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Il n'y a aucune preuve que le VIH puisse causer le sida ou aucune autre maladie. Cette croyance n'est pas un fait mais une hypothèse jamais prouvée. L'idée du VIH comme cause du sida a été introduite lors d'une conférence de presse du Dr Robert Gallo en 1984. Robert Gallo est un chercheur employé par l'Institut National de la Santé qui a consacré toute sa carrière à chercher à prouver que le cancer était une maladie contagieuse causée par une infection virale. L'idée du cancer dû à un virus était une notion très populaire dans les années 1960 et 1970. Pendant deux décades toute la recherche sur le cancer financée par le gouvernement s'est concentrée sur ce concept d'un virus causant le cancer et sur l'étude des rétrovirus. Bien que Gallo ait prétendu avoir découvert un rétrovirus transmis sexuellement qui causait une leucémie 45 ans après l'infection, d'autres études poursuivies pendant cette période de 20 ans sont arrivées à la conclusion que les rétrovirus ne peuvent pas faire de mal aux cellules et que le cancer n'est pas une maladie contagieuse.
Dans les années 1980, quand l'Amérique a commencé à s'intéresser au sida, Gallo et d'autres chercheurs dans le domaine du cancer ont mis toute leur attention sur ce nouveau problème. Ce sont les mêmes scientifiques, soutenus par le gouvernement dans des recherches sans succès pour trouver un virus du cancer, qui ont cherché alors un virus qui pourrait causer le sida.
Le 23 avril 1984, Gallo a convoqué une conférence de presse internationale pour annoncer la découverte d'un nouveau virus. Il a affirmé que ce rétrovirus était "la cause probable du sida". Gallo a fait cette déclaration sans avoir publié aucune recherche scientifique pour soutenir son idée. Le même jour Gallo a déposé un brevet pour un test de recherche d'anticorps qu'on connaît maintenant comme le test du sida et tous les fonds destinés à la recherche qui auraient pu aller dans la direction d'autres causes possibles du sida ont été bloqués.
En annonçant cette hypothèse aux médias sans avoir la moindre preuve à apporter, Gallo a violé une des lois fondamentales du processus scientifique. Les chercheurs doivent d'abord publier une évidence de leur hypothèse dans un journal médical ou scientifique pour que cette hypothèse puisse être débattue par d'autres experts et que les chercheurs puissent reproduire l'expérimentation originale pour la confirmer ou l'infirmer. Une nouvelle hypothèse doit pouvoir être examinée et être confirmée par d'autres expériences avant qu'on puisse la considérer comme étant une théorie valable.
Dans ce cas Robert Gallo a présenté une hypothèse non prouvée comme si c'était un fait établi et les médias l'ont suivi. Certains historiens attribuent la violation de ce processus scientifique à l'atmosphère de terreur et de désespoir qui entourait l'idée d'une épidémie possible. Par la suite Gallo n'a jamais pu donner une explication crédible de la manière dont le rétrovirus VIH causait le sida. Il a suggéré que ce virus détruisait les cellules du système immunitaire, mais 20 ans de recherches dans le domaine du cancer ont montré que les rétrovirus ne peuvent pas tuer des cellules et Gallo n'a jamais pu prouver que le VIH était différent des autres rétrovirus. Par la suite le Dr Luc Montagnier, de l'Institut Pasteur en France, a accusé Gallo de lui avoir volé le virus qu'il affirmait avoir découvert et une enquête conclut que Gallo avait utilisé des processus frauduleux pour faire ses recherches. Des négociations furent menées entre les gouvernements français et américains concernant le brevet du test du sida. Ils aboutirent à un compromis disant que Montagnier était le codécouvreur du VIH et qu'il recevrait une partie des droits de l'exploitation du test. Depuis Montagnier a déclaré qu'il ne croyait pas que le VIH à lui tout seul soit capable de causer le sida.
En 1992 Robert Gallo se trouve devant le Comité d'Intégrité Scientifique accusé de "fraude de patente et de parjure" pour ces papiers de 1984 publiés après l'annonce de sa découverte de "la cause probable du sida". Il échappe de justesse puisque la justice américaine change la définition de fraude scientifique !
Depuis 1984 plus de 100.000 articles scientifiques ont été publiés sur le VIH. Aucun de ces écrits n'a été capable de démontrer d'une manière raisonnable et claire que le VIH était la cause du sida. Bien que plus d'argent ait été dépensé dans la recherche au sujet du VIH que dans l'étude de tous les autres virus de l'histoire médicale, il n'y a toujours aucune preuve scientifique pour confirmer l'hypothèse que le VIH soit la cause du sida et que le sida soit une maladie virale. On peut définir une bonne hypothèse par sa capacité à résoudre des problèmes, à faire des prédictions précises et à donner des résultats. L'hypothèse du virus comme cause du sida ne remplit aucun de ces critères.
Des centaines de scientifiques dans le monde demandent maintenant une réévaluation de cette hypothèse.
Pendant plus d'une décennie on a émis l'hypothèse que le VIH avait une période de latence pendant laquelle il était inactif avant de s'activer et causer la maladie appelée sida. Cette théorie de période de latence était utilisée pour expliquer pourquoi le VIH ne se comportait pas comme les autres microbes et virus infectieux qui causent des maladies. Cette théorie était utilisée aussi pour expliquer pourquoi on ne trouvait pas de virus actif chez la majeure partie des séropositifs.
Au début on a dit que cette période de latence était de quelques mois. Puis cette théorie a été révisée et on a affirmé qu'elle était d'un an puis de deux puis de trois puis de cinq. En constatant qu'un très grand nombre de séropositifs ne développaient pas le sida comme on l'avait prévu, on a fini par étendre cette période à dix puis même quinze ans !
Quand les scientifiques n'ont plus pu justifier le concept d'une période latence de plus en plus longue, la théorie a été abandonnée. On a fait alors en 1992 une nouvelle déclaration disant que le VIH était tout le temps actif. Les médias et la plupart des organisations concernant le sida ont déclaré tout d'un coup que la théorie de la charge virale était un fait. Cette théorie dit que le VIH est constamment actif et que le corps d'une personne infectée est engagé dans une bataille journalière pour maintenir le virus sous contrôle. Cette théorie suggère que le VIH, après cinq dix ou quinze ans, finit par gagner la bataille et permet alors au sida de se développer. Cette théorie de la charge virale ne repose pas sur des faits scientifiques. Elle est simplement tirée de conclusions concernant le test PCR. Ce test PCR (Polymerase Chain Reaction) ne peut pas distinguer entre des particules virales non infectieuses et un virus. En fait 99 % de ce qui est détecté par cette réaction PCR correspond à des parties virales non infectieuses. Le Dr Kary Mullis, qui a gagné le prix Nobel en 1993 pour avoir inventé cette réaction PCR est l'un de ceux qui affirment que le VIH n'est pas l'agent causal du sida.
Le professeur Peter Duesberg dit "Il n'y a pas de virus lents, il n'y a que des rétrovirologistes lents !"
On crut que les rétrovirus étaient des micro-organismes qui engendraient l'activité de la transcriptase inverse, ce qui semblait très raisonnable au début des années 1970, comme hypothèse de travail. L'erreur a consisté à faire de cette hypothèse un dogme. Les premières techniques de détection génétique donnaient une certaine crédibilité à l'existence d'une entité qui serait transmise d'une cellule à une autre, ce qui s'avèra par la suite comme totalement erroné.
Pour un observateur perspicace il aurait pu paraître clair, dès 1973, qu'il était impossible de soutenir l'hypothèse qui attribuait aux rétrovirus le phénomène observé de la transcriptase inverse, puisqu'il était apparu que la transcriptase n'était un phénomène limité. L'activité de la transcriptase inverse fut bientôt mise en évidence dans toutes les substances vivants.
Des erreurs de ce type se produisent lorsque la technologie met à la portée des scientifiques un nouveau procédé qui pousse un bataillon chercheurs à une production massive de données expérimentales, en négligeant la signification biologique que leur travail peut avoir - s'il y en a une. L'habitude est funeste qui consiste faire un nombre interminable de réajustements ad hoc de la théorie car elle modifie de fond en comble l'hypothèse originale.
La science exige que le problème soit reformulé entièrement lorsque cela arrive. Sinon, comme c'est le cas pour le sida, on continue à avancer dans la plus grande confusion et sur des bases fondamentalement erronées.
Il peut être difficile d'admettre que toutes les cartes qui prétendent représenter un rétrovirus complet VIH, ne sont que des compilations de morceaux assemblés par leurs auteurs pour la plus grande gloire de leurs croyances. Entre collègues ... "Ni in vitro ni in vivo". Aucun rétrovirus ni son ARN dans sa totalité n'a jamais été véritablement mis en évidence selon des règles scientifiques.
En réalité, on peut démontrer que chaque propriété attribuée au VIH (et aux rétrovirus en général), appartient aux cellules utilisées dans les expériences de co-cultures. A aucun moment il n'y a eu de base solide pour affirmer que ces propriétés et composants ont quoi que ce soit à voir avec les virus en général ni avec le VIH en particulier !
Vous devez savoir que votre santé est très fortement influencée par vos croyances concernant le VIH et le sida. Les pensées sont plus puissantes que tous les microbes et vivre dans la terreur du VIH va sans l'ombre d'un doute produire des effets dévastateurs dans votre corps. Des études ont montré que même des animaux parfaitement sains mais soumis à une peur constante et à des conditions de stress finissent par mourir. Étant donné que ce que vous croyez au niveau mental va déterminer vos choix, vous devez garder à l'esprit les faits suivants :
- Le sida est une maladie qui a été mise en relation avec un test positif mais cela ne veut pas dire que le sida soit causé par le VIH.
- La présence d'anticorps, quels qu'ils soient, ne prédit pas la maladie. Au contraire la présence d'anticorps est le signe d'une réponse immunitaire normale ! La conception des vaccinations s'appuie sur le fait que les anticorps nous protègent des maladies et il n'y a aucune évidence qui prouverait que les anticorps contre le VIH soient différents des autres.
- Les tests VIH qui ont été développés ne s'appuient sur aucun standard de référence valable partout. Ils varient d'un pays à l'autre, d'un laboratoire à l'autre.
- Le test PCR n'a aucune spécificité en ce qui concerne le VIH.
- Les tests Elisa et Western Blot ne sont pas spécifiques et réagissent aux anticorps de très nombreuses autres particules que le VIH et à de nombreuses conditions que l'on trouve dans le sang. C'est en raison de toutes ces conditions que les homosexuels, ceux qui utilisent des drogues intraveineuses, les hémophiles et ceux qui ont reçu de nombreuses transfusions ont tendance à avoir des tests de séropositivité fréquemment positifs. Ils ont été exposés à beaucoup d'antigènes étrangers et à des agents infectieux.Tout cela a pu enclencher la production d'une multitude d'anticorps.
De nombreux chercheurs de la science officielle reconnaissent que, dans la population, il y a de très nombreux tests positifs qui sont en fait des tests faussement positifs. La charge virale ne correspond pas à l'isolation réelle d'un virus et ne permet pas d'être utilisée d'une manière diagnostique.
En fait il n'y a pas un test pour le sida. Ce qu'on appelle le test de séropositivité n'identifie pas le sida. Tant le test Elisa que le Western Blot sont des tests qui détectent seulement des anticorps produits contre le VIH mais aucun de ces tests n'est spécifique pour les anticorps contre le VIH. Ces tests sont tout à fait imprécis. Ils ne sont pas spécifiques dans le sens qu'ils décèlent la présence d'anticorps produits contre des microbes et bactéries ou d'autres facteurs qui n'ont rien à voir avec le VIH et que l'on trouve souvent dans le sang de personnes saines. De très nombreuses conditions peuvent amener à la production d'anticorps qui vont faire poser le diagnostic de séropositivité alors qu'ils n'ont rien à voir avec le VIH. Une simple grippe peut donner un test positif. Une vaccination peut aussi le faire.
Il suffit que vous ayez eu de l'herpès, une hépatite ou une vaccination pour l'hépatite B pour que votre test devienne positif. Des maladies comme la tuberculose ou la malaria peuvent aussi donner des résultats faussement positifs, de même que certains parasites intestinaux, l'alcoolisme, des maladies du foie ou simplement le fait que le sang soit fortement oxydé par l'abus de drogues. Tout cela peut donner la présence d'anticorps qui vont vous faire déclarer positif au test du sida. La grossesse elle-même peut donner des réponses positives. Deux grands journaux comme USA Today et le Wall Street Journal ont publié des rapports de la FDA (Food & Drug Administration) qui montrent qu'il y a de très nombreux cas de faux positifs avec ces méthodes de diagnostic.
Tout cela se produit parce que les tests qui doivent soi-disant détecter le VIH réagissent aux anticorps fabriqués contre toutes sortes de virus, de bactéries ou d'autres conditions sanguines qui n'ont rien à voir avec le VIH. Pour beaucoup de scientifiques aujourd'hui le fait que l'on n'ait pas isolé le VIH rend le test totalement faux puisqu'il faudrait pouvoir isoler le virus pour avoir un anticorps spécifique contre lui, ce qui n'a jamais été fait. En fait la production d'anticorps correspond à une réaction saine qui signifie que le corps fabrique son immunité contre un agent infectieux. Avant l'hypothèse de Gallo, on n'avait jamais utilisé les anticorps comme un indicateur de maladie. Il n'y a aucune évidence scientifique qui montre que cette règle puisse être tout d'un coup manipulée pour s'adapter au sida. Le problème reste entier puisqu'on a jamais été prouvé que le VIH est la cause du sida.
Les tests qui sont utilisés le plus fréquemment pour diagnostiquer le VIH sont :
l'Elisa - ou test de surveillance,
le Western Blot ou test de confirmation,
ou la Charge Virale (PCR).
Quand ces tests sont positifs, ils ne peuvent pas garantir que la
personne soit vraiment infectée par le VIH. Il y a
d'abondantes publications scientifiques qui signalent que plus de 70
facteurs différents peuvent donner chez une personne, un test
positif sans qu'elle soit infectée par le VIH. En d'autres
mots il y a plus de 70 raisons pour avoir des faux positifs quand on
recherche le VIH.
La plupart des conditions qui donnent une réaction positive
à ces tests est présente dans la grande majorité
des habitants du monde sous-développé.
Il est choquant de découvrir qu'un diagnostic d'infection par le VIH est basé sur des tests non-spécifiques. L'information scientifique nous dit qu'une personne qui réagit positivement au test VIH ne signifie pas du tout qu'elle soit infectée par le VIH.
Les compagnies pharmaceutiques qui fabriquent et commercialisent les kits pour ces tests connaissent leur imprécision. Et c'est pour cela que les notices qui les accompagnent écrivent typiquement :
- "Le test Elisa seul ne peut pas être utilisé pour
diagnostiquer le sida, même si l'investigation
recommandée suggère une haute probabilité que
l'anticorp VIH-1 soit présent." Abott Laboratories, 1994,
66-2333/R4.
La notice pour un des kits pour l'administration du test Western Blot
prévient :
- "Ne pas utiliser ce kit comme seule base de diagnostic d'infection par VIH-1". Epitome/Organon Teknica Corporation, PN201-3039 Revision #6.
La notice qui vient avec un kit populaire pour mesurer la charge virale signale :
- "Le test de surveillance impliquant VIH-1 n'est pas censé être utilisé comme test de surveillance du VIH ni comme test de diagnostic pour confirmer l'infection par la présence du VIH". Roche Diagnostic Systems, 06/96, 13-08-83088-001.
Le problème est que la plupart des gens ne lisent pas ce genre de documents. La majorité des chercheurs du sida, des soignants, des journalistes et du public ne connaissent pas ces faits par rapport aux tests. Ils n'en ont pas été informés.
Il est extraordinaire de constater que pouvez devenir simplement séronégatif en changeant de pays ou de laboratoire ! Des études ont montré que d'un pays à l'autre et d'un laboratoire à l'autre les résultats changent en fonction des tests utilisés, des façons d'utiliser chacun des tests et de les interpréter.
Quelques citations à propos des tests :
"Les gens qui ont reçu des injections de gammaglobulines peuvent avoir un test positif pour le sida même si ils n'ont jamais été infectés par le VIH. Des gammaglobulines sont données à des millions de gens chaque année comme moyen de protection contre les maladies infectieuses. Le Dr Thomas Zuck, de la FDA, a dit que le gouvernement n'avait pas laissé circuler cette information dans les médias parce qu'il pensait qu'elle pourrait faire plus de mal que de bien." Journal USA Today.
"Les techniques du test du sida n'ont pas été
standardisées et les variations qui peuvent se produire d'un
laboratoire à l'autre n'ont pas été
mesurées. Les critères d'interprétation peuvent
varier d'un laboratoire à un autre et même d'un mois
à l'autre."
Extrait de la notice qui accompagne le test Western Blot : "Ce test
qui mesure l'existence d'anticorps contre des virus associés
au sida n'est pas un test diagnostic du sida. Un test négatif
n'exclut pas la possibilité d'un contact avec l'une des
maladies associées au virus du sida. Un test positif ne prouve
pas qu'un sida soit présent ni qu'une maladie en rapport avec
le sida ait été acquise." New England Journal of
Medecine.
"Le seul moyen de distinguer entre des réactions de production d'anticorps dues au VIH et des réactions d'anticorps produites par d'autres causes serait d'isoler le VIH. Malheureusement le virus n'a jamais été isolé. Les tests qui mesurent les anticorps ne sont pas spécifiques pour une infection à VIH. " Bio Technology Journal.
"Des réactions croisées avec des anticorps qui ne sont pas spécifiques du VIH ont été prouvées avec les virus de la grippe, de l'herpès, de l'hépatite B, avec des mycobactéries, avec la tuberculose, la lèpre, les vaccinations contre la grippe et l'hépatite B, la grossesse (présente ou passée), les transfusions sanguines d'hémophilie et de conditions associées à un terrain très oxydé en rapport avec la consommation de drogues ou de désordres immunitaires comme le lupus, l'arthrite rhumatoïde et le myélome multiple. On trouve aussi des tests faussement positifs en cas d'hépatite alcoolique, d'alcoolisme et de maladies du foie ou encore d'anticorps contre des hydrates de carbone, des antigènes nucléaires, des vers ou d'autres parasites. Le test peut aussi être positif en présence de malaria, de malnutrition et de bien d'autres conditions." Christine Johnson.
Un des non-sens les plus stupéfiants de l'hypothèse du VIH comme cause du sida est le fait que l'on trouve une activité virale très faible ou même nulle chez les malades souffrant du sida. On peut comprendre l'activité biochimique des virus en faisant une comparaison avec l'activité biochimique d'un être humain. Une personne qui creuse un trou dans le sol a une activité intense que l'on peut mesurer en voyant l'augmentation de sa respiration, de sa température et de son rythme cardiaque. Une personne qui dort a une activité très faible et elle aura par conséquent des tests d'activité biochimique beaucoup plus faibles. Une personne qui est morte n'a plus d'activité biochimique du tout. Exactement comme quelqu'un qui dort ou est mort est incapable de creuser un trou, un virus qui n'est que très peu actif ou complètement inactif ne peut pas causer une maladie.
Dans le cas du VIH, les scientifiques ont trouvé chez les malades du sida des niveaux extrêmement bas d'activité biochimique virale, même chez les personnes qui mouraient du sida. Ce manque d'activité virale présentait un problème évident pour l'hypothèse du VIH. Si le virus était endormi ou mort comment pouvait-il causer une maladie ?
En 1993 une théorie a été adoptée pour répondre à cette question, théorie que la plupart des journaux et des médecins s'occupant des malades atteints du sida ont accepté immédiatement comme un fait. Les experts ont prétendu que le VIH était un virus lent qui restait inactif pendant des périodes de temps plus ou moins longues avant qu'il ne s'active et puisse causer la maladie. Pendant plus d'une décennie, on a accepté cette théorie d'une période de latence qui au début était de quelques mois et qui a fini par être allongée à plus de 15 ans.
De plus, même chez les patients atteints de sida on ne trouvait pas d'augmentation de la quantité de virus. Pourtant les maladies virales exigent la présence de virus en quantité suffisante pour causer la maladie. Avec l'hépatite ou la grippe, on trouve des quantités de virus qui se mesurent en millions ou en milliards par millimètre cube de sang. Dans le cas du sida, le VIH est soit totalement absent soit en quantité beaucoup trop faible pour pouvoir causer une maladie. De plus, quand le VIH se reproduit, il ne tue pas la cellule dans laquelle il vit, ce qui signifie qu'il n'est pas cytotoxique. D'autres virus qui causent des maladies sont cytotoxiques, ils détruisent la cellule qui les abrite quand ils se divisent et prolifèrent en infectant 30 à 60 % de toutes les cellules cibles. Avec le VIH on a affaire à un virus que l'on ne trouve qu'en très faible concentration et dans une toute petite partie seulement des cellules cibles.
La méthode standard pour détecter la présence virale est de cultiver le virus, un processus qui ne fonctionne pas pour le VIH. Normalement quand on met un échantillon de plasma sanguin du patient dans une culture de cellules le virus va pouvoir grandir et proliférer. Cette méthode a été appliquée pour tous les virus mais elle ne s'applique pas au VIH dont la présence n'est détectée que par les anticorps mesurés par le test de séropositivité. Pourtant ces tests ne mesurent que des anticorps qui ne sont pas du tout spécifiques contre le VIH.
En 1993, pour tenter de résoudre le mystère de ces VIH qui manquent cruellement à l'appel, les experts du sida ont annoncé comme une grande découverte qu'ils avaient finalement trouvé le virus qui se cachait dans les ganglions lymphatiques. Les journaux annoncèrent cela comme une découverte fantastique jusqu'à ce que l'on s'aperçoive que les particules rétrovirales qui avaient été envoyées à Gallo par Montagnier en 1983 venaient de ganglions lymphatiques et que la quantité de virus trouvée dans les ganglions en 1993 était totalement insignifiante. C'est en 1995 qu'arriva la théorie de la charge virale.
Cette théorie se fonde sur un modèle mathématique qui considère que le VIH est tout le temps actif et présent en quantité massive dès le moment de l'infection. Elle contredit complètement tout ce qui avait été affirmé jusque là avec la théorie du virus latent. Par cette théorie de la charge virale on affirme que le virus était tout le temps présent et actif mais que les méthodes de laboratoire précédentes ne permettaient pas de le mesurer ! La charge virale a été présentée devant la presse comme une découverte majeure. Elle a assuré à son créateur, le Dr. David Ho, de nombreux prix y compris d'être présenté par le magazine Time, en 1996, comme l'homme de l'année. Ho a affirmé que des milliards de VIH attaquent le système immunitaire chaque jour et que ce n'est qu'après des années de cette bataille microscopique que le virus parvient à détruire le système immunitaire et permet ainsi à la maladie de se développer. Pour mettre sa théorie en pratique Ho a expliqué que les scientifiques devaient mesurer les virus qui n'étaient pas dans des cellules plutôt que d'essayer de mesurer le nombre de cellules infectées par le virus. Il a affirmé que cela pouvait se faire avec la technique de la PCR. Mais ces affirmations ont soulevé des nouveaux problèmes qui 'ont pas reçu d'explications. Les virus qui ne sont pas dans des cellules sont par définition non infectieux et ne peuvent causer aucun mal et le test PCR n'est pas fiable il n'a même pas été approuvé comme moyen de diagnostic. En fait le test PCR (Polymerase Chain Reaction) est une technique révolutionnaire qui permet, à partir d'un échantillon de sang contenant de très petites quantités de ADN ou de RNA, de créer des millions de copies. Le magazine Forbes a appelé cette technique la version biotechnologique de la photocopieuse. Le Dr. Kary Mullis, qui a gagné le prix Nobel pour cette invention, explique que le PCR rend possible l'identification d'une aiguille dans une botte de foin en multipliant les aiguilles jusqu'à ce qu'elles soient plus nombreuses que le foin !
La théorie de la charge virale repose entièrement sur le résultat du test PCR. Alors que ce test a son utilité dans de nombreux domaines de la science et de l'industrie, son utilisation dans la recherche concernant le sida n'a pas fait la preuve de son utilité. En fait le PCR va détecter en les multipliant de simples gènes ou même fragments de gène sans que cela prouve d'aucune façon qu'ils proviennent du VIH. Le test peut donc mesurer la présence de particules virales mais rien ne prouve que celles-ci fassent partie d'un virus actif. En fait ces particules virales peuvent être présentes chez un individu sans qu'elles aient aucune signification car elles n'ont pas les ingrédients nécessaires pour avoir des effets physiologiques.
La FDA n'a pas approuvé le test PCR pour le diagnostic du sida, disant qu'il n'était pas spécifique et que des études qui avaient voulu comparer les résultats du PCR et des tests de mesure des anticorps contre le VIH n'étaient pas concluantes.
Bien que ce test PCR, utilisé soi-disant pour mesurer la charge virale, ne puisse pas distinguer si l'on mesure des virus infectieux ou des parties virales non infectieuses, bien qu'il n'ait pas été approuvé pour le diagnostic du sida, il est néanmoins utilisé par des médecins pour mesurer l'effet des nouveaux médicaments dont on dit qu'ils font baisser la charge virale! Le test PCR est souvent utilisé pour affirmer que des nouveau-nés sont infectés par le sida et pour leur donner des traitement à base d'AZT, de Bactrim ou d'autres médicaments chimiques.
Nombre de cas |
Stade clinique Stade 2-3 |
Cellules CD4 / ml 200-1,000 |
"Charge virale" 0 |
Ce tableau montre que l'on ne peut pas trouver de corrélation entre la charge virale et l'état de santé du patient.
Pourtant de nombreuses études ont montré que le tests de charge virale n'ont aucune corrélation avec le nombre de cellules T ou avec la présence de symptômes cliniques de sida. De nombreux scientifiques ont exprimé leur désaccord avec les idées de Ho concernant un VIH qui se multiplierait en abondance. Leurs objections ont été publiées dans les grands journaux scientifiques. Ainsi le Dr. Cecil Fox dit que les théories de Ho ne sont que des spéculations mathématiques sans aucune preuve.
La technologie pour mesurer les lymphocytes est relativement récente et son utilisation pour analyser les premiers cas de sida en 1981 était expérimentale. Le fait que ces 5 premiers cas recensés par le C.D.C. était tous des adeptes des "poppers" et autres drogues dures fut oublié dans les rapports scientifiques.
Le comptage des cellules T4, selon les équipements disponibles correspond aux cellules qui circulent dans le sang, mais ne tient pas compte des cellules qui se réfugient dans les tissus (en fait, pas plus de 2% des cellules T circuleraient dans le sang. Le reste serait dans les tissus). Les cellules T soumises au stress se réfugient principalement dans la moelle osseuse. Mais elles reviennent dans le sang dès que la situation de stress s'estompe.
Le plus extraordinaire, c'est qu'Anthony Fauci en personne a révélé ce même phénomène à la communauté scientifique internationale dans les années soixante-dix. L'injection de cortisone dans le sang provoque le repli des cellules T dans la moelle osseuse. A l'époque, la découverte fut reconnue comme une avancée sérieuse dans le champ de la psychoneuroimmunologie (les relations qui unissent la psychologie, le système nerveux et le système immunitaire). Car la cortisone a son hormone équivalente produite par l'organisme quand l'individu est soumis à un stress intense. Par contre, depuis qu'Anthony Fauci est devenu l'un des hauts responsables dans la campagne VIH-sida, il a personnellement dénigré ses propres travaux, effectués durant les années avant sida.
Depuis de nombreuses années il a été observé que le VIH ne détruit pas par préférence les cellules T4 chez les patients "sidéens". Ni la destruction des cellules T4 et le VIH ne sont ni nécessaires ni suffisants pour le développement du syndrome clinique.
Une autre erreur de concept consiste à croire que les cellules T4 et T8 sont interdépendants. En réalité ce sont deux formes différentes issues d'une même cellule géniteur dans le thymus. Chez des "individus à risque" la diminution en T4 est égalée par l'augmentation des T8 et le nombre total des cellules T reste le même. Ces changements sont observés aussi sans la présence de VIH.
En conclusion la diminution des T4 et l'augmentation des T8 sont dûs à d'autres facteurs que le VIH.
L'AZT n'est pas un nouveau médicament. Il n'a pas été créé pour le traitement du sida et n'est pas un produit antiviral. L'AZT est un composé chimique qui a été développé comme agent de chimiothérapie contre le cancer il y a plus de 30 ans. Nous savons que la chimiothérapie travaille en tuant toutes les cellules qui sont en train de grandir dans le corps. Beaucoup de patients souffrant du cancer ne survivent pas à la chimiothérapie qu'on leur applique en raison de ses effets destructeurs sur le système immunitaire. A cause des dégâts qu'elle crée, la chimiothérapie n'est jamais utilisée qu'au moyen de prévention et elle n'est administrée que pour de très courtes périodes de temps. Il faut savoir aussi que l'AZT comme agent de traitement du cancer a été abandonné il y a plus de 30 ans en raison de sa toxicité.
Comme le cancer est fait de cellules qui n'arrêtent pas de croître, l'AZT a été prévu pour bloquer le développement du ADN et ainsi bloquer la prolifération de cellules. Dans une expérience faite en 1964 avec des souris qui avaient le cancer on a vu que l'AZT était tellement efficace pour détruire des cellules saines qui grandissent que les souris mouraient en raison d'une extrême toxicité du produit. C'est la raison pour laquelle l'AZT n'a pas pu être utilisé avec des patients. 20 ans plus tard la compagnie pharmaceutique Burroughs & Wellcome (qui est maintenant Glaxo-Wellcome) a commencé une campagne pour ressortir l'AZT comme un antiviral et elle a réussit à obtenir l'approbation de la Food & Drug Administration après une étude extrêmement brève, qui n'a duré que quatre mois, et dont les résultats ont été faussés.
L'approbation de ce produit extrêmement toxique comme traitement du sida a été faite sur des informations qui suggéraient que l'AZT pouvait permettre une augmentation du nombre des cellules T et par conséquent permettre de retarder un de éléments qui était considéré comme faisant partie du sida, à savoir la baisse des cellules T. L'élévation des cellules T était interprétée comme une évidence que l'AZT faisait disparaître le VIH dans les cellules T, un concept pour lequel il n'y avait aucune preuve scientifique. Bien que l'étude ait été arrêtée avant que l'on obtienne le moindre renseignement sur les effets à long terme de l'AZT, on a déclaré que le traitement avec l'AZT devrait être continué toute la vie.
Un grand nombre d'études indépendantes qui ont été conduites après l'approbation par la FDA, y compris l'étude Concorde qui a été la plus importante (1748 sujets) et sur la durée la plus longue (3 ans). Toutes ces études ont conclu que l'AZT augmentait les cellules T pendant un temps très court sans que cela se traduise par une amélioration de la santé et que l'AZT n'avait aucun effet positif sur la maladie du sida elle-même. Au contraire toutes ces études ont montré que du tiers à la moitié de ceux qui avaient pris de l'AZT avant d'avoir des symptômes du sida présentaient des symptômes de diminution de la qualité de vie apparaissant plus vite que chez les sujets témoins. On a même constaté que souvent la mort venait beaucoup plus vite sans qu'il y ait le moindre signe de sida. Ceci fut décrit officiellement comme des cas de "mort sans qu'il y ait aucun symptôme du sida qui l'ait précédée".
Il est maintenant parfaitement compris que l'augmentation des cellules T qui est enregistrée lorsqu'on prend de l'AZT, au début du traitement, est due à la nature toxique du médicament. La plupart des substances toxiques ont tout d'abord un effet immuno-stimulateur pendant un temps court et ensuite il y a une dégradation de la situation qui correspond à la destruction de la moelle osseuse. Au tout début du traitement, lorsque l'AZT commence à détruire la moelle osseuse, le système sanguin essaie de corriger cette destruction par une hyperproduction de cellules T mais comme la source de ces nouvelles cellules T, qui est la moelle, est bientôt détruite complètement par l'AZT, le niveau de cellules T va diminuer peu après et on verra ainsi une destruction complète du système immunitaire. C'est la tolérance individuelle et la quantité d'AZT absorbée qui détermine la durée de la survie avec ce médicament toxique.
L'AZT ne détruit pas seulement les cellules T et toutes les cellules de la moelle mais aussi les cellules du foie, des reins, des muscles et du système nerveux central. Tous les nouveaux médicaments antiviraux agissent de la même façon que l'AZT.
Pour expliquer ce phénomène de l'augmentation des cellules T qui ensuite chutent lorsqu'on prend de l'AZT, les scientifiques ont élaboré une théorie comme quoi le VIH serait capable de muter. D'après cette théorie les effets positifs de l'AZT diminueraient dans le temps au fur et à mesure que des VIH mutants deviendraient résistants à l'AZT. Il n'y a pourtant aucune évidence scientifique qui permette de prouver cette hypothèse.
Les inhibiteurs de protéase ont eu droit à la Une des journaux dans le monde entier depuis leur présentation comme un scoop officiel à la Conférence de 1996 sur les rétrovirus. Ils ont été approuvés comme traitement après l'examen le plus rapide et le plus mal fait de toute l'histoire de la FDA et immédiatement présentés au médias comme un traitement miraculeux alors que les effets cliniques de ces médicaments expérimentaux étaient encore totalement inconnus. Plus de deux ans après le début de leur utilisation il n'y a eu qu'une étude publiée dans la littérature scientifique sur les effets de ces médicaments sur la santé des patients. Cette étude, publiée le 11 septembre 1997 dans le New England Journal of Medecine était extrêmement incomplète et a dû être arrêtée prématurément quand on s'est aperçu que la mortalité dans le groupe de patients prenant des inhibiteurs de protéase était plus élevée que dans le groupe de ceux qui n'en prenaient pas !
L'absence d'informations sur les effets de ces médicaments n'a pas empêché de nombreuses organisations d'aide de promouvoir ces nouveaux traitements avec zèle. Suivant les propos des médias, leur objectif a été d'assurer que tous les malades puissent avoir accès à ces médicaments plutôt que d'examiner si ces médicaments étaient sûrs et efficaces. Les médecins spécialistes du sida ont été peu attentifs au stupéfiant manque de documentation qu'il y avait en faveur de ces nouveaux traitements. Et pendant que les couvertures de journaux continuaient à louer les vertus thérapeutiques des inhibiteurs de protéase, la liste des effets secondaires de ces médicaments et les expériences défavorables, qui allaient du désappointement jusqu'à la mort subite racontaient une histoire totalement différente.
Le fait de mélanger le inhibiteurs de protéase avec de l'AZT et d'autres médicaments sous forme de cocktails thérapeutiques a été présenté comme le moyen de dynamiser toutes les substances que l'on mélangeait et d'obtenir des résultats présentés comme incroyablement positifs.
Ce que l'on n'a pas dit est que Glaxo-Wellcome avait établi un monopole du marché des traitements, et que malgré des études défavorables sur l'AZT, ils ont pu maintenir leur produit comme un des piliers des nouveaux cocktails grâce à leur pouvoir financier.
Les inhibiteurs de protéase agissent en bloquant la reproduction enzymatique du VIH. La science officielle nous dit qu'il y a trois enzymes dans le VIH : la reverse transcriptase, l'intégrase et la protéase. Les enzymes du VIH sont semblables à tous les enzymes humains, et il y a de nombreuses protéases dans le corps, y compris celles dont a besoin pour digérer les aliments. Les inhibiteurs de protéase bloquent les enzymes non seulement dans le VIH mais dans les autres cellules du corps. Il a été recommandé de faire des traitements pendant toute la vie avec les inhibiteurs de protéase bien que les fabricants de ces médicaments aient déclaré que les effets à long terme des inhibiteurs de protéase étaient inconnus. On demande aux patients d'avaler 30 à 50 pilules par jour en leur affirmant que s'ils n'adhèrent pas à ce protocole strict le virus va muter en des souches résistantes qui ne seront plus sensibles à ces inhibiteurs de protéase. Pourtant de nombreux chercheurs considèrent que cela n'a jamais été prouvé et que le concept d'attaque par des VIH mutants et résistants n'est que de la science-fiction totalement dénuée de bases scientifiques.
En fait les inhibiteurs de protéase et d'autres nouveaux médicaments ont donné un regain de vie aux campagnes d'affiches contre le sida. Des posters et des annonces de toutes sortes ont incité les séropositifs à frapper tôt et fort avec ces nouveaux médicaments et ont présenté l'industrie pharmaceutique comme un grand sauveur. Pourtant le Dr. Anthony Fauci, qui est l'un des scientifiques les plus connus dans le domaine du sida, a exprimé de sérieuses réserves à propos de ces médicaments chez des séropositifs ne présentant pas de symptômes en affirmant, dans un article du Journal de l'Association Médicale américaine : "Nous ne savons absolument pas si une intervention précoce chez des individus asymptomatiques aura des effets cliniques bénéfiques à long terme ou si la toxicité cumulée pendant des années d'administration de ces médicaments va donner des résultats négatifs". Même le Dr. Robert Gallo a averti que "ces médicaments sont toxiques. Plus on les prend longtemps, plus la toxicité est grande".
On s'aperçoit, quand on lit les notices qui accompagnent ces médicaments, que leurs effets secondaires sont impressionnants. Ils comprennent l'anémie, les insuffisances rénales, les hémorragies. Un médicament, le Crixivan, affirme même après la description de tous ces effets secondaires : "on ne sait pas encore si la prise de ce médicament va prolonger votre vie ou réduire vos chances d'attraper des maladies associées au VIH". Et on apprend aussi que les informations sur ce médicament sont fondées sur des études cliniques qui ont duré à peine 3 mois !
Le Crixivan a reçu l'approbation du FDA en 42 jours, brisant ainsi le record précédent de 72 jours pour l'inhibiteur de protéase Ritonavir. Les associations d'aide au sida ont fait pression sur la FDA pour que des médicaments de ce type soient approuvés très rapidement, oubliant totalement le danger de leurs effets toxiques qui sont pourtant extrêmement nombreux et comprennent également des rétinites, le diabète, l'insuffisance hépatique, la pancréatite aiguë, les diarrhées et la mort subite.
La presse a souvent cité comme de grands succès des études qui n'ont duré que quelques semaines et dont les résultats n'ont pas été mesurés sur les effets positifs au niveau de la santé des patients mais simplement sur des mesures de laboratoire comme la charge virale que nous étudieront plus loin.
Bien que les médias et certaines organisations contre le sida aient présenté ces médicaments comme remarquablement efficaces puisqu'ils pouvaient faire diminuer la charge virale jusqu'à rendre celui-ci indétectable, aucune étude n'a montré que cela ait un effet positif quelconque sur la durée de vie des patients.
En même temps que les compagnies pharmaceutiques font une promotion tapageuse pour les nouveaux médicaments contre le sida, les médias présentent les inhibiteurs de protéase et autres médicaments de ce type comme responsables de la diminution du nombre de cas de sida mortel. En affirmant cela ils ignorent le fait que les chiffres officiels montrent qu'il y a eu une baisse constante de la mortalité par sida depuis 1983. Cette baisse avait commencé bien avant l'apparition des inhibiteurs de protéase.
Les annonces enthousiastes de la presse à propos des inhibiteurs de protéase rappellent les sonneries de trompettes qui accompagnaient la découverte de l'AZT il y a 10 ans. Pourtant, comme l'écrit le Dr Rasnick, "une fois de plus nous avons des chercheurs qui parlent aux journalistes d'études incomplètes, qui n'ont pas encore été examinées avec soin par la communauté scientifique. La plupart du temps ces chercheurs reçoivent des fonds directement des compagnies qui fabriquent ces médicaments. Les études de succès que l'on avait présentés pour les traitements à base d'AZT étaient fondées sur des études abrégées, de moins de 6 mois, qui avaient été financées par les fabricants de ce médicament et qui ne s'appuyaient que sur un paramètre, l'augmentation des cellules T, alors qu'il n'était pas prouvé que cela ait une signification réelle. Avec les inhibiteurs de protéase la situation est encore plus étonnante puisque les études faites par les fabricants de médicaments ont été de tellement courte durée qu'elles ont été mesurées en semaines plutôt qu'en mois et que leur effet, à savoir la réduction de la charge virale, n'a jamais été prouvée comme correspondant à un bénéfice pour la santé des patients".
Pendant que les médias continuent à raconter des guérisons miraculeuses et à vendre de l'espoir aux patients il n'y a que les chercheurs indépendants qui disent la vérité sur ce sujet. D'ailleurs, après les annonces triomphalistes qui annonçaient que la diminution des mortalités du sida était la conséquence des trithérapies, des expert ont dû reconnaître que près de la moitié des patients ne tolèrent pas la toxicité des traitements. Quant aux effets à long terme de ces thérapies, personne ne les connaît, mais il est certain qu'ingurgiter chaque jour des produits chimiques toxiques ne peut pas amener vers la santé !
Ce n'est pas le cas. D'après les statistiques de 1996 du CDC le nombre total d'Américains séropositifs n'a pas augmenté depuis que le test a été introduit en 1985, bien que le nombre de gens qui fassent le test ait augmenté de centaines de milliers chaque année. En 1995, le CDC a admis que le nombre de séropositifs était au moins de 35 % plus bas que ce qu'il avait prétendu jusque là. Le CDC a reconnu dans des interviews qu'il n'avait pas voulu révéler ces chiffres plus bas par peur de provoquer des coupes dans les budgets alloués à la recherche sur le sida ! Pendant que le nombre de cas de séropositifs était en diminution continue il est important de noter que les taux de maladies vénériennes comme la syphilis ou la gonorrhée ont augmenté chaque année. Cela contredit tout à fait l'idée que l'utilisation des préservatifs a évité la dissémination du VIH.
Le nombre total de morts dues au sida aux États-Unis rapporté par le CDC est de 362.000 en 16 ans. Le CDC a commencé à compter les cas de morts par le sida en 1981, trois ans avant la découverte de Gallo du VIH, et a inclus dans ses estimations des gens qui ont été baptisés sidatiques alors même qu'il n'y avait pas de test pouvant les diagnostiquer.
Chaque année 550.000 Américains meurent du cancer, ce qui est presque le double du nombre total de personnes qui sont déclarées comme mortes du sida depuis 1981. Chaque année il y a 950.000 morts dues aux maladies cardio-vasculaires. Cela signifie que pendant la période de 16 ans qui correspond à ce que le CDC appelle l'épidémie du sida, il y a eu 15.200.000 personnes mortes de maladies cardiaques. C'est 14.800.000 de plus que ceux qui sont morts du sida. En 16 ans il y a eu 6.032 enfants morts du sida en dessous de l'âge de 5 ans alors que la mort brutale du nourrisson prend la vie de 10.000 bébés chaque année.
En fait bien que la plupart d'entre nous associe le mot épidémie au sida, une des dernières vraies épidémies de notre histoire, la grippe de 1919, a tué presque un million d'Américains en une année alors que, en 16 ans, le nombre de cas de sida mortel dans le monde entier est moins de un million. Comment pouvons-nous donc avoir été maintenus dans une telle illusion? Cela vient du fait que, contrairement au cancer et à d'autres maladies, les nombres de cas de sida n'ont pas été rapportés année par année mais en nombre total cumulé depuis 1981. Cette façon de compter totalement abracadabrante n'avait jamais été utilisée pour aucune maladie mais elle a permis de donner l'impression qu'il y avait beaucoup de cas de sida !
Il est souvent dit que tout le monde peut attraper le sida, mais la réalité des chiffres est différente. Après deux décennies 85 % de tous les cas de sida aux USA sont du sexe masculin et 97 % sont restés dans les groupes à risques. Le sida ne s'est pas comporté comme une maladie contagieuse qui se répand également chez les deux sexes et dans toute la population. En 16 ans il y a eu un total de 52 cas documentés de sida chez des professionnels de la santé qui auraient été exposés à du sang contaminé. En comparaison il y a eu des milliers de cas d'hépatites chaque année attribués au contact de sang chez les personnes travaillant dans le domaine de la santé.
Sida - par groupes à risque |
Sida - par état de santé |
Sida - par sexe |
Les cas du sida américains sont divisés inégalement entre hommes et femmes (85% - 15%). Les tests du VIH menés par le militaire américain depuis 1985 sur des nouvelles recrues donnent un taux égal de séropositivité entre hommes et femmes (50% - 50%). Si le VIH était la cause du sida, nous observerons une quantité égale d'hommes et de femmes avec le sida.
Des calculs effectués par des compagnies d'assurances montrent qu'une personne hétérosexuelle qui n'utilise pas de drogues a moins de chance d'attraper le sida que d'être frappée par la foudre, le risque étant de 1 pour 5 millions.
Alors que le sida est souvent cité comme le plus grand danger pour les jeunes Américains, en 1996 il n'y a eu que 403 cas d'adolescents ayant été victimes du sida aux États-Unis. Ce nombre représente une augmentation de un cas sur le total de 402 de 1995. Le nombre total de cas pendant 16 ans dans ce groupe d'âge (13 à 19 ans) est de 2.754.
Non. 95 % des homosexuels des États-Unis n'ont pas le sida. Ce calcul est fondé sur une statistique sérieuse disant que 10 % de la population adulte américaine est homosexuelle.
Selon l'Organisation Mondiale de la Santé le nombre total de cas de sida sur le continent africain est plus faible que le total de cas aux États-Unis bien que l'Afrique, avec ses 650 millions d'habitants, a plus du double d'habitants que les États-Unis. Les informations qui circulent aux États-Unis sur l'épidémie qui ravagerait l'Afrique sont souvent très différentes des informations qu'on peut avoir dans d'autres pays. Ainsi par exemple le London Times a publié un article, à propos de l'épidémie de sida en Afrique intitulé "l'épidémie qui n'a jamais existé".
L'idée que le sida aurait commencé en Afrique reste répandue dans la population bien qu'il n'y ait aucun argument scientifique pour l'affirmer. L'Afrique est souvent citée comme la partie du monde la plus ravagée par le sida alors que les chiffres de l'O.M.S. montrent que 99 % des Africains n'ont pas le sida.
Le sida n'est pas le risque le plus important pour la santé des Africains. 550.000 enfants meurent chaque année en Afrique à cause d'autres maladies, ce qui est presque le nombre total de cas de sida qui ont été recensés depuis le début de la soi-disant épidémie de sida !
Contrairement aux États-Unis le diagnostic de sida en Afrique se fonde sur quatre symptômes cliniques (fièvre, perte de poids de 10 %, toux persistante et diarrhée). Ces quatre symptômes utilisés pour diagnostiquer le sida sont exactement les mêmes que ceux que l'on trouve dans la malaria, la tuberculose, les infections parasitaires et les effets de la malnutrition qui ont rendu les habitants de ce continent malades depuis des décennies.
A cause de la fréquence de la malaria, de la tuberculose et d'autres maladies dont les anticorps peuvent donner des résultats faussement positifs au test du sida, de nombreux scientifiques considèrent que les tests du sida n'ont absolument aucune valeur pour l'Afrique.
75 % des enfants qui présentent un test positif à la naissance vont devenir séronégatifs dans les 18 premiers mois de leur vie, sans aucune intervention médicale, tout simplement parce que les enfants naissent sans avoir encore développé leur propre immunité et que 75 % de leurs anticorps viennent de leur mère. Malgré ces faits des femmes enceintes séropositives sont invitées à avorter ou à prendre des médicaments extrêmement toxiques comme l'AZT ou d'autres substances du même genre qui s'attaquent au ADN, la molécule centrale de la vie. Ces substances chimiques détruisent toutes les cellules qui grandissent, notamment les cellules de la moelle épinière où les cellules du système immunitaire sont fabriquées. Ces médicaments vont provoquer chez la mère des symptômes comme l'affaiblissement musculaire, une anémie sévère, des dommages du système nerveux, des reins et du foie, des lymphômes, des nausées, des diarrhées, de la démence et des convulsions, tous symptômes que l'on retrouve dans le sida. L'effet de ces drogues sur le foetus qui se développe peut être des avortements spontanés et des difformités de toutes sortes.
Des lois fédérales américaines ont proclamé que d'ici l'an 2000 le nombre des enfants qui présentaient des tests de séropositivé à la naissance devait être réduit dans chaque état de 50 % ou que cet état devrait montrer que 95 % des femmes enceintes avaient été testées pour le VIH. Si les états n'obéissaient pas à ces lois, les agences du gouvernement imposeront de tester tous les enfants ou toutes les femmes enceintes ! Actuellement il n'y a que 1 % des 4 millions d'enfants qui naissent chaque année aux États-Unis qui soient positifs pour le test VIH et le sida ne prend des vies que de un dixième des 1 % des femmes en âge d'avoir des enfants. Par dessus le marché la grossesse elle-même ou le fait d'avoir eu des grossesses dans le passé sont des conditions qui peuvent donner des tests faussement positifs.
Beaucoup d'experts pensent que le fait d'imposer des tests de séropositivité aux femmes enceintes et aux nouveau-nés va mener à des traitements de plus en plus répandus. Actuellement il y a des hôpitaux aux États-Unis qui ne laissent sortir les enfants dont le test VIH est positif que si les parents acceptent un traitement avec de l'AZT ou d'autres médicaments du même genre. Dans certains états des enfants séropositifs sont arrachés de leur foyer pour être placés dans des hôpitaux par des services de santé gouvernementaux, si les parents n'acceptent pas les traitements pharmaceutiques antiviraux.
Après des années de travail par UNICEF et l'O.M.S. pour promouvoir les bienfaits de l'allaitement maternel dans le tiers monde, aujourd'hui les sacro-saintes autorités du sida essayent de renverser des milliers d'années de bon sens en dissuadant ces mêmes femmes d'allaiter, privant ainsi les enfants pauvres de leur meilleure source naturelle d'immunité. N'est-ce pas le summum de la folie du "sida" ? Leur recommandation n'est basée sur aucune étude scientifique - il n'existe aucun papier scientifique prouvant la transmission du VIH par le lait maternel.
Pourquoi n'avez-vous pas encore entendu ou lu tout ce dont nous venons de parler ? Pourquoi ces informations ne sont-elles pas présentées dans les journaux ou à la télévision ? Pourquoi les organisations de lutte contre le sida n'offrent-elles pas ces informations dans leurs programmes éducatifs ?
On peut répondre à ces questions en observant comment l'information est créée puis diffusée. Aux Etats-Unis les rapports concernant le sida viennent des agences gouvernementales, qui sont financées par les contribuables. Ces agences s'appuient sur le concept que le sida est une menace sans cesse croissante pour la santé de tous les Américains. Il est donc évident que l'information qu'elles font circuler doit soutenir leurs croyances. La plupart des chiffres qui sont lancés dans le public par le Centre de Contrôle des Maladies ou l'Organisation Nationale de la Santé des États-Unis sont élaborés à partir d'estimations et de projections. Leurs statistiques ne supportent pas d'être examinées avec un il critique.
Dans la société actuelle, le fait de récolter des fonds pour la lutte contre le sida, l'utilisation de préservatifs et les tests de séropositivité font partie de la culture actuelle. Par conséquent, tout ce qui pourrait aller contre ces croyances n'est pas transmis par la presse parce qu'on considère que c'est controversé ou dangereux ! De nombreuses informations concernant le VIH et le sida viennent directement de l'industrie pharmaceutique. Comme le profit est leur but essentiel, les informations qu'elle diffuse sont toujours sensationnelles et annoncent des succès brillants. La plupart du temps la presse en parle immédiatement avant même que les études aient été analysées par la communauté scientifique. Ainsi la presse a annoncé que les premières études concernant l'effet de l'AZT étaient positives, sans tenir compte des effets toxiques rapportés et des manipulations des chiffres qui ont été faites pour présenter des résultats positifs.
Mais les médias ne s'en sont pas rendu compte. La plus grande partie des laboratoires, des hôpitaux et des universités financent leurs recherches à partir de fonds distribués par le gouvernement. Tous les fonds qui sont distribués à la recherche pour le sida s'appuyent sur la croyance que le VIH en est la cause et toutes les recherches doivent constamment confirmer cette hypothèse. Aucune institution dépendant du gouvernement ne peut faire des recherches pour chercher d'autres causes du sida ou pour examiner de façon critique l'hypothèse virale. Le professeur Peter Duesberg, de l'Université de Berkeley en Californie, un scientifique que Robert Gallo a affirmé être "l'homme qui en sait le plus au monde au sujet des rétrovirus" a vu ses fonds bloqués dès qu'il a osé remettre en question l'hypothèse de Gallo concernant le VIH.
La plupart des organisations de la lutte contre le sida reprennent des affirmations des agences gouvernementales, de l'industrie pharmaceutique et de la presse. Elles sont totalement fermées à toute autre source d'informations. Bien que beaucoup de groupes s'occupent d'éducation du public, ils ne se donnent pas la peine de se poser les questions dont nous avons parlé ici. Il y a actuellement plus 93.000 organisations de lutte contre le sida aux États-Unis, ce qui correspond à une organisation pour chaque groupe de quatre malades qui ont reçu un diagnostic de sida ! La plupart de ces groupes reçoivent leurs fonds d'agences gouvernementales ou de compagnies pharmaceutiques.
Pouvez-vous imaginer que l'on pose chez vous un diagnostic de maladie mortelle sans que l'on vous dise que ce diagnostic est posé sur la lecture d'un test qui n'est pas fiable et que tout cela s'appuie sur une hypothèse qui n'a jamais été prouvée ? Pouvez-vous imaginer que l'on vous incite à prendre des médicaments extrêmement toxiques sans vous dire qu'ils détruisent les fonctions même qui vous permettent d'être en vie ? Croyez-vous que l'on puisse vous dire que vous souffrez d'une maladie qui sera mortelle chez vous alors que la même maladie est parfaitement traitable et guérissable chez des personnes qui n'ont pas le même diagnostic que vous ?
Pour tous les gens qui sont séropositifs ou diagnostiqués comme étant malades du sida, ces informations sont capitales car les décisions qu'ils doivent prendre en dépendent.
48 milliards de dollars ont été consacrés aux États-Unis pour lutter contre le sida.(1997). 13 ans de recherches et d'investigations n'ont pas permis de comprendre ce qu'était le sida, d'élaborer des traitements valables, des mesures de prévention efficaces ou un vaccin. Au contraire nous avons construit une énorme institution qui manipule l'information et nous avons permis à une industrie pharmaceutique multimilliardaire de croître démesurément. Tout cela est basé sur un concept qui n'a jamais été prouvé.
Oui. Mais il faut d'abord comprendre ce qu'est le sida. Le sida n'est pas une nouvelle maladie. Le sida est un nouveau nom qui est utilisé pour regrouper sous le même chapeau 29 maladies qui existaient auparavant. L'hypothèse de Gallo a affirmé que les problèmes de santé associés au sida étaient la conséquence d'une infection par le VIH qui détruisait le système immunitaire. Pour comprendre comment le sida peut exister sans le VIH il est important de savoir que ces 29 maladies peuvent survenir chez des gens qui sont positifs au test du sida ou chez des gens qui sont négatifs. Aucune de ces maladies n'apparaît seulement chez ceux qui sont positifs au test du sida et toutes ces maladies existaient depuis longtemps.
- L'information présentée dans cette brochure remet en cause le fait que le VIH soit la cause de toute cette liste d'anciennes maladies qui ont été mises dans la catégorie appelée sida. Le fait de contester l'hypothèse virale ne doit pas être interprétée comme une excuse pour ignorer les symptômes de maladies qui existent réellement ou pour ne pas voir les modes de vies qui menacent notre santé. Vous avez la responsabilité de prendre des décisions intelligentes concernant votre santé après avoir évalué clairement les faits qui sont rapportés ici. Collaborer avec un praticien de santé ou un médecin holistique qui vous aidera à voir votre problème d'une manière globale et à éviter de penser que seul le VIH est la cause de tous vos problèmes.
- Toutes les maladies qui font partie du sida peuvent être présentes chez des gens qui sont négatifs pour le VIH. Toutes ont existé avant cette appellation et ont été diagnostiquées et traitées indépendamment du VIH. Le lymphôme, la diarrhée, la démence, la candidase, les neuropathies, les nausées, et bien d'autres problèmes associés au sida peuvent être causées par les médicaments chimiques qui sont utilisés pour traiter le sida aujourd'hui.
- Les concepts de prophylaxie médicamenteuse et d'intervention précoce peuvent avoir des conséquences mortelles. Prendre de l'AZT et d'autres agents chimiothérapeutiques antiviraux et utiliser chaque jour pendant des mois et des années des antibiotiques puissants, tout cela correspond à des habitudes extrêmement dangereuses, voire même mortelles, qui défient tout ce que la science médicale avait recommandé jusque là.
- Les gens sains qui sont séropositifs sont beaucoup plus nombreux que les séropositifs qui tombent malades et qui meurent. Ceci est vrai en Amérique aussi bien qu'en Afrique, à Haïti et dans d'autres parties du monde où il y a beaucoup de séropositifs. Une lecture attentive de la littérature scientifique montre que ceux qui survivent ou ne tombent pas malades ne prennent pas de manière continue des médicaments antiviraux ou des antibiotiques.
- Les personnes séropositives qui restent en bonne santé ou qui sont vivantes de nombreuses années après qu'un diagnostic de sida ait été prononcé sont la plupart du temps exclues des études médicales et ignorées par les chercheurs scientifiques. Intéressez-vous aux livres ou aux articles qui montrent l'importance d'une nutrition saine, de thérapies vitaminiques et d'autres formes de traitements holistiques et non toxiques pour renforcer le système immunitaire.
- Les études qui ont posé la question aux homosexuels souffrant du sida s'ils avaient pris de la cocaïne, des poppers ou d'autres drogues récréatives ont montré que 93 % d'entre eux avaient utilisé ces produits. Les drogues récréatives sont prouvées, depuis le début du siècle et par de nombreuses études de la littérature médicale, comme étant extrêmement toxiques pour le système immunitaire.
- Une étude chez des séropositifs utilisant des drogues intraveineuses qui avaient utilisé de l'héroïne tous les jours pendant plus de cinq ans a mis en évidence que lorsqu'ils ont été traités pour leur malnutrition et qu'ils ont été aidés à se libérer de leur dépendance de la drogue, aucun n'avait développé de symptôme ou d'infection associés au sida pendant une moyenne d'en tous cas 4 ans après le test de séropositivité.
- Les cellules T représentent un moyen extrêmement douteux de mesure de la santé et de la fonction immunitaire. En fait une baisse des cellules T n'est ni nécessaire ni suffisante pour l'apparition de toutes les maladies en rapport avec le sida.
Un diagnostic de sida n'est pas une sentence de mort. Des traitements efficaces et sans danger, correspondant aux besoins spécifiques d'un individu et aux déficiences qu'il peut présenter peuvent permettre une guérison des maladies les plus graves.
En fait il y a 5 causes médicalement prouvées de baisse de l'immunité qui ne sont pas en relation avec des maladies infectieuses. Elles sont rapportées dans la littérature médicale depuis plus de 70 ans :
1. La malnutrition. C'est probablement la cause la plus importante de déficience immunitaire dans le monde, surtout dans les pays sous-développés comme l'Afrique et souvent chez les toxicomanes.
2. La chimiothérapie. Le but premier de la chimiothérapie est la destruction de la moelle osseuse où les cellules immunitaires sont fabriquées. La chimiothérapie détruit aussi les cellules du système digestif, ce qui provoque des troubles dans l'absorption des aliments et mène à la malnutrition. Même lorsqu'elle et utilisée pendant très peu de temps, la chimiothérapie supprime les fonctions immunitaires, rend beaucoup plus sensible aux infections bactériennes et provoque des diarrhées qui peuvent être mortelles.
3. L'abus de drogues récréationnelles. La littérature médicale montre que les drogues récréationnelles prises depuis le début du siècle ont un effet immunosuppresseur et mènent à des symptômes que l'on associe aujourd'hui au sida.
4. L'abus de médicaments pharmaceutiques. Les antibiotiques et les corticostéroïdes sont parmi les médicaments les plus connus comme ayant des effets destructeurs du système immunitaire, surtout lorsqu'ils sont utilisés en quantité importante. L'AZT, les inhibiteurs de protéase et les autres médicaments pharmaceutiques prescrits comme des antiviraux ont aussi la propriété de détruire le système immunitaire et le système digestif.
5. L'abus des vaccinations. De nombreuses études montrent que les vaccinations répètes peuvent engendrer une importante baisse de l'immunité.
Il n'y a aucun cas dans toute la littérature médicale qui montrerait que le VIH aurait été le seul facteur de destruction de l'immunité. Dans tous les cas il y a d'autres facteurs identifiables de destruction de l'immunité que le VIH. En fait 97% de tous les cas de sida aux États-Unis sont cantonnés dans les groupes à risques originaux. Les utilisateurs de drogues récréatives ou de médicaments chimiques voient leur immunité s'effondrer. Les drogues récréatives comme les poppers ont été prouvées comme étant immunodestructeurs, de même que la cocaïne, le crack, l'héroïne, l'ectasy, les anxiolytiques et l'alcool. Les traitements antibiotiques utilisés abondamment sont aussi une cause de déficience immunitaire.
De nombreuses études scientifiques ont montré qu'il y avait une relation entre l'abus de drogues ou de médicaments et le sida. Ainsi par exemple deux études menées en 1993 aux États-Unis et au Canada ont trouvé que tous les hommes homosexuels qui souffraient du sida avaient utilisé soit des drogues récréatives soit de l'AZT ou d'autres agents chimiothérapiques qui détruisent le système immunitaire ou le système digestif.
Il faut se rappeler que le test qui mesure les anticorps contre le VIH n'est pas spécifique et peut être positif dans toute une série de situations qui n'ont rien à voir avec le VIH. Lorsqu'une personne est déclarée séropositive, des médicaments destructeurs de l'immunité sont pratiquement toujours prescrits comme traitement.
Les cas de sida chez les hémophiles et chez les enfants peuvent aussi s'expliquer autrement que par l'hypothèse virale.
Lorsque nous examinons l'hypothèse de Gallo et les informations à propos du sida nous voyons qu'il y a énormément d'inconsistance dans ce qui nous est affirmé. Il serait important, pour aller plus loin, d'examiner le matériel scientifique d'une manière différente. Le progrès dépend de notre capacité à examiner les faits sans à priori , à poser des questions critiques et à faire des recherches pour obtenir des réponses significatives. Il y a de nombreuses maladies que l'on avait cru être dues à des virus et qui ont finalement été attribuées à d'autres causes. Ainsi le scorbut et la pellagre ont été attribuées à des microbes avant que l'on découvre qu'elles étaient dues à des déficiences en vitamines.
Favoriser la théorie des virus et des microbes a ralenti la guérison de plusieurs maladies. Voici quelques erreurs notoires dans l'histoire de la théorie des virus et des microbes :
MALADIE |
CAUSE PROPOSÉE |
CAUSE RÉELLE |
SCORBUT Maladie de marins anglais - 19ème siècle |
Microbe |
Déficience en vitamine C |
PELLAGRE Années 1920 aux USA |
Microbe |
Déficience en vitamine B |
SCRAPIE / VISNA Maladie de moutons en Islande entre 1930 et 1950 |
Rétrovirus |
Désordre génétique |
SYPHILIS TERTIAIRE Avant 1950 |
Tréponèmes |
Empoisonnement par mercure / arsenic |
SMON Années 1960 au Japon |
Virus |
Le médicament Entérovioform (Ciba Geigy) |
KURU Années 1970 en Nouvelle Guinée |
Virus / Prion |
Désordre génétique |
LYMPHOME DE BURKITT Années 1960 en Afrique et aux USA |
Virus Epstein-Barr |
Altération chromosomique |
MALADIE DES LÉGIONNAIRES Les années 1970 aux USA |
Nouveau microbe |
Pneumonie ordinaire |
CANCER DU COL DE L'UTÉRUS Années 1960 et 1970 |
Activité sexuelle, Virus de l'herpès, Papillomavirus |
Altération chromosomique, peut-être dû au tabac? |
CANCER Années 1970 et 1980 |
Virus / Rétrovirus |
Malnutrition, toxines |
SIDA Années 1980 et 1990 |
Rétrovirus |
Malnutrition, abus de drogues,médicaments antiviraux, Facteur 8 (transfusés), PEUR suite au diagnostic VIH+. |
Agents chimiothérapeutiques antiviraux : Ces agents détruisent la formation du ADN. Ils n'agissent pas contre des virus seulement mais contre tout le ADN qu'ils peuvent rencontrer dans le corps humain. Il n'y a en fait aucun médicament qui soit vraiment spécifiquement antiviral, contrairement à ce que l'on croit généralement.
Approbation rapide : Autorisation donnée à des traitements pharmaceutiques avant que des études à long terme n'aient été faites et avant que l'efficacité et l'innocuité du produit aient pu être établies. De nombreux effets secondaires des inhibiteurs de protéase ont été découverts après que l'autorisation rapide ait été accordée.
Éducation concernant le sida : Présentation de toutes sortes de croyances qui excluent toutes les informations contenues dans cette brochure.
Épidémie de sida : Le mot épidémie correspond à une maladie contagieuse qui se répand rapidement dans toute la population. Pendant les 16 ans de son histoire, le sida est resté à 97 % confiné aux groupes à risques originaux et ne s'est pas répandu dans la population. La mortalité pour cause de sida est moins de 10 % de la mortalité annuelle due au cancer. 99 % des gens qui habitent sur le continent africain, qui est souvent décrit comme dévasté par le sida n'ont pas le sida. Le sida ne remplit aucun des critères qui permet de définir une épidémie.
Charge virale : Nom donné à un test de laboratoire qui n'isole pas et n'identifie pas le virus et n'a pas été approuvé par la FDA comme méthode de diagnostic. Ce test est néanmoins utilisé de façon routinière pour diagnostiquer l'infection au sida et prescrire une médication.
Chronique et contrôlée : Une phrase qui est utilisée pour décrire le but de la science officielle qui espère qu'avec les nouveaux médicaments le sida pourra être une maladie chronique que l'on contrôle comme le diabète.
Combattre le sida : En fait ce combat correspond à trouver des fonds pour soutenir la recherche et les institutions qui vivent du sida.
Effets secondaires : Les effets négatifs produits sur la santé des patients par des traitements pharmaceutiques. En fait ces effets secondaires sont les effets directs qui sont dus à la toxicité des médicaments.
Facteur de risque : D'après les médias et les agences gouvernementales, tout le monde court le risque d'attraper un jour le sida. Pourtant, depuis plus de 15 ans, 97 % de tous les cas de sida en Amérique sont restés confinés chez les hommes homosexuels utilisant des drogues dures ou chez les hémophiles qui ont reçu de nombreuses transfusions sanguines. En 1987 déjà le Centre de Contrôle des Maladies admettait que le risque pour une personne hétérosexuelle qui ne faisait pas partie d'un groupe à risques était de moins de 1 pour 5 millions, ce qui est moins que le risque d'être frappé un jour par la foudre. Mais il fut décidé en 1988 de présenter le sida comme une maladie qui pouvait frapper tout le monde afin de mobiliser le soutien financier des populations et de générer de la compassion pour les victimes.
Infecté par le sida : Une phrase incongrue, rendue populaire par les médias, qui décrit des gens qui ont été testés positifs pour les anticorps contre VIH. Il n'y a pas réellement d'infection du sida.
Inhumain : Terme utilisé pour décrire l'utilisation de placebo dans des études en double aveugle. Pendant des décennies les études en double aveugle ont été reconnues comme des pratiques scientifiquement valables pour évaluer l'efficacité d'un traitement. Depuis le temps du sida, l'utilisation de placebo est considérée comme inhumaine.
Intervention précoce (aussi appelée prophylaxie) : Traitement pharmaceutique d'une maladie que l'on donne avant qu'aucun symptôme de cette maladie ne soit apparu. Le présomption que la maladie va apparaître est fondée uniquement sur des statistiques faussées et ne tient aucun compte de l'état de santé de l'individu. Les traitements précoces qui correspondent au concept de frapper fort et vite ont souvent des effets extrêmement nocifs sur la santé de l'individu.
Maladie mortelle : Décrit la condition qui mène à la mort. Pourtant, selon l'O.M.S., 95 % des gens dans le monde entier qui sont décrits comme ayant le sida vivent en bonne santé. Selon le rapport de 1996 du Centre de Contrôle des Maladies le nombre d'Américains qui vivent avec le diagnostic de sida a augmenté depuis plus de 10 ans. Bien que l'on ait affirmé que les inhibiteurs de protéase et autres nouveaux médicaments étaient responsables du nombre croissant de survivants, ce nombre avait déjà augmenté de plus de 600% deux ans avant que ces traitements ne soient utilisés.
Mutation : une explication rendue populaire pour expliquer pourquoi les effets positifs des médicaments contre le sida sont de courte durée. Cette explication présume que le virus mute en des souches qui résistent aux médicaments chimiques. Il n'y a aucune preuve scientifique qui permette d'étayer cette idée.
Non progresseurs : Personnes qui sont séropositives, ne prennent aucun médicament pharmaceutique et sont en bonne santé. De nombreux scientifiques pensent que ces personnes sont atteintes par une souche virale moins virulente ou imaginent qu'elles ont un gène spécial qui les protège de la maladie. Beaucoup de fonds sont consacrés à la recherche de ce gène présumé.
Personne bien informée : Personne séropositive qui a obtenu des informations des organisations du sida sur les traitements pharmaceutiques et qui les suit. Ces informations, évidemment, ne tiennent aucun compte de tous les faits décrits dans cette brochure.
Personne refusant de voir la réalité : Terme appliqué à tous ceux qui remettent en question l'hypothèse du sida et aussi à tous ceux qui refusent des traitements pharmaceutiques toxiques et choisissent de vivre.
Programme de vaccination contre le sida : Une recherche qui a coûté des milliards de dollars pour créer un vaccin et n'a jamais abouti. Comme des personnes qui ont participé à des études pour le vaccin sont devenues séropositives après vaccination, les chercheurs ont vu qu'il n'y avait aucun moyen de distinguer entre les anticorps induits par le vaccin et des anticorps se produisant naturellement.
99 % de précision : C'est ce que l'on dit à propos des tests de séropositivité. Sans tenir compte du manque de spécificité, du fait que l'on a jamais isolé le virus et des réactions positives pouvant être dues à d'autres causes, une précision de 99 % veut dire qu'au mois 3 ou 4 résultats positifs sont des faux positifs. Par exemple, les chiffres du Centre de Contrôle des Maladies affirment qu'un Américain sur 375 est séropositif. Cela signifie que si l'on teste 7.500 personnes il y aura 100 vrais positifs. Sur les 37.400 personnes testées, 1% (374) peut être considéré comme un faux positif en raison de la précision de 99 %. Ainsi, sur 474 séropositifs il n'y en a que 100 qui seront de vrais positifs pendant que 374 sont des faux positifs ce qui fait que le ratio de vrai sur faux est de 3,74 contre 1.
Séropositif : Décrit quelqu'un qui est testé comme étant positif à des anticorps que l'on pense être dirigés contre le VIH. Le fait d'être séropositif ne prouve pas qu'il y ait réellement une infection par le VIH mais, dans la population, le résultat de ce test correspond souvent à une sentence de mort.
Sida : Habituellement considéré comme une maladie le sida est en fait un nom qui regroupe 29 maladies déjà connues qui sont regroupées sous ce titre seulement parce que la personne présente un test positif aux anticorps contre le VIH.
Sida déclaré : Il suffit, pour avoir un diagnostic de sida déclaré, d'être séropositif et d'avoir l'une des maladies qui sont inclues dans la définition officielle. Cela peut aller d'une simple candidase jusqu'à un cancer terminal.
Spécialistes de l'intervention précoce : De nombreux fonctionnaires des organisations du sida font la promotion de traitements pharmaceutiques en excluant tout autre traitement. De nombreuses organisations (comme Le Projet Sida de Los Angeles) ne permettent pas à ceux qui travaillent pour eux de délivrer la moindre information sur des traitements non-chimiques ou des modes de vie sains qui permettraient de se passer de médicaments pharmaceutiques.
Survivant à long terme : Une personne qui est séropositive et reste vivante pendant plus de 3 à 5 ans. Beaucoup des survivants qui ont pris des médicaments pharmaceutiques vivent avec des effets secondaires importants comme des diarrhées chroniques, des nausées, une perte de poids, des anémies ou des affections du système nerveux.
Test du sida : Ce test mesure les anticorps contre le VIH et pas l'infection par ce même virus. Les anticorps ne peuvent ni causer ni donner une possibilité de prédire la maladie. Les tests ne sont pas spécifiques, donnent de nombreuses réactions faussement positives et ne correspondent pas à un virus qui a été isolé. Il n'y a donc pas de test qui permette de détecter le sida.
Utilisation de compassion avec accès rapide : Cela correspond à utiliser des médicaments expérimentaux qui ont été interdits jusque là sans faire d'études cliniques approfondies. Ainsi la thalidomide, qui a été interdite en 1960 pour des malformations qu'elle produisait chez les foetus a été récemment acceptée pour être utilisée contre certains symptômes du sida.
"Je ne comprends pas pourquoi tout le monde a été si rapide à accepter ce que le gouvernement présentait comme une vérité. Tout spécialement le mythe central à savoir que l'on connaît la cause du sida. Les gens se sont accrochés à une affirmation pour se sécuriser, même si elle était totalement fausse ." Michael Callen, auteur.
"Le sida ne mène pas inévitablement à la mort. Il est important de dire cela aux gens. Les facteurs psychologiques sont très importants pour le maintien d'une bonne fonction immunitaire. Si vous affaiblissez quelqu'un psychologiquement en lui disant qu'il va mourir, vos mots vont le condamner". Professeur Luc Montagnier.
"L'important est de se libérer des médicaments toxiques. Lorsque je les prenais, la qualité de ma vie baissait à grande vitesse." Greg Louganis, séropositif.
"L'histoire du sida est liée à la longue histoire des recherches qui ont été faites pour prouver que c'était un virus qui causait le sida. Les chercheurs qui n'avaient pas pu prouver qu'un virus causait le cancer ont affirmé que le VIH causait le sida !" Jad Adams, auteur.
"Il n'y a aucune preuve scientifique que le VIH soit la cause du sida. Il n'y a pas le moindre document dans la littérature scientifique qui puisse le prouver !" Dr. Kary Mullis.
"L'épidémiologie du sida n'est qu'une accumulation d'histoires anecdotiques qui ont été choisies pour confirmer le dogme populaire du virus comme cause du sida." Dr. Peter Duesberg.
"Comme scientifique j'ai étudié le sida depuis 16 ans et me suis rendu compte que cette maladie n'avait pas grand chose à faire avec la science. Le sida est un phénomène sociologique construit par la peur. Celle-ci a créé une sorte de Maccarthysme qui a fait s'effondrer toutes les règles de la science pour imposer un mélange de croyances pseudo-scientifiques à un public fragile." Dr. David Rasnick.
"Le sida est une grande illusion qui est maintenue parce qu'il y a beaucoup de gens qui gagnent beaucoup d'argent grâce à elle. Enlevez la question financière et toute la mythologie s'effondrera". Charles Thomas, PhD, ancien directeur du département cellulaire du Scripps Research Institute.
"Le sida n'est pas une nouvelle maladie. C'est le triomphe de la politique sur la science". Sénateur Gil Gutknecht.
"Considérant qu'il n'y a pas de preuve scientifique montrant que le VIH soit la cause du sida, est-il éthique de prescrire l'AZT, qui est un produit extrêmement toxique, à 150.000 Américains, y compris des femmes enceintes et des enfants nouveau-nés?". Michael Fumento, auteur.
"Je ne serai pas surpris s'il y avait une autre cause du sida et même qu'aucun VIH ne soit impliqué." Walter Gilbert, Professeur de Biologie Moléculaire, Prix Nobel de Chimie1980.
"S'il existe des preuves que le VIH est la cause du sida, il doit exister des documents scientifiques qui démontrent individuellement ou collectivement ce fait, au moins avec une forte probabilité. Un tel document n'existe pas." Kary Mullis, Biochimiste, Prix Nobel de Chimie 1993.
Dr. Christian Tal Schaller et Dr. Etienne de Harven pour leur soutien éditorial indispensable.
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