BIOINFO LANCE UN DÉFI

4 novembre 2002

Le SIDA : non pas un flþau sanitaire mais surtout une þpidþmie de dþsinformation ? Le SIDA : une maladie bien spþcifique ou juste les consþquences d'une immuno-dþpression massive ? La transmission hþtþrosexuelle du SIDA : un mythe ou un phþnomúne avþrþ scientifiquement ? Sur ce sujet si douloureux, les prises de positions se font abruptes et les polþmiques se multiplient.

Yves Rasir, rþdacteur en Chef de Bioinfo a lui aussi son opinion sur la question. Qu'il exprime avec autant de vigueur que de provocation dans son dernier þdito. Il persiste et signe dans le texte que nous proposons š votre lecture. O¶ est l'info ? o¶ est l'intox ? nous attendons vos rþactions dans le forum situþ en bas cet article.

L'þquipe de www.mieux-etre.org

Suite š l'þditorial publiþ dans le dernier numþro du magazine BIOINFO, certaines personnes m'ont interpellþ : comment peut-on þcrire aujourd'hui que l'þpidþmie de SIDA n'existe pas, que ce n'est pas une maladie contagieuse, qu'elle ne se transmet pas sexuellement et qu'elle n'est sans doute pas causþe par le VIH ? Comment peut-on nier tant d'þvidences encore rþcemment rabŠchþes par les mþdias ? A ce procús de â nþgationnisme Ž qui m'est fait, je rþpondrai d'abord que je ne m'appelle pas Thierry Messiaen et que je n'ai þchafaudþ aucune thþorie conspirationniste de type parano´aque sur la question du SIDA. En tant que journaliste, j'observe simplement que les thúses dominantes ne sont pas partagþes par tout le monde. Il y a des â dissidents du sida Ž, des patients, des soignants et des savants qui sont venus exposer leurs arguments š Namur le 12 octobre dernier, lors d'un colloque organisþ par l'asbl Infor Vie Saine (Info : 081 - 21 05 13).

De ce dþluge d'informations, permettez-moi d'en extraire seulement deux. La premiúre, c'est que l'þpidþmie annoncþe n'a pas eu lieu et n'aura sans doute jamais lieu. Il suffit d'analyser honn¡tement les statistiques ! En Autriche, par exemple, les dþcús attribuþs au Sida sont deux fois moins nombreux que ceux provoquþs par noyade. Or comme partout en Occident, les ventes de prþservatifs n'y ont guúre progressþ ! En Afrique du Sud , les relevþs de mortalitþ sont stables et n'indiquent donc nullement la prþsence d'un virus ravageur. Promis š la dþpopulation en tant qu'þpicentre du flþau, l'Ouganda connaît plut»t des problúmes dþmographiques. En fait, le Sida est surtout une þpidþmie de dþsinformation : quand il titre â 42 millions de personnes vivent avec la Sida Ž, le journal Le Soir fait par exemple l'amalgame entre la sþropositivitþ et la maladie dþclarþe : c'est comme si on disait que 1 million de Belges sont atteints de mþningite parce que 10% de la population sont des porteurs sains de la bactþrie !

La deuxiúme bonne nouvelle, c'est que le mythe de la transmission sexuelle ne tient plus la route. En Allemagne notamment, des enqu¡tes ont montrþ que les cas de sida þtait rarissimes chez les hþtþros non droguþs et non originaires du Tiers-Monde. Chez les prostituþes dþpistþes, les affections imputþes au HIV frappent quasi exclusivement les toxicomanes. Tout semble indiquer que le sida n'est pas une maladie sexuellement transmissible mais que l'þpuisement immunitaire relúve de facteurs non contagieux liþs au mode de vie et au contexte sanitaire.

Et d'ailleurs, nous disent les dissidents, le sida n'est pas une maladie. Dans ce syndrome fourre-tout, on a fait entrer quantitþ de sympt»mes clairement identifiþs comme la ranÐon d'une hygiúne de vie lamentable ou comme les consþquences de la misúre . Parmi les causes majeures d'immunodþpression, la malnutrition bien sòr, mais aussi les vaccinations et les mþdicaments censþs combattre le mal ! Quant au pseudo-coupable, le rþtrovirus, son existence m¡me est sujette š caution‡.

Personnellement, je ne vais pas jusqu'š remettre en cause la rþalitþ du HIV, m¡me si je suis sensible aux arguments dþveloppþs par les virologues, mþdecins et autres chercheurs engagþs dans cette voie (pour plus d'info š cet þgard, consultez www.sidasante.com).

En revanche, je partage totalement l'opinion dissidente selon laquelle â ce n'est pas parce qu'on le sida qu'on est malade mais parce qu'on est malade qu'on a le sida Ž. Autrement dit, je suis convaincu que l'þpuisement immunitaire conduit š l'infection et non l'inverse. Et les facteurs immunodþpresseurs sont bien connus !

Par le biais de cet article, je ne crains d'ailleurs pas de lancer un dþfi : que l'on me prþsente un(e) seul(e) sidþen(ne) hþtþrosexuel(le) ayant dþclarþ la maladie et qui ne soit ni droguþ (e), ni hþmophile, ni polytransfusþ (e), ni traitþ (e) š l'AZT ni originaire d'un pays du Tiers-Monde o¶ il (elle) aurait eu š souffrir d'un manque d'hygiúne þlþmentaire. Si on me prþsente une telle personne, je fais le serment de rendre ma carte de journaliste et de me repentir publiquement.

Yves Rasir, rþdacteur en chef de Bioinfo (4/12/2002)

L'þditorial en question est paru dans le Nç 34 du magazine Bioinfo, disponible gratuitement dans tous les magasins d'alimentation naturelle.

Voici l'éditorial en question :


LIBRE propos

Éditorial de BIOinfo, nov. 2002

 

Préparez les boules Quiès ! Comme chaque année à pareille époque, les médias vont nous bassiner les oreilles avec la pseudo épidémie de Sida, les pseudo victoires médicales et la pseudo nécessité de sortir capoté. Comme de coutume, on va faire dire aux chiffres n’importe quoi pour justifier le dogme de l’infection virale et mettre en garde contre les prétendus dangers de contamination. Et comme d’habitude, on passera sous silence les thèses scientifiques expliquant autrement la séropositivité et la dépression immunitaire. Car il y a des " dissidents du sida ". Des patients, des soignants et des savants qui réfutent totalement le discours dominant. Ils sont venus à Namur le 12 octobre dernier exposer leurs arguments.

De ce déluge d’informations, permettez-moi d’en extraire seulement deux. La première, c’est que l’épidémie annoncée n’a pas eu lieu et n’aura sans doute jamais lieu. Il suffit d’analyser honnêtement les statistiques ! En Autriche, par exemple, les décès attribués au Sida sont deux fois moins nombreux que ceux provoqués par noyade. En Afrique du Sud, les relevés de mortalité sont stables et n’indiquent donc nullement la présence d’un virus ravageur. Promis à la dépopulation en tant qu’épicentre du fléau, l’Ouganda connaît plutôt des problèmes démographiques. Bref, le temps des exagérations est révolu.

La deuxième bonne nouvelle, c’est que le mythe de la transmission hétérosexuelle ne tient plus la route. En Allemagne notamment, des enquêtes ont montré que les cas de sida était rarissimes chez les hétéros non drogués et non originaires du Tiers-Monde. Chez les prostituées dépistées, les affections imputées au HIV frappent quasi exclusivement les toxicomanes. Tout semble indiquer que le sida n’est pas une maladie sexuellement transmissible mais que l’épuisement immunitaire relève de facteurs non contagieux liés au mode de vie et au contexte sanitaire. Le temps des fausses croyances est révolu.

Et d’ailleurs, nous disent les dissidents, le sida n’est pas une maladie. Dans ce syndrome fourre-tout, on a fait entrer quantité de symptômes clairement identifiés comme la rançon d’une hygiène de vie lamentable ou comme les conséquences de la misère. Parmi les causes majeures d’immunodépression, la malnutrition bien sûr, mais aussi les vaccinations et les médicaments censés combattre le mal ! Quant au pseudo-coupable, le rétrovirus, son existence même est sujette à caution… Le temps des vérités serait-il arrivé ?

Yves Rasir bioinfo@skynet.be


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