Chers amis,

 A l'occasion de la Conférence Officielle du SIDA ayant lieu à Barcelone en juillet 2002, nous organisons une Rencontre internationale destinée à reposer le problème du SIDA.  Cette rencontre sera présidée par le Dr. Roberto Giraldo, agrégé en immunologie, ex-doyen de la Faculté de Médecine d'Antioche (Colombie), président du Groupe pour la Réévaluation Scientifique de l'hypothèse du VIH-SIDA. Lors de cette contre-conférence organisée en parallèle avec la conférence officielle (7-12 juillet 2002), nous dénoncerons avec votre soutien la censure imposée aux hypothèses dissidentes sur le SIDA par la science orthodoxe. Nous donnerons la parole aux scientifiques dissidents lors d'interventions publiques gratuites et de séminaires plus techniques destinés aux professionnels.

Seront organisés également des séminaires et une table ronde consacrés aux traitements alternatifs non toxiques.

Nous vous remercions de bien vouloir diffuser ces informations à travers vos publications, webs, conférences, e-mails et tout autre moyen accessible.

Si vous souhaitez recevoir plus d'informations concernant ces deux thèmes, n'hésitez pas à nous les demander.

 En vous remerciant par avance,

Alfredo Embid. Coordinateur de l'AMC (Association de Médecines Complémentaires)

Prado de Torrejón, 27. Pozuelo de Alarcón 28224 Madrid. Espagne.
Tél: (34) 91 351 21 11. Fax: (34) 91 351 21 71.
Courrier électronique: amcmh@amcmh.org
Internet: www.amcmh.org


À l'occasion de la Conférence Officielle sur le SIDA qui aura lieu en juillet 2002 à Barcelone, nous organisons une

Rencontre internationale afin de reposer le problème du SIDA: "REEVALUATION SCIENTIFIQUE DE L'HYPOTHESE DU VIH-SIDA".

HISTOIRE DE LA REMISE EN QUESTION DU SIDA.

Depuis 1987, les données contredisant une étiologie du SIDA consistant en un seul virus n'ont fait que s'accumuler. C'est ainsi que s'est constitué un réseau de scientifiques du monde entier -le Groupe pour la Réévaluation Scientifique de l'Hypothèse du VIH/SIDA- dans le but de mener à bien une recherche impartiale sur la base suivante : Le VIH est-il réellement la cause du SIDA?

Malgré de nombreuses faiblesses, l'hypothèse du VIH-SIDA est encore la seule base sur laquelle reposent les politiques de santé publique qui tentent de contrôler la propagation du SIDA en exigeant:

1) la pratique du "sexe sûr", 2) l'utilisation de seringues "propres" pour l'injection de drogues toxiques non stérilisées et 3) l'administration à long terme de puissants poisons métaboliques tels que l'AZT.

Cette hypothèse est également l'unique base sur laquelle reposent des programmes de recherche dirigés presque exclusivement vers le développement de médicaments conçus pour interférer dans la réplique du VIH.

C'est dans le but de proposer une prévention et un traitement du SIDA en fonction de ce que nous savons réellement que nous demandons une réévaluation de l'hypothèse VIH-SIDA qui tiendra compte des pour et des contres. L'obligation des scientifiques consiste à envisager les questions les plus désagréables et les plus difficiles, y compris de remettre en question les théories les plus valorisées, spécialement lorsque les réponses peuvent éviter souffrance et morts inutiles.

Le Groupe pour la Réévaluation Scientifique de l'Hypothèse du VIH/SIDA s'est formé grâce à nos efforts pour obtenir la publication d'une lettre (extrait ci-dessous) dans plusieurs revues scientifiques reconnues. Toutes ont refusé.

"Le grand public croit qu'un rétrovirus appelé VIH est la cause du groupe de maladies appelé SIDA. De nombreux scientifiques biochimistes remettent en cause cette hypothèse. Nous proposons qu'un groupe indépendant et approprié élabore une réévaluation consciencieuse de l'évidence qui existe en faveur et contre cette hypothèse. Nous proposons également que soient élaborées et menées à bien des études épidémiologiques critiques."

Cette lettre a d'abord été signée par des dizaines de scientifiques, puis brusquement, par des centaines d'entre eux.

Nous tenons à souligner que les dissidents du sida ne proviennent pas des médecines appelées à tort "alternatives", mais de l'élite même de la science médicale officielle. Nous pouvons citer entre autres:

- Dr Peter Duesberg (Etats-Unis), agrégé de biologie moléculaire et cellulaire de l'Université de Berkeley, en Californie, membre de l'Académie Nationale des Sciences, découvreur des gènes du cancer. Il a été le premier à réaliser la carte de la structure génétique des rétrovirus.

- Dr Charles Thomas (Etats-Unis), premier coordinateur du groupe, ex professeur de chimie biologique à l'Université de Harvard, à la tête de la Fondation Hélicon, une organisation de recherche sans bénéfices, à San Diego.

- Dr Gordon Stewart (Grande Bretagne), épidémiologiste, consultant de l'OMS, ancien professeur de santé publique à l'Université de Glasgow.

- Dr Harvey Bialy (Etats-Unis), virologue, ex éditeur scientifique de la très orthodoxe revue "Biotecnology".

- Dr Harry Rubin (Etats-Unis), virologue, membre de l'Académie Nationale des Sciences, Université de Berkeley.

- Dr R.C. Strohman (Etats-Unis), biologiste cellulaire, Université de Berkeley.

- Dra. Eleni Eleopulos (Australie), biophysicienne, biochimiste, Royal Perth Hospital.

- Dr Wieland (Allemagne), Institut Max Plank, Heidelberg.

- Phillip E. Johnson (Etats-Unis), professeur de Droit. Université de Berkeley.

- Dr David Rasnick (Etats-Unis), Biologiste moléculaire, biochimiste, concepteur des inhibiteurs de la protéase.

- Dr Etienne de Harven (France), spécialiste en microscopie électronique.

- Dr Alfred Hassing (Suisse), Anatomopathologiste, microbiologiste, ancien professeur d'immunologie. Berne.

- Dr Kary Mullis, biochimiste, inventeur de la technique de réaction en chaîne polymérase PCR pour établir des tests génétiques, invention pour laquelle il a reçu le Prix Nobel de Chimie en 1993 et qui est actuellement utilisée mondialement et de manière frauduleuse, comme l'a affirmé le Dr Mullis lui-même, pour mesurer la charge virale.

Soulignons que deux autres prix Nobel ont également remis en question l'hypothèse officielle. L'année suivante, des centaines de scientifiques se sont ralliés à cette remise en question. Plus tard, d'autres groupes se sont formés dans le monde entier. Le réseau s'est développé de plus en plus. IMPORTANT: Voir fichier ci-joint de contacts et bibliographie

Il est important de tous les remercier pour leur courage et d'avoir osé aller à contre-courant. Cette attitude révèle une grande honnêteté mais suppose également un danger pour eux.

Au moment de prendre sa retraite, le prestigieux biologiste moléculaire, le Dr Stroman de l'Université de Berkeley, Californie, reconnaissait:

"Duesberg et tous ceux qui remettent en question le modèle selon lequel le VIH est la cause du SIDA ont raison". Cet homme a attendu son départ à la retraite pour faire cette affirmation et éviter ainsi qu'on ne lui retire les financements de sa recherche, comme cela est arrivé au professeur Peter Duesberg. Duesberg disposait d'une bourse de recherche uniquement destinée à une vingtaine de scientifiques américains jusqu'à ce qu'il ait l'honnêteté et le mérite de dénoncer (depuis le début) le mensonge de l'hypothèse officielle du SIDA.

Stroman ajoutait que "de nombreux scientifiques remettent en question l'hypothèse orthodoxe selon laquelle le VIH est la cause du SIDA" mais il reconnaissait que "ces scientifiques n'oseront pas le dire jusqu'à leur départ à la retraite", par peur de tous types de représailles, entre autres économiques.

Nous assisterons bientôt à une "épidémie de dissidents" qui viendront grossir les rangs des centaines de signataires du document intitulé Rethinking Aids (Repenser le sida) datant du début des années 90, et ceux des nombreux scientifiques qui depuis ont également rallié la dissidence.

CONTRE LA CENSURE DANS LES SCIENCES.

"La base de la science consiste à ne jamais s'arrêter de questionner" Albert Einstein.

Durant la rencontre que nous organisons à Barcelone entre les 8 et 11 juillet 2002, nous dénoncerons, avec votre appui, la censure des hypothèses dissidentes sur le SIDA dans la science orthodoxe. Une conférence est organisée préalablement le 4 mai dans le cadre du salon Bioculutura Barcelone, à 19h.

Les conférences officielles sur le SIDA ont lieu tous les deux ans dans un pays différent. Par conséquent, cette année se présente comme l'unique opportunité de dire ce que nous avons à dire depuis notre propre pays. En fait, ces conférences ne sont qu'un show organisé par les multinationales de l'industrie médico-pharmaceutique, une industrie qui par excellence, n'a aucun fondement scientifique. Ces multinationales sont étroitement liées à l'industrie biotechnologique, chimique et militaire. Elles s'appuient toutes sur un même axe, visant à promouvoir un monde toujours plus injuste par l'intermédiaire de leurs institutions respectives: FMI, OMC, BANQUE MONDIALE.

Le mensonge du SIDA, particulièrement pour ce qui concerne l'invention de l'épidémie dans le tiers-monde où les maladies de la pauvreté toujours plus fréquentes ont été rangées sous le nom de SIDA (et ne sont pas traitées), ne fait qu'accroître le nombre de morts et la peur. C'est un élément supplémentaire de la stratégie de dépeuplement, eugéniste et génocide menée par les puissants.

Durant cette rencontre, nous donnerons la parole aux scientifiques dissidents tels que le Dr Roberto Giraldo, agrégé en immunologie, Président du Groupe pour la Réévaluation Scientifique de l'Hypothèse du VIH-SIDA, lors de conférences, d'interventions publiques gratuites, de 2 conférences de presse et d'un séminaire plus technique sur les traitements alternatifs non toxiques.

Voir le rapport de ce réunion : http://perso.wanadoo.fr/sidasante/newsindex.htm

Information:

Prado de Torrejón, 27. Pozuelo de Alarcón 28224 Madrid. Espagne.
Tél: (34) 91 351 21 11. Fax: (34) 91 351 21 71.
Courrier électronique:
amcmh@amcmh.org
Internet:
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