La question de la transmissibilité de la séropositivité

 

Puisque le VIH n'a pas été isolé, on peut déjà douter très très fortement du fait que le SIDA et la séropositivité soient transmissibles. Si c'était une maladie virale, on devrait pouvoir identifier le virus, et le retrouver dans les fluides conduisant à une transmission (sperme, etc...), et dans le sang des séropositifs et des malades.

Mais, l'orthodoxie présente le SIDA comme une maladie transmissible. Il n'y aurait pas de virus identifiable, mais ce serait quand même une maladie transmissible sexuellement. Voyons si les autres données corroborent l'idée de quelque chose de transmissible, malgré la très étrange (et donc déjà quasi rédhibitoire) impossibilité de trouver l'agent pathogène.

D'abord, il faut voir que comme le passage au stade sida est complètement brouillé par la prise de médicaments, il est assez difficile de traiter clairement du problème de la transmissibilité de la maladie. Il y a bien le cas des malades et morts qu'ils devraient y avoir dans la mesure où beaucoup de personnes ne savent pas qu'elles sont séropositives. Mais il n'y a quasiment aucune donnée là dessus (bien sur, les personnes qui se font tester à l'occasion de maladies ne rentrent pas dans cette catégorie, puisque avoir une maladie une fois n'est pas significatif et puisque après, elles entrent immédiatement dans la sphère de la médecine et prennent des médicaments qui brouillent à nouveau l'analyse du problème). Si on ne donnait pas de médicaments aux séropositifs, et qu'il n'y avait pas de population ayant un style de vie auto-destructeur ou subissant la malnutrition, on pourrait voir alors le problème de la transmissibilité par ce biais là (par le biais de la maladie et de la mort) ; mais ce n'est pas le cas.

On reste donc cantonné à l'analyse de la transmissibilité de la séropositivité. Bien sur, l'analyse de la séropositivité est elle aussi totalement entachée de défauts fatals (problème déjà évoqué, de l'existence du VIH, et donc, problème des tests). Mais, il faut bien prendre un point d'appui pour analyser le problème. Donc, par défaut, on ne peut même pas dire s'il s'agit d'une maladie transmissible, puisqu'on ne sait même pas si la séropositivité amène à la maladie. Tout ce qu'on peut se demander, c'est si la séropositivité est transmissible. C'est là dessus que ce chapitre va se concentrer.

Bien sur, il y a des séropositifs, des malades, des morts, des gens avec des comportements supposés à risque. Avec une approche globale, sans entrer dans les détails (ou alors, en ne sélectionnant que certains détails), donc, de loin en quelque sorte, ces corrélations peuvent paraitre convaincantes. C'est sur ces corrélations générales que l'orthodoxie du SIDA joue. Parce que dès qu'on entre dans les détails, les faits ne tournent pas du tout à l'avantage de l'establishment du SIDA.

 

 

Le paradoxe des prostituées

Est-ce que nous sommes bien informés sur le SIDA ? (voir les 3 pages à partir d'ici)

le ying et le yang du VIH (pdf, voir pages 9 et 10)

L'escroquerie du SIDA (voir à : monsieur VIH, votre transmission est interrompue)

Le document du ministère de la santé où sont donnés les chiffres de taux de transmission par acte (pdf, page 202

précédemment accessible à http://www.sante.gouv.fr/pdf/dossiers/sidahop/ch16.pdf)

Prévalence dans les prisons sud-africaines

 

En anglais :

AIDS in thailand

 

 

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