues récréatives, les parasites multiples, les infections virales et bactériologiques, la malnutrition et une cause, non des moindres, la prescription de médicaments de toutes sortes et plus particulièrement les chimiothérapies très toxiques habituellement préconisées pour les cas de SIDA et "d'infections par le VIH". Il n'est aucune carence de traitement non-toxique pour le SIDA qu'il est parfaitement possible de le soigner. Il suffit d'en reconnaître les causes réelles et d'arrêter d'empoisonner les gens. Comment faire face à cette situation ? En devenant plus vigilants et en remettant en question toute information émanant des médias et des agences gouvernementales, et de façon plus aiguë encore lorsqu'elle provient de secteurs liés au SIDA par des intérêts financiers ou de pouvoir. En refusant de se laisser manipuler, abuser et sacrifier sur l'autel d'une science corrompue, des jeux du pouvoir politique, de l'impitoyable monde des profits pharmaceutiques et surtout en utilisant notre bon sens et notre capacité à penser par nous-mêmes. Références :
Traduction: David Dennery, Nexus n° 23, Nov-Déc
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