La plus grande escroquerie de l'histoire de la science médicale.
Apocalypse (révélation) et invitation à l'éveil.

Article paru dans Vous et Votre Santé No. 50, Août 1997.

Prenons conscience qu'en cette fin du 20ème siècle la croyance SIDA tient plus d'une nouvelle religion que de la science. De nombreuses critiques rigoureuses ont fait surface depuis le début des années 80 pour ensuite être muselées par ceux qui tiennent les rennes du pouvoir mondial, c'est à dire militaire, économique, politique, scientifique et médical. L'éthique scientifique a été violée car la science demande normalement des critiques de chaque hypothèse avant d'ériger de nouveaux modèles conceptuels qui se muent avec le temps et le développement d'autres idées nouvelles. Notre "réalité" change continuellement avec le temps et notre évolution. L'histoire du SIDA est truffée d'erreurs fondamentales et d'abus de pouvoir qui doivent aujourd'hui nous apprendre les dangers de la manipulation des populations par les "experts" trop éloignés de la réalité du quotidien et de l'humanitaire par les salaires des géants multinationaux et le militaire. Ceux-ci n'obéissent plus aux règles de conduit de l'utilisation correcte de la science mise en place par ses pères il y a bientôt 300 ans.

Depuis treize ans les journaux scientifiques ont censurée toute critique du point de vue "politiquement correct" sur le SIDA et donc empêché le grand public de recevoir une vision équilibrée du phénomène. Aujourd'hui il n'existe toujours pas de papier scientifique démontrant ni la preuve de l'existence du VIH ni de son mécanisme de destruction du système immunitaire - incroyable mais vrai!

Ne perdons pas de vue que malgré les avances techniques fabuleuses dans le domaine de la médecine, la pratique de celle-ci reste d'abord un ART, car l'être humain est plus qu'une collection de cellules et d'organes qui fonctionnent de manière linéaire et prédictible, l'homme est l'organisme le plus évolué de notre univers connu, et son fonctionnement global restera toujours un miracle et un mystère car chacun est unique.

Ce texte tentera d'éclaircir l'accumulation des erreurs fondamentales du dogme VIH=SIDA=MORT dans les termes d'un diagnostiqué "séropositif" qui vit bien depuis sa guérison de la peur du SIDA et sa prise de conscience des erreurs qui suivent. Il faudra un livre de plusieurs centaines de pages pour transmettre la totalité du message des "dissidents" du SIDA* - alors ici je me contente de donner les grandes lignes et de vous inviter à découvrir par vous-mêmes les documents scientifiques et les livres cités à la fin de cet article.

*Aids. The failure of contemporary science. Neville Hodgkinson. ©1996. £17.99 + P&P. Fourth Estate Ltd. 6 Salem Road, London W2 4BU, U.K.
Tel : (44) 0171 727 8993. Fax : (44) 0171 792 3176 .

Historique de l'évolution du point de vue dissident du SIDA

1951
Création aux USA de L'épidemie Intelligence Service baptisée avec ironie la "CIA médicale". Fondée en 1951 par le professeur en santé publique Alexandre Langmuir, l'EIS fut d'abord conçue comme le corps d'élite de défense chimique et bactériologique du CDC (Centre de recensement des Maladies). Langmuir fut choisi pour ce poste parce qu'il avait été l'un des conseillers techniques du programme de guerre biologique et chimique du Ministère de la guerre. Devenus l'oeil et l'oreille du CDC, leur fonction était d'enregistrer toute éruption possible de maladie éventuellement engendrée par la guerre bactério-chimique. Aujourd'hui l'on trouve des officiers de l'EIS dans les bureaux du Surgeon General ou dans d'autres secteurs gouvernementaux, ou dans des instances internationales comme l'OMS, sans parler des universités, des compagnies pharmaceutiques, des fondations sans but lucratif et des hôpitaux mais aussi comme rédacteurs, journalistes ou échotiers dans des journaux d'intérêt général, des publications scientifiques ou à la télévision.

1980
"L'épidémie" prit naissance en 1980 lorsque Michael Gottlieb, un immunologiste nouvellement promu au centre médical de l'UCLA à Los Angeles, eut l'idée de se servir de la toute nouvelle technologie de comptage des cellules T. Il fit circuler auprès de ses collègues une demande informelle afin qu'on lui signale tous les cas de déficit immunitaire. Dans les quatre mois qui suivirent, il reçut quatre rapports concernant de tels cas : il s'agissait d'homosexuels de sexe masculin frappés de pneumonie à Pneumocystis Carinii. Il y avait un cinquième rapport du même type, concernant également un homosexuel. En reliant tous ces cas différents, il compila un rapport pour le CDC. (MMWR, no. 21, vol 30, 5 juin 1981). Normalement, chacun de ces cinq cas particulier aurait dû être traité par un médecin particulier, sans que jamais l'idée d'épidémie n'éffleure personne. Mais la présence sur place d'un agent de l'EIS a certainement aidé le CDC à rassembler ces cas disparates pour les faire apparaître comme un foyer d'épidémie.

1981
L'EIS avait si bien réussi à s'infiltrer dans toutes les institutions médicales et de santé publique des Etats Unis, que toutes les éruptions de maladies, même minimes, même si les victimes n'étaient rassemblées ni par le temps ni par l'espace, étaient étiquetées par lui comme épidémies. Les premiers cas de sida furent tous détectés chez des homosexuels à partenaires multiples, ceux qui ont des centaines voire des milliers de contacts sexuels et qui doivent consommer de grandes quantités de drogues dures pour maintenir un tel activisme sexuel. Pour le CDC, il suffisait de faire croire à une maladie contagieuse. Jamais le grand public n'aurait pris peur d'une maladie frappant des homosexuels toxicomanes et jamais le CDC n'aurait pu se livrer à ses activités de manipulation sociale. "Bien que les malades aient été des utilisateurs réguliers d'amyl nitrate ou poppers, aucun des membres de l'équipe KSOI ne voulut admettre que le problème était d'origine toxicologique." (Elisabeth Etheridge, Sentinel for Health, 1992, p. 326).

Donald Francis, membre de l'EIS depuis 1971, avait décidé que le syndrome baptisé sida devait être attribué à un rétrovirus - avec une longue période d'incubation, qui plus est ! Mettant en oeuvre ses nombreux contacts dans le domaine des rétrovirus, Francis passa les deux années suivantes à pousser Robert Gallo à isoler un nouveau rétrovirus. Gallo finit par se sentir intéressé et prit son brevet pour avoir découvert le VIH.

1982
Le CDC baptise ce nouveau phénomène du nom de Acquired Immune Deficiency Syndrome (AIDS). (MMWR no. 37, vol 31, 24 septembre 1982).

1984
(1) "En avril 1984 le secrétaire des services santé et humanitaires et le Dr. Robert Gallo (aux USA) ont annoncé que le VIH était "la cause probable du SIDA", et un test des anticorps, dit "le test du SIDA" a été enregistré comme brevet par Gallo et ses collaborateurs - ceci même avant la publication d'une étude publiée sur le VIH. D'après ce point de vue le VIH est un rétrovirus lymphotropique qui se transmet sexuellement. Après une période moyenne de 10-11 ans suivant l'infection et l'apparence d'anticorps neutralisants, Gallo a postulé que le VIH cause l'immuno-déficience en tuant des billions de cellules T. A partir de ce moment, les maladies opportunistes sont sensées développées causant la mort une année après. Donc le VIH est devenu le premier virus pour lequel un test positif des anticorps est interprété comme indicateur de maladies futures. Les anticorps contre des maladies conventionnelles signalent typiquement la protection contre la maladie et ceux contre des virus persistants témoignent aussi un petit risque de maladie après réactivation du virus. Quoiqu'aucun rétrovirus n'ait été montré être pathogène dans l'être humain, Gallo et al. propose que le VIH soit 50-100% mortel, plus que tout autre virus humain. La nouveauté du SIDA est postulé refléter le nouveauté du VIH. La grande variété de maladies opportunistes sont supposées être le reflet d'une immuno-déficience sous-jacente, et la concentration presque exclusive du SIDA entre l'âge de 20-40 ans est postulée refléter la transmission sexuelle ou parentale du VIH". (Dr. Peter Duesberg, Proc. Natl. Acad. Sci. USA, Vol 88 pp 1575-1579, Feb 1991.)

(2) Le National Institute of Health (NIH), sur la recommandation du gouvernement US, prend un brevet international pour le "test anticorps anti-HTLV3" connu aujourd'hui sous le nom de "test du SIDA". Le Dr Gallo touchant alors des droits. (Steve Connors, New Scientist, 12 février 1987).

1986
(1) Le comité international de taxonomie des virus donne le nom de "VIH" au virus controversé. (Coffin, Science vol 232, 9 mai 1986).

(2) Le gouvernement français intente un procès pour "utilisation frauduleuse de brevet" contre le gouvernement US, revendiquant que Montagnier est le découvreur du "VIH" et non Gallo. Gallo certifia qu'il ne croyait pas que le "LAV" français était le responsable du SIDA tant qu'il n'avait pas appliqué sur cet échantillon son propre test anti-"HTLV 3", déjà breveté.

1987
Le Dr. Peter Duesberg, biologiste moléculaire à l'université de Berkeley, Californie, remet en question la destruction des cellules T humaines par le "VIH" in vivo et affirme qu'il n'y a pas de destruction directe des cellules CD-4. (Cancer Research, vol 47, 1987).

* Les "Postulats de Koch" - critères standards de la virologie pour définir une maladie infectieuse - ne sont pas respectés par l'hypothèse "officielle" du SIDA)

* La structure génétique (hypothétique) du VIH ne diffère pas des autres 20,000 rétrovirus répertoriés dans la recherche menée lors de la "guerre contre le cancer" sous l'administration Nixon. Il n'y a pas de précédent dans l'histoire de la virologie d'un rétrovirus contenant si peu d'information génétique capable de causer de tels dégats qui lui sont attribués.

* L'épidémiologie ne correspond pas à une maladie infectieuse: aux USA les proportions sont de 90% masculin et 10% féminin de mortalité - dont 97% sont issus des "groupes à risque".

1990
Le Dr Montagnier annonce à une conférence de presse à San Francisco qu'il vient de découvrir que le "VIH" seul ne suffit pas à tuer les cellules T.

* Montagnier propose que les mycozymes soient nécessaires à l'activation du VIH qui déclenchent un processus appelé "apoptose" (suicide cellulaire).

* Il dit également " Le SIDA n'amène pas inévitablement à la mort - Il est très important de dire cela au gens. Les facteurs psychologiques sont critiques au soutien du système immunitaire. Si l'on supprime ce soutien psychologique en disant à quelqu'un qu'il est condamné à mort, vos seuls mots l'auraient condamné".

1991
10 ans après "l'identification" du "nouveau syndrome", le rapport qui existe entre le "VIH" et le SIDA est toujours aussi controversé. Puisque on n'a jamais isolé un seul virus "VIH", il n'existe aucune preuve de "nouveau rétrovirus". Tout ce qu'il semble y avoir, ce sont des anticorps qui, de manière très perverse et tout à fait nouvelle dans l'histoire de la médecine, servent aujourd'hui d'indicateur d'un processus de mise à mort par quelques 29 maladies regroupées sous le terme parapluie de SIDA.

On a montré que le "VIH" ne tue pas les cellules T de manière directe. Alors on a créé de nouvelles hypothèses sans fondement pour essayer de sauver l'hypothèse originelle du Dr. Gallo et le gouvernement américain. Actuellement, il y a des preuves fortes que le "VIH" est un rétrovirus non exceptionnel qui tout comme les autres rétrovirus ne met pas en danger les cellules humaines.

Même si l'establishment y reste sourd, de nombreuses critiques apparaissent. Depuis la fin des années 80, de plus en plus d'agences aux USA, en Angleterre, en Allemagne, en Suisse etc. présentent des informations fondées sur le SIDA, qui remettent en cause l'hypothése VIH=SIDA=MORT.

1992
(1) Le Dr Kary Mullis, un biochimiste américain, inventeur de la PCR Polymerase Chain Reaction, la technique la plus précise pour détecter les ADN viraux affirme : "La PCR a permis de détecter le "VIH" plus facilement. Mais les humains sont pleins de rétrovirus et ni le "VIH" ni les autres rétrovirus par eux-mêmes ne représentent une quelconque menace pour la santé des hommes. Je ne nie pas l'existence du SIDA, je dis seulement que le "VIH" n'en est pas la cause". (Newsweek, août 1992).

(2) Le Comité d'Intégrité Scientifique, un corps du National Institute of Health, déclare le Dr Gallo coupable de fraude scientifique à différentes occasions lors de la découverte du soi-disant virus du SIDA. (John Crewdson, Chicago Tribune, 19 novembre 1989).
(3) Un noyau des meilleurs scientifiques et médecins du monde entier créent le groupe "Reappraising AIDS" et proposent une réévaluation professionnelle de l'hypothése "VIH" / SIDA.

1993
(1) Le Dr Eleni Papadopoulos-Eleopoulos, médecin du Royal Perth Hospital, Australie et son équipe démontrent l'invalidité des tests "VIH", que ce soit ELISA, Western Blot ou le test PCR. Leur recherche démontre que d'autres facteurs non liés au "VIH" comme la tuberculose, la malaria, la lèpre, la vaccination contre l'hépatite B et même la vaccination antigrippale peuvent déclencher la séropositivité au test "VIH". (Biotechnology, vol 11, juin 1993. Le journal Continuum à Londres dénombre aujourd'hui (1997) 66 facteurs pouvant déclencher des "faux positifs").

(2) Le CDC ajoute encore des critères à la définition du SIDA. Maintenant la conjonction d'une séropositivité et de la présence de moins de 200 cellules T / ml de sang ou d'un cancer de l'utérus, ou de pneumonies chroniques ou de chacune des 25 autres maladies déjà définies suffit à déclarer quelqu'un sidéen. (MMWR no. RR17, vol 41, 1993).

(3) Le Dr Kary Mullis obtient le prix Nobel de chimie pour son invention de la PCR et continue affirmer que le "VIH" ne cause pas le SIDA.

(4) Le Dr Gallo est relaxé de son accusation de fraude scientifique grâce à un bureau d'avocats qui réussit à faire modifier la législation sur la "fraude scientifique" dans le système judiciaire américain.

1994
(1) Le Dr Gallo admet enfin : "... nous n'avons jamais trouvé de l'ADN du "VIH" dans les cellules T" lors d'un meeting sponsorisé par le National Institute on Drug Abuse, 23-24 mai 1994, Washington DC. (Lauritsen, New York Native, 13 juin 1994).

(2) Le Dr Stefan Lanka, biologiste moléculaire à l'université de Konstanz, Allemagne, déclare que l'existence du "VIH" n'a jamais été prouvée. Il n'existe aucune entité isolée qui puisse être baptisée "VIH", seulement ont été isolées des protéines cellulaires et parmi elles, une enzyme appelée Reverse Transcriptase (RT). Il a été affirmé que la RT était spécifique des rétrovirus. Cependant dès 1983/84 on a découvert cette enzyme dans toutes les cellules vivantes. Lanka affirme que ce qui a été trouvé au niveau génétique n'est pas un "VIH", mais du matériel génétique endogène humain (appartenant aux cellules) provenant des 90 % du génome non décodé, des éléments répétitifs présents dans tous les chromosomes humains.

Cela accroît encore l'inutilité des test "VIH" et indique que ces tests ne peuvent que révéler qu'un individu est entré en contact avec des protéines provenant d'un autre individu, et probablement des protéines de globules blancs puisque le test "VIH" est réalisé à partir de protéines de globules blancs leucémiques (brevetés) produits au laboratoire. Si quelqu'un entre en contact immunologique avec des protéines humaines non endogènes et produit des anticorps, il sera séropositif au test "VIH". (Fehldiagnose AIDS, Wechselwirkung, décembre 1994 et VIH: Réalite ou artefact? Dr. Stefan Lanka)

1995
(1) Le Pr Duesberg publie la preuve que l'immunosuppression détectée chez les hémophiles est directement fonction de la contamination protéique qui existe dans les facteurs de la coagulation, qui constitue 99 % du produit. L'immunosuppression est directement corrélée au dosage et à l'âge. (Genetica, 1995 : 51-70).

(2) A la 10ème conférence internationale sur le SIDA tenue à Yokohama, les scientifiques japonais affirment maintenant que le SIDA est une maladie auto-immune, le système immunitaire qui réagit contre son propre organisme. On sait que la plupart des maladies auto-immunes sont provoquées par des toxines plus que par des virus.

1996
(1) Eleni Eleopolus et al. publient leur critiques de toutes les hypothèses SIDA dans le journal anglais Continuum qui lance au même temps son défi aux scientifiques mondiaux de fournir un papier scientifique prouvant l'isolation du VIH. Elle propose également le modèle alternatif du "stress oxidatif" qui soit la véritable cause de l'immuno-déficience humaine et expliquent la présence de "rétrovirus" comme le résultat de maladie et non la cause. Elle explique que les "tests du SIDA" ne sont pas spécifiques à un virus quelconque, mais à un stress extérieur au système immunitaire - acquis ou héréditaire. (The isolation of HIV: Has it really been achieved? The case against. Papadopulos-Eleopulos, Valendar F. Turner, John M.Papadimitriou et David Causer. Continuum Vol.4 No.3 Sept/Oct 1996)

(2) Emission "Sida les doutes" sur ARTE. Les scientifiques sur le plateau n'ont pas répondu aux questions soulevées par le documentaire mais se sont contentés d'insulter leurs confrères. Certains témoins présents sur le plateau ont étés muselés. Ce phénomène résume bien toute l'histoire du SIDA.

Ce scénario ressemble à celui du scandale SMON au Japon dans les années 70s où la drogue anti-diarrhéique Clioquinol (commercialisée sous le nom Entero-Vioform et Mexaform) manufacturée par la firme pharmaceutique Ciba-Geigy a causé des milliers de morts alors que le virus accusé "Inouï" était lui inoffensif. (Channel 4 publication : Drug injury and what to do about it, the story of SMON by Joan Shenton).

Ignorer ces aspects de l'histoire du SIDA peut entraîner des conséquences irréversibles et catastrophiques pour l'humanité et la confiance des gens en la science et la pratique médicale.

Conclusions

* Les "tests du SIDA" sont basés sur des cultures de laboratoire qui ne sont pas basées elles-mêmes sur l'isolation virologique classique d'anticorps d'un virus.
* Le "virus du SIDA" n'a jamais été isolé (d'où l'impossibilité d'isoler des anticorps). Tous les modèles du "virus" ne sont que des modèles génétiques hypothétiques fabriqués à partir de cultures de laboratoire. On a utilisé des éléments de moutons, de souris, de chèvres, de rats, de singes et d'humains malades de Leucémie et de Lymphodémie pour fabriquer de telles potions de sorcières en chaudrons de potion magique "scientifiques"! Un prix de £1000 et aujourd'hui disponible au premier scientifique qui produit un papier scientifique démontrant l'isolation du VIH!
* Utiliser les "anti-viraux" les plus toxiques de l'histoire de la médecine pour atteindre un virus qui n'a jamais été prouvé ni exister ni être la cause du SIDA relève d'un génocide pharmaceutique. Continuer de les prescrire après les nombreuses études qui démontrent leur inefficacité et dangers toxiques relève du même comportement que les soldats Nazis qui menaient les Juifs aux chambres à gaz parce qu'ils "obéissaient aux ordres".
* Le "virus du SIDA" n'est pas le résultat de manipulations génétiques financées par le militaire dans le but de guerre bactériologique (Drs. Strecker, Horowitz, De Brouwer etc.), encore pire, l'existence de ce "virus" n'a jamais été prouvé! On utilise une collection de signaux biologiques non-spécifiques, mais brevetés par les multinationales, pour donner une sentence de mort aux "séropositifs". C'est la manipulation frauduleuse de l'épidémiologie par des éléments de l'armée américaine depuis le début des années 50 qui a peu à peu pris le contrôle de "la santé" américaine et mondiale. Ce monopole (illégal dans la constitution américaine) a compris qu'il pouvait contrôler les populations par la peur des épidémies et de la maladie. Recensements des maladies, tests de dépistage et produits chimiques et toxiques de "guérison" proposés par le même monopole ont créés, et vont continuer de créer de toute pièce de "nouvelles maladies". Les vaccinations "contre la maladie" n'ont fait que renforcer la dégradation de l'immunité naturelle des populations. Ces monopoles paient également pour la formation/indoctrination des médecins. Ce phénomène arrange bien "le nouvel ordre mondial" des grandes familles richissimes qui construisent la mafia la plus riche du monde qui ont pour but de diminuer drastiquement la population mondiale pour accroître les richesses d'une élite mondiale.

Et par conséquent...tout ce que vous avez toujours pensé être vrai sur le SIDA est absolument faux!

* Le découvreur du "VIH" est accusé de fraude grave par les scientifiques. Les bases du SIDA sont fondées sur ses trois mensonges
* Le SIDA est un syndrome, pas une maladie
* Le SIDA n'est pas nouveau, il est aussi vieux que l'humanité
* Le SIDA est endémique, et non épidémique, et n'est pas contagieux
* Le SIDA ne se transmet pas sexuellement
* Le SIDA n'est pas le plus grand danger à la santé publique mondiale, c'est ses concepteurs qui le sont
* L'épidémie du SIDA prévu par l'OMS n'a jamais eu lieu
* Après 17 ans le SIDA reste cantonné principalement aux groupes à risque
* Le vaccin contre le SIDA serait inutile voire dangereux. Apprendre la santé et la responsabilité individuelle et collective sera le meilleur "vaccin"
* Les traitements anti-viraux sont une cause du SIDA
* Le test du VIH est non-spécifique
* Le test PCR dit de "charge virale" n'est pas spécifique. Son inventeur et Prix Nobel Kary Mullis dit toujours que le VIH n'est pas la cause du SIDA
* Le VIH ne peut pas provoquer le SIDA
* Le VIH n'est pas "un virus lent". Il n'y a que des rétrovirologues lents!
* Le taux de "VIH" dans les populations n'est pas en augmentation. Seuls les tests non-spécifiques sont en augmentation, surtout dans le tiers-monde qui ne peut difficilement les payer
* Environ 75% des enfants nés VIH+ redeviennent VIH- après 18 mois de vie et sans intervention médicale
* L'immuno-déficience acquise est la cause de la plupart des maladies.
* L'Immuno-Déficience Acquise est causée par beaucoup de facteurs connus et prouvés : drogues, alcool, cigarettes, médicaments, toxines polluantes, radiations, malnutrition, parasites, la peur engendrée par un test positif au VIH etc. - soit individuellement, soit combinés.
* L'hypothèse du SIDA est frauduleuse et ses auteurs sont coupables de tromperie criminelle et de meurtre ! En sont-ils conscients ?

Par conséquent, on peut traiter et prévenir le SIDA.

Juin 1997. Mark Griffiths,
Article paru dans Vous et Votre Santé No. 50, Août 1997.

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