Dossier d'information sur le SIDA.Printemps 1995Résumé préparé avec la collaboration de Alfredo Embid Fonfría, coordinateur de la Asociación de Medicinas Complementarias. En science, la chose la plus importante est de ne laisser jamais de questionner. Albert Einstein ... Nous ne rivalisons pas simplement pour que mon opinion ou la tienne prévale. Je suppose que tous les deux nous nous battons pour la verité. De Philebus, des Dialogues de Platon La vérité est révolutionnaire. Jean Jaurès
La vocation scientifique authentique est caractérisée par la recherche de la connaissance sans conditionnements ni dogmatismes préalables. Galilée observait les corps célestes et démontra que la Terre tournait autour du Soleil. Malgré tout, il fut accusé d'hérésie et dut rétracter sa thèse. Mais même ainsi sa thèse triompha finalement. En plus, la science est une vocation qui, pour bien marcher, est difficile de soumettre aux mouvements du marché, et il faut la pousser socialement. Normalement, pour atteindre un progrès scientifique il faut faire des investissements dans plusieurs lignes de recherche, desquelles peut-être une seulement atteindra un résultat positif. Ainsi, nous avons l'exemple de l'homme de science Alexander Fleming, qui découvrit l'effet antibiotique de la pénicilline à cause d'une négligence fortuite... S'il est difficile qu'une science humainement positive soit soumise au marché, il est encore plus difficile quand il y a la pression des intérêts du marché, qui doivent s'accommoder aux brevets des vielles inventions. Celle-ci est la raison pour laquelle les énergies renouvelables ne s'appliquent pas encore aux vehicules de transport urbain et rural, et nous dépendons toujours des moteurs à gas et à pétrole, qui originent tant de guerres. Dans un marché où il régne la corruption et l'irresponsabilité, la science au service d'une humanité plus libre devient encore plus difficile. Il y a des pouvoirs qui favorisent beaucoup la recherche pour l'aliénation en masse et pour le contrôle de la population (nouveaux systèmes d'aliénation ludique et télévisions plus modernes), mais pas du tout ces outils qui aident les gens à être plus libres. Dans l'histoire qui suit, nous participerons à l'aventure de certains hommes de science critiques qui veulent porter à la pratique leur vocation dans le domain de la recherche médicale et biologique. Ils ne cherchent pas seulement à poser la question d'une théorie scientifique, imposée arbitrairement, mais ils cherchent aussi à défenser la justice, la responsabilité et le rigueur qui doivent accomapgner leur profession. On verra aussi comment, au moyen de leur travail pratique ces hommes de science se heurtent à la dure realité de certains pouvoirs irresponsables, et de quelle façon ces pouvoirs pressent dans tous les domains (politique, économique, informatif) pour soumettre l'humanité à la désinformation et au terreur qui constituent la peur au SIDA. Avant-propos: «Wellcome to death». La vieille Burroughs-Wellcome fue fondée en 1880 par deux pharmaciens, Henry Wellcome et Silas Burroughs. Vers 1936 fut créé le Wellcome Trust. La Wellcome et la Rockefeller commencèrent leur association. Dans les années '30, les affaires légales du Wellcome Trust étaient menées par Me.s Sullivan & Cromwell, une des études les plues influentes de New York, et un des piliers de la Rockefeller, comme le démontre le fait que ses deux avocats, John Foster Dulles et Allen Dulles devinrent sécretaire d'état dans la guerre froide et directeur de la CIA, respectivement. A partir des années '50 leurs cadres techniques se superposent. Après le Trust Wellcome participera dans le complexe universitaire de Londres fondé par Rockefeller. Son influence s'étendra alors à l'éducation sanitaire anglaise. Pendant les années '70 David Rockefeller créa la Commission Trilatérale formée par des industriels, des académiciens et des politiciens experts en politique internationale. Le noyau de la Trilatérale est composé par des directeurs d'un groupe d'entreprises multinationales avec l'intention de maintenir la primauté du pouvoir économique (plutocratie) dans tout le monde. Entre ces multinationales la Wellcome Trust Corporation occupe un lieu de choix. Jusqu'à 1986 le Wellcome Trust contrôlait le 100% de la Wellcome Inc., qui produisait les médicaments. Après avoir vendu le 25% de ses actions il prit le nom de Wellcome Foundation. A partir de ce moment il y a un change d'orientation dans les institutions de la Wellcome, qui passent d'un esprit plus éthique et académique à des positions plus dures et mercantilistes. Après un échec retentissant dans le traitement du cancer, la Wellcome obtient l'autorisation pour que l'AZT, rebaptisé Retrovir, soit introduit dans le marché pour traiter les malades de SIDA. Le 14 juin 1988, Duncan Campbell, dans un article au titre «La surprenante farce du SIDA», dans la publication «New Statesman and Society» affirmait que beaucoups de résultats cliniques sont cachés par des résultats commerciaux. Il affirmait aussi que le coût de l'AZT était multiplié par cinq ou par dix. Le coût mensuel en AZT d'un malade de SIDA à présent atteint les 100.000 pesetas environ. En juillet 1992 le Wellcome Trust vendit le 40% de sa participation à la Wellcome Foundation, et en obtint des bénéfices de 2,3 billions de pesetas. Finalement le 7 mars 1995 le Wellcome Trust décidait de vendre son 40% dans la Wellcome Foundation à la société pharmaceutique anglaise Glaxo pour un prix équivalent à 1,9 billions de pesetas en livres sterling. Le président de la Wellcome Foundation, John Robb considéra «évidemment regrettable» et «spécialement frustrante» l'actitude de Wellcome Trust de se défaire rapidement de l'entreprise et éviter ainsi une lucrative escalade à la hausse des offres d'achat. Des fonctionnaires à la chasse du virus: le NIH, les CDC et les EIS. Aux Etats Unis la recherche scientifique officielle est contrôlée par le National Health Institute, le NIH, et le Service de Santé Publique, au moyen des Centres de Contrôle des Maladies, ou CDC. Les deux institutions sont gouvernées par des virologues. Le NIH fut fondé en 1887 sous forme d'un Laboratoire Médical, et organiquement il dépend de la Marine des Etats Unis. Pendant les années '30 fut créée la première division spécialisée du NIH: l'Institut National du Cancer. En 1955 James Shannon assumait la direction du NIH. Depuis 1956 le budget des NIH augmenta considérablement dans leur lutte contre la poliomyélite, quand les virologues contre la polio se formèrent. Vers 1960 les virologues contre la polio adoptèrent aussi la lutte contre le cancer, et se formèrent des gens comme Howard Temin et Robert Gallo. A partir de 1962 les NIH commencèrent la recherche de l'origine virique du cancer, avec des budgets enormes et sans des résultats pratiques. En adaptant la réalité de la maladie aux intérêts de leur ligne de recherche, ils inventèrent la notion des virus lents. Des virus qui, en théorie, tuent le malade après avoir disparu de son corps. Avec cette ligne de recherche Carlton Guidachek reçu le Prix Nobel en 1976. Acceptée cette ligne de recherche les NIH furent libres de faire des recherches sur n'importe quelle maladie, s'adaptant toujours a l'hypothèse virique. A présent les NIH dépensent à peu près dix mil millions de dollars par an. L'autre pilier de l'administration sanitaire des Etats Unis sont les Centres de Contrôle des Maladies, les CDC. Au début ils n'avaient pas d'investigateurs, mais seulement des activistes publiques payés pour bloquer les maladies contagieuses. Ces CDC commencèrent dans les années '40, en contrôlant le paludisme pendant la 2e Guerre Mondiale, comme des Centres de Maladies Transmissibles. Les CDC posèrent en marche trois programmes destinés à convaincre la population de l'origine infectieuse et contagieuse des maladies. Dans un de ces programmes on crea, vers l'an 1950, le Service d'Intelligence pour les epidémies, ou EIS, destiné à recruter les nouveaux diplômés en médecine et biologie. Ils prirent partie active dans la dénommée grippe asiatique de 1957. Dans les années '60, en faisant croire à la population l'origine infectieuse de la leucémie. En 1976 dans l'epidémie de grippe porcine et dans la maladie des légionaires, toujours suivant l'hypothèse virique. A présent, le EIS est devenu une organisation de l'état complètement secrète. Le réseau de l'EIS fut fortement impliqué dans l'identification des premiers cinq cas de SIDA, poussant toujours la maladie vers l'hypothèse virique. Il y a un autre programme du CDC, dénommé «programme d'associations». Il consiste à subventionner des associations pour «éduquer» la population dans la ligne virique, entre autres les associations sanitaires et d'hémophiles. Après 1984 il subventionna aussi des groupes d'activistes pour les droits des homosexuels et contre le SIDA. Le SIDA, un débat scientifique censuré. En 1981 Ronald Wilson Reagan gagna les élections présidentielles aux Etats Unis. Dans le «lobby» qui finançait sa camapagne électorale il y avait la Wellcome Trust Corporation. Cette même année, Michael Gottlieb identifia l'existence de cinq personnes malades -sans rapport entre elles-, caractérisées par un système immunitaire affaiblit. Cette maladie fut appellée avec le nom générique de SIDA, Syndrome Immuno-Déficitaire Acquis. Le 23 avril 1984, à l'occasion de la présentation de la Secrétaire d'Etat d'Hygiène et Sécurité Sociale des Etats Unis, Margaret Heckler, le Dr. Robert Gallo annonça dans une conférence de presse qu'il avait découvert le retrovirus producteur du SIDA, qu'il appella HTLV-III. Le même jour était enregistré un brevet américain d'une équipe du test du HTLV-III, développé par le même Dr. Gallo. Cette déclaration fut faite sans l'examen et débat habituels qui aurait dû avoir lieu après cette annonce publique. Malgrè tout elle fut reçue comme un fait par la communeauté scientifique mondiale. Sans d'autres études on posa en marche un vaste programme de recherche toujours dans la ligne de l'hypothèse du HTLV-III. Margaret Heckler et Robert Gallo. Le vol du faux diamant. A la suite de l'annonce du Dr. Gallo, le gouvernement français commença une action contre le gouvernement des Etats Unis, reclamant le droit du brevet et le mérite de la découverte du retrovirus, qui fut rebaptisé comme VIH (Virus de la Inmunodéficience Humaine). Rapidement, le Président des Etats Unis, Ronald Reagan, et le premier ministre français Jacques Chirac conclurent un accord: les deux états partageraient les bénéfices du test du dénommé VIH, et Gallo et Montagnier seraient considérés «codécouvreurs» du retrovirus. Plus tard on publia les photos du retrovirus. Celles-ci étaient identiques aux échantillons d'un virus, dénommé LAV, que quelque temps avant le Dr. Luc Montagnier, chef de l'équipe de recherche de l'Institut Pasteur, lui avait passé. Antérieurment aussi, dans une seconde occasion, en october 1993, le Dr. Montagnier lui avait passé un autre groupe d'échantillons, avec un contrat où il était indiqué que le laboratoire américain ne pouvait pas les utiliser avec des buts lucratifs. Selon le Dr. Sonnabend, créateur de la «AIDS Medical Foundation», la coïncidence des photos n'était pas possible si elles n'avaient pas été prises d'échantillons du même malade. Au début de 1989 le reporter de Recherche John Crewdsen expliquait dans le «Chicago Tribune» comment apparemment Gallo avait pris le virus envoyé par le Dr. Montagnier à son laboratoire, commentant ainsi que tous les deux avaient découvert le même virus. Le 1 mars de la même année, Le «New York Tribune» informait sur une recherche intérieure de l'Institut National de Santé des Etats Unis. Dans cette recherche on arrivait à la conclusion que un article de Gallo publié en 1984 dans la revue «Science», où il discutait que, selon son opinion, le denommé VIH produisait le SIDA, contenait des contradictions, fruit de «fausses interprétations ou falsifications». Le gouvernement de l'Etat français exigeait la reconnaissance absolue de la découverte du dénommé VIH, la requête aux Etats Unis était d'une valeur d'à peu près 20 millions de dollars. Cet argent correspond à l'argent reçu pour les bénéfices des équipes d'épreuves du dénommé VIH. Il reclamait aussi un nombre de millions de dollars reçus directement par le Dr. Gallo. Finalement, le gouvernement des Etats Unis reconnut le vol du virus. L'Institut Pasteur augmenta donc en un 10% les droits de brevet du test du dénommé VIH. Un savant dissident: Peter Duesberg. En 1987 Peter Duesberg, un biologiste moléculaire, membre de l'Accadémie Nationale des Sciences des Etats Unis, et déjà alors un des premiers spécialistes en retrovirus du monde, commença à écrire des articles sur le dénommé VIH dans la revue «Cancer Research». Dans cet article Duesberg se posait un nombre de questions: comment se fait-il que le dénommé VIH pouvait tuer des billions de cellules si il était en condition de tuer seulement quelques unes? pour-quoi y avait-il des malades de SIDA sans traces de ce VIH? et quand ce VIH était injecté à des animaux, pour-quoi ceux-ci ne développaient pas le SIDA? Après neuf mois de collaboration avec la revue «Cancer Research» et de lire touts les articles apparuts précédemment, il arriva à la conclusion que, loin d'être mortel, ce retrovirus était inoffensif. Malgrè ces affirmations, Duesberg insistait prudemment qu'on ne devait pas abandonner la pratique du sexe protegé. Le biologiste Peter Duesberg. Au début il eut le silence de ses collègues. Après, la suppression de ses fonds pour la recherche. En octobre 1990 on lui annonça que la subvention annuelle de 350.000 dollars qu'il recevait du gouvernement des Etats Unis serait suspendue a la fin de 1992. Dans le comité de revision qui lui refusait la subvention il y avait la Dr. Flossie Wong Staal (maîtresse de Gallo pendant long temps et mère d'un de ses deux fils) et le Dr. Dani Bolognesi, qui possédait un autre brevet à long échéance des anticorps du dénommé VIH. Duesberg fit appel infructueusement, malgrè le support initial de quelques membres du gouvernement et de quelques congressistes, comme Ron Dellums et William Dannemeyer. Il est évident que depuis lors le débat sur l'origine du SIDA était complètement couvert. Des savants «prestigieux», aux grands salaires et postes, déclaraient à tout moment par les moyens de communication que le dénommé VIH était la seule cause du SIDA. VIH-SIDA: une hypothèse impossible. Selon l'hypothèse, où l'on affirme que le dénommé VIH produit le SIDA, quand une personne a le VIH celui-ci infecte et tue les leucocytes (globules blancs) avec la suffisante insistance pour que la personne infectée finisse victime des dénommées «maladies opportunistes». Devant l'expérience de gens avec des anticorps du VIH qui pendant des années ne développent aucun des symptômes du SIDA, quelsques virologistes fonts des efforts compliqués de réinterprétation pour adapter la réalité à leurs théories. Schéma basique du rétrovirus nommé VIH. Ils repondent que le virus est caché, qu'il souffre des mutations, qu'il agit d'une façon mystérieuse. Il est évident que ces mêmes personnes ne mettent jamais en question l'hypothèse virale: il s'agit là des nombreux virologistes du NIH, de l'EIS, les principaux bénéficiaires des brevets des tests, des voyages organisés, des subventions publiques et privées... Selon Duesberg, le virus infecte et tue une moyenne d'une cellule chaque 10.000, et le corps humain remplace les cellules à un rythme beaucoup plus rapide. Par conséquent, la ou les causes du SIDA doivent être cherchées ailleurs, et le mal dénommé VIH est un de plus des milliers de retrovirus qui, quelque fois, peuvent être trouvés dans un malade de SIDA. Malheureusement jusqu'à présent on n'a fait aucune étude systématique pour éclaircir quels facteurs, en plus du dénommé VIH, produisent le SIDA. Il y a de nombreux témoignages de médecins avec expérience avec des malades de SIDA, et des témoignages de personnes qui représentent de groupes de support qui assistent ces malades. Ces témoignages affirment que les personnes qui deviennent malades de SIDA, par exemple les hémophiles et les récepteurs de transfusions, renforcent la théorie qu'il y a de nombreux facteurs qui produisent une diminution des défenses, tant si le dénommé VIH y est présent comme si non. Beaucoup de gens avec SIDA on souffert auparavant des maladies de transmission sexuelle, ensemble avec l'abus de antibiotiques ou aussi avec des drogues et des médicaments immunosuppresseurs. La terreur qui vient du Troisième Monde. Pendant 1989 Philippe et Evelyne Kryen, responsables d'une organisation médicale d'aide avec 230 employés à Kagera, Tanzanie, informe pour la première fois du SIDA en Afrique. Ils répandent un rapport, avec des illustrations, qui annonçait un future très pessimiste pour le continent africain, à cause d'une possible plaie de SIDA. Ce rapport fut très diffusé et amplifié para la presse des Etats Unis. Par exemple, en mars 1992 le Washington Post écrivait que le continent africain supportait «un désastre dans la santé publique d'énormes proportions», et que Kagera était «une des aires le plus durement atteintes du monde». Le journal faisait dire à Philippe Kryen que «il aurait valu mieux qu'ils avaient eu un tremblement de terre» avant que la plaie du SIDA, car il attaquait le groupe le plus productif, précisement ceux plus actifs sexuellement. Le 3 octobre 1993 le Sunday Times publiait un long article de son reporter scientifique Neville Hodgkinson. Dans cet article, quand il portait déjà quatre ans d'expérience totale avec des malades africains, Philippe Kryen déclarait: «Il n'y a pas de SIDA. C'est une chose inventée. Il n'y a pas des bases épidémiologiques pour ceci. Il n'existe pas pour nous». Malgrè tout le Washington Post ne publia pas le change d'opinion. Seulement The Guardian et, partiellement, le Sunday Times de Londres, celui-si au moyen d'un essai de Simon Jackins, ouvrirent le débat. Le principal argument de l'élite scientifique anglaise contre Hodgkinson fut une étude jamais publiée du Medical Research Council, et répandue dans un conférence de presse en juin 1993. Dans cette étude on affirmait que les paysans de Ouganda qui donnaient positif dans les tests du dénommé VIH souffraient une mortalité supérieure aux autres. Mais des 64 morts utlisées par le Medical Research Council pour les épreuves, seulement 5 furent diagnostiquées comme causées par le SIDA.
Dans cette conférence de presse, en reponse à la question posée par Neville Hodgkinson, de si les paysans étaient morts de SIDA, la reponse fut une sorte de «pas exactement». Dans la conférence internationale du SIDA, qui eut lieu à Yokohama en août 1994, et où présentèrent leurs produits une bonne partie de l'industrie pharmaceutique du SIDA, on augmenta le nombre de maladies qui devaient être considérées comme produites para le SIDA. A cause de ce change d'évaluation, le nombre de possibles atteints par le SIDA en Asie, selon leurs calculs, devait être augmenté considérablement. En décembre 1994, dans une autre conférence internationale sur le SIDA au Maroc, avec l'assistance de savants et représentants de gouvernements, les officiers de l'Organisation Mondiale de la Santé affirmèrent que en Afrique les infections causées par le dénommé VIH dépassaient le 1.500.000 de personnes en 1993, et les 10 millions en 1994. Publicité du SIDA en Tanzanie. Harvey Bialy, docteur en biologie moléculaire et directeur de la revue «Biotechnology» affirmait, après avoir visité Nigérie, Cameroun et Gabon, qu'il n'y avait pas de SIDA contagieux en Afrique. Il dénonçait que des épidémiologistes peu rigoureux voulaient présenter comme SIDA les maladies typiques de la malnutrition. La dissidence s'organise. En 1990, dans la Conférence Internationale du SIDA de San Francisco, le Dr. Luc Montagnier donnait marche arrière et annonçait que le dénommé VIH ne pouvait provoquer le SIDA sans un co-facteur comme par exemple les microplasmes, petites bactéries qui sont devenues aggressives à cause des antibiotiques. Cette déclaration provoca la reponse irritée d'une partie de l'audience et de quelques-uns de ses collègues nord-américains. Il dût rentrer rapidement par avion à son pays. En 1993 environ 40 savants, y compris des experts retrovirologistes, épidémiologistes et immunologistes, s'associèrent pour former le Groupe pour la Reconsidération de l'Hypothèse du VIH-SIDA. Le groupe se constitua à cause du refus de toutes les revues scientifiques requises à publier la suivante lettre: «Le publique en général croit que un retrovirus dénommé VIH cause le groupe de maladies dénommé SIDA. Beaucoups de savants biochimiques posent en doute cette hypothèse. Nous proposons que un groupe indépendant approprié conduise une nouvelle évaluation consciencieuse des épreuves qu'il y a à la faveur et à l'encontre de cette hypothèse. En plus nous proposons que l'on étude et on réalise des études épidémiologiques critiques». Ce groupe a publié une revue périodique, avec le titre initiel de «Rethinking AIDS», maintenant son titre est «Reappraising AIDS». Peu après sa création, le groupe contait déjà avec plus de 400 savants critiques.
La conférence de Sant Cugat del Vallès. Déjà en décembre 1993 l'Association de Médecines Complémentaires organisait une conférence à Sant Cugat del Vallès, avec la participation de plusieurs de ces savants, tous eux critiques de la théorie officielle du VIH-SIDA. Entre autres personnes étaient invités le déjà nommé Dr. Peter Duesberg, le Dr. Harvey Bialy, Robert Laarhoven, coordinateur de l'association pour la recherche anti-SIDA en Hollande, et Joan Shenton, directrice de la firme de vidéos médicaux MEDITEL. Précisément cette firme (MEDITEL) a eu l'occasion de présenter l'opinion des savants dissidents, surtout au moyen de programmes dans le quatrième canal de la TV anglaise, d'une durée totale de 5 heures d'information. Les organisateurs de la rencontre envoyèrent un document dénommé «Repenser le SIDA», publié par la revue CUERPOMENTE et quelques autres, à plus de 600 moyens de communication de l'état espagnol. Par contre, aucun des moyens de communication envoyés à la conférence, ni aucune télévision de la Catalogne ni de l'état espagnol informèrent sur cette rencontre. Il n'on pas informé non plus d'aucune des opinions des dissidents le long de leur trajectoire. Traitements et survivants. La pluspart des personnes atteintes par le SIDA, qui ont survecut à la maladie, l'on fait avec de grandes doses de volonté et sens critique, adoptant des habitudes de vie responsables. A Londres les survivants publient la revue «Continuum». En Hollande il existe déjà la Fondation pour la Recherche Alternative sur le SIDA (SAAO). Indépendamment de son origine, l'immunodéficience peut être traitée par de nombreuses méthodes produites écologiquement et très économiques. Il y a des chercheurs et thérapeutes qui utilisent des solutions pour la immunodéficience mettant à profit les propriétés curatives des plantes. La médecine chinoise, par exemple, libre de la pression des entreprises pharmaceutiques occidentales, a continué à étudier et appliquer les plantes immunostimulantes, suivant une tradition qui se remonte a 22.000 ans. Entretemps à la Méditérranée, beaucoup de plantes sont en peril d'extinction sans qu'on en ait étudié les propriétés médicinales. Nous trouvons amusant que quelqu'un fut enthousiaste avec l'idée que Barcelone devienne la capitale de l'Agence Européenne du Médicament... Les traitements toxiques du SIDA. Le 1 avril 1994 on fit publiques les premiers résultats de l'étude anglo-française Concorde. C'était une étude comparative des résultats de l'AZT sur 1800 malades, porteurs présumés du dénommé VIH et sans symptômes de SIDA, la moitié desquels prenaient cette préparation. Dans les conclusions on disait que la manifestation des symptômes du SIDA n'était nullement retardée avec l'AZT, et qu'il y avait plus de morts que entre les personnes qui ne le prenaient pas. Il y a aussi d'autres effets: l'immunodéficience même, les tumeurs induits, l'anémie, les transfusions reçues, (qui produisent une reduction des défenses), et la diminution de la qualité de vie.
Comme réaction à tout ceci, à Los Angeles on constitua l'association Project A.I.D.S., qui commença une procédure judiciaire contre les responsables de l'approbation de l'AZT comme médicament aux Etats Unis. A Londres on créa le SCAM, un comité déstiné à rechercher et publier les affaires de la Wellcome Foundation et de l'AZT. L'avocat anglais Graham Ross est en train de préparer un groupe d'action judiciaire entre états contre la Wellcome Foundation, qui comprend l'état espagnol. Du 14 au 17 avril 1994 la Wellcome Foundation invitait 20 représentants des moyen de communication de l'état espagnol à Londres, à l'Hotel Grafton, de 5 étoiles, avec une dépense approximative de 14 millions de pesetas. Et pourquoi ceci? Observons ce qui arriva quelques jours plus tard... Kary Mullis et la manipulation de l'information en action. Le Dr. Kary Mullis reçu le Prix Nobel de Chimie en 1993 pour sa découverte d'une technique avancée pour étudier les virus: la RCP, initiales de «Réaction en Chaîne de la Polymérase» La RCP est un outil pour amplifier n'importe quoi, même s'il est très petit, y compris le VIH. Même une molécule de ADN si l'on dispose d'un équipement suffisant pour l'analyser. Quand la technique de la RCP fut appliquée la première fois en 1989 pour détecter le dénommé VIH, quelques chercheurs assurèrent que l'affirmation de Duesberg, qui disait que le VIH était indétectable dans les malades de SIDA, tomberait par terre. Les jours 21, 22 et 23 avril 1994 il y eu à Tolède la 28ème Réunion Internationale de la Société Européenne de Recherche Clinique. Il y avait plus de 1,000 savants et elle était faite sous le patronage des multinationales pharmaceutiques. Dans sa conférence Kary Mullis changea son sujet et affirma qu'il ne croyait pas que le dénommé VIH fut la cause du SIDA. De nombreux assistants se sentirent horrifiés et ils sortirent de la salle sans attendre qu'il termine. Curieusement, practiquement aucun des moyens de communication écrits de l'état espagnol où apparut l'information (ABC, El Mundo, El País, Ya,...) donnait des renseignements du contenu de ses affirmations. Au contraire, il y eut des titres, de pages complètes et des longs commentaires qui critiquaient ou ridiculisaient ses déclarations. Pas plus de 60 paroles de l'opinion de Mullis, mais présentées comme si elles fussent vides de base et contenu. Plus tard un malade de SIDA et un porteur du mal dénommé VIH, survivants et dissidents de la théorie officielle, interviewèrent Kary Mullis. Dans cette interview Kary Mullis s'unissait aux voix qui disaient que le virus était inoffensif: «Le mystère de ce maudit virus a été engendré par les deux billions par an qu'on dépense là-dessus. On prend un autre virus, on y dépense deux billions de dollars et on peut déjà y bâtir des grands mystères là dessus». Résumé fait avec la collaboration de Alfredo Embid
Références, contacts et bibliographie. Information générale:
Reappraising AIDS: 4622 Santa Fe St., San Diego, CA 92109. Tel: 619-272-3884.
Fax: 619-272-1621.
D'autres renseignements sur les traitements officiels:
SCAM: BCM 7000, London WCIN 3XX. Angleterre. Visitez http://free-news.org/
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