UN MÉDECIN JOUE SA VIE EN DIRECT POUR PROUVER QUE LE VIRUS HIV N'EST PAS LA CAUSE DU SIDA
Dans son livre "Deadly Deception" (L'Escroquerie du sida) le
docteur Willner prouve que le sexe et le HIV ne causent en rien le SIDA. Si vous ou une de vos connaissances avait un résultat positif
au test HIV, il existe maintenant un espoir. Les risques que vous soyez
malade ou que vous mourriez du SIDA ne sont pas plus importants que si
votre test avait été négatif. Le Sunday Times rapporte les travaux d'un important groupe de recherche
qui a récemment démontré que le test HIV (supposé
diagnostiquer le SIDA) est complètement nul et non avenu, car "criblé
de faux positif". La malnutrition, les infections multiples, la malaria, la sclérose
multiple, la tuberculose, la grippe ou la rougeole attrapées une
fois, même la réponse naturelle du corps au contact anal
du sperme, tous ces cas entraînent la positivité du test
HIV. Maintenant la vérité est enfin connue. Quand une personne
normale et saine se révèle positive au test HIV, puis est
mise sous traitement par le médicament mortel AZT, elle meurt.
Sa mort est le résultat de la destruction du système immunitaire
par le AZT et non par le HIV. J'ai interviewé le Dr Robert E. Willner, qui a pratiqué
la médecine à travers le monde pendant plus de 35 ans. Il
a récemment abasourdi l'Espagne en s'inoculant en direct à
la télévision, un échantillon de sang provenant de
Pedro Tocino, un hémophile séropositif. Le Dr Willner est
l'auteur du livre-bombe publié récemment, "Deadly Deception",
où il prouve que le sexe et le HIV ne sont en rien les causes du
SIDA. Q. Dr Willner - Vous dites dans votre livre que le SIDA est la plus grande
fraude médicale qui ait jamais existé dans l'histoire. Vous
dites que ceux qui ont perpétré ce crime s'enrichissent
par milliards tandis que des gens innocents sont assassinés avec
le médicament mortel AZT. Le SIDA est-il un leurre ? R. - Non. Les gens meurent effectivement du syndrome d'immunodéficience
acquise ou SIDA. Le leurre c'est que le SIDA n'est pas causé par
le HIV et qu'il n'est ni transmis sexuellement ni par un tout autre moyen.
Les vraies causes du SIDA sont connues depuis des siècles et ont
été énumérées dans les livres médicaux
depuis plus de 60 ans. Nous avons tous été trompés
et vendus pour une bouchée de pain par une poignée de scientifiques
immoraux et peu scrupuleux qui font plus grand cas de l'argent et du pouvoir
que de la vérité et de la vie humaine. Q. On nous a dit que tous les malades du SIDA hébergeaient le
virus HIV qui était la cause de leur maladie ! R. C'est un mensonge éhonté ! l'hypothèse HIV/SIDA
est basée sur l'observation du CDC (center for disease control)
selon laquelle seulement 40% des cas de SIDA hébergent des anticorps
anti-HIV et non pas le virus. A New York et à San Francisco seulement
7% des victimes du SIDA étaient séropositifs. Cela signifie
que 60 à 93% de tous les sidéens qui ont été
utilisés pour fabriquer l'hypothèse HIV/SIDA étaient
séronégatifs. L'hypothèse HIV/Sida est basée
sur un mensonge complet. On nous a menti en nous faisant croire que 100%
des sidéens étaient séropositifs. Q. Mais comment cela a-t-il pu se passer ? R. Pour répondre à cette question, nous devons examiner
plus précisément qui est à l'origine de cette grande
manipulation ? Q. Etes-vous en train de dire que le Dr Gallo a créé le
SIDA ? R. D'une certaine façon oui, en amalgamant un certain nombre de
maladies qui étaient en train de tuer un groupe particulier d'individus
et en proclamant qu'ils avaient tous un point en commun, l'innocent rétrovirus
appelé maintenant HIV qu'il décréta aussi sexuellement
transmissible. Q. Que rétorquez vous aux partisants de la relation HIV/SIDA quand
ils argumentent que "tout le monde sait que le HIV cause le SIDA"? R. Une fois, "tout le monde savait" que la terre était
plate et que le soleil tournait autour. Il s'est passé plus de
12 ans depuis la soit-disant découverte du SIDA. Pourtant, il n'existe
toujours pas un seul article scientifique dans le monde qui prouve que
le HIV cause le SIDA. Autrement dit, aucune preuve expérimentale
quelle qu'elle soit n'a été amenée pour établir
que ce rétrovirus innofensif, qui ne peut même pas être
retrouvé chez 50% des sidéens, ait un rapport quelconque
avec le SIDA. Q. N'est-il pas vrai que toutes les maladies capables de détruire
le corps humain peuvent être trouvées en différentes
proportions dans les personnes infectées ? R. Oui bien sûr. Pourtant, même la technique très
sensible de PCR mise au point par le Dr Kary Mullis, prix nobel, qui détecte
même les virus cachés, ne peut déceler le HIV de Gallo
en quantité suffisante pouvant permettre à une simple grippe
de tuer ces gens. Q. Mais alors qu'est exactement le HIV ? R. Le HIV n'est qu'un inofensif morceau de tissu mort, rien de plus que
les nombreux autres rétrovirus qui existent dans notre corps à
chaque instant. Il représente 1/1000e de la taille d'une cellule
moyenne. Il est inofensif et tout simplement incapable de faire quoi que
ce soit de ce que Gallo lui attribue. Q. Est-ce que le Dr Mullis partage votre réserve au sujet du HIV
du SIDA ? R. Absolument. Le Dr Mullis dit : "les scientifiques ne sont pas
des croyants, ils travaillent avec des preuves... Dans ce cas, nous n'avons
pas de preuves" (au sujet de l'hypothèse HIV-SIDA). Q. Y en a-t-il d'autres qui soutiennent votre position ? R. Presque 500 des plus grands scientifiques mondiaux mettent maintenant
en cause l'hypothèse de Gallo selon laquelle le HIV cause le Sida,
et la liste s'allonge chaque jour. Chaque statistique, chaque observation
scientifiquement valable, et même l'épreuve du temps prouve
que Gallo s'est trompé. R. Le Dr Duesberg, renommé comme un des plus fameux rétrovirologues
mondiaux, sinon le meilleur, répond à cela : "les virus
"lents" n'existent pas ! c'est une autre invention hypothétique
construite pour tenter d'expliquer ce qui est à l'évidence
absurde. Cette théorie n'a aucune base d'observation, aucun précédent
en science, et se révèle contradictoire avec les découvertes
effectuées après plus de 20 ans de recherche. Les rétrovirus
ne peuvent être répliqués que dans la cellule hôte
et dépendent du cycle de vie de cette cellule. Par conséquent,
le virus est obligé de se répliquer dans les heures et les
jours qui suivent l'infection de manière à survivre. Durant
plus de 20 ans, une enquête exhaustive sur les rétrovirus
a révélé que les "virus lents" n'existent
pas." Q. Est-ce que vous avez toujours su que le HIV n'est pas la vraie cause
du SIDA ? R. NON. Je dois admettre qu'au début, moi aussi j'ai cru à
la grande manipulation de Gallo. Mais plus j'en ai appris sur les rétrovirus,
moins l'hypothèse qu'il avait développé pour le SIDA
me paraissait sensée. Q. Bien entendu, il y eut un certain nombre de scientifiques indépendants
qui essayèrent de dénoncer cette fraude ? R. Effectivement, et je prendrai comme exemple pour montrer que leur
remise en question fut évincée, le cas du Dr Joseph Sonnabend,
fondateur de la Fondation Médicale pour le SIDA. Il représente
un cas typique qui montre comment ont pu être traités ceux
qui se sont opposés à l'hypothèse HIV/SIDA. Le Dr
Sonnabend écrit : "J'ai essayé de prouver que le HTLV1
(HIV) n'était pas en cause dans le SIDA mais tous les journaux
refusèrent de publier mon article". Q. Que pensez-vous de Kimberly Bergalis et de Magic Johnson ? R. Kimberly Bergalis serait toujours en vie aujourd'hui si elle n'avait
pas été sous traitement de l'AZT. Magic Johnson est probablement
en aussi bonne santé aujourd'hui qu'il l'a été avant
et continuera à vivre une vie longue et heureuse tant qu'il ne
prendra pas l'AZT, ou toute autre médicament toxique. Q. Pourquoi vous êtes-vous inoculé le sang d'un séropositif
hémophile ? R. Parce que je ne peux pas supporter plus longtemps de voir la profession
que j'aime être utilisée faussement pour commettre des crimes
sous la banière HIV/SIDA de Gallo. Je me suis juré que si
nécessaire, je répéterai ce processus de m'injecter
le sang d'une personne séropositive dans chaque grande ville du
monde jusqu'à ce que ce génocide s'arrête. Q. Dr Willner dans votre livre "Deadly Deception", vous dites
que l'AZT est l'une des causes majeures de la mortalité par sida.
Pouvez-vous argumenter un peu plus pour nos lecteurs ? R. Oui et je commencerai pas citer une fois de plus le Dr Duesberg :
"l'AZT est un tueur aléatoire des cellules infectées
comme des cellules saines. L'AZT ne peut pas les discerner les unes des
autres. Il détruit les cellules T, les cellules B, les globules
rouges et toutes les cellules qu'il rencontre. L'AZT est un terminateur
d'élongation de la chaîne d'ADN de toutes les cellules sans
exception. Il balaie tout. A long terme il ne peut que conduire à
la mort de l'organisme, et au cimetière. L'AZT est un véritable
tueur ! Il va être responsable de la mort de plus de 200.000 personnes
qui sont actuellement sous son traitement et d'autres innombrables milliers
qui ont déjà succombé dans la décade passée.
Tout cela résulte de la thérapie par l'AZT, un homicide
pharmacologique ?" Q. Y a-t-il d'autres causes du sida ? R. Effectivement, il en existe d'autres et j'explique chacune de ces
causes actuellement connues de manière détaillée
dans mon livre mais je dois ici cependant ajouter qu'aucune de ces causes
supposées n'est sexuellement transmissible ou en rapport avec le
HIV. Q. Que conseillez-vous à une personne souffrant du sida ? R. Il y a actuellement beaucoup de choses qu'une personne souffrant du
sida peut faire si elle a suffisamment de temps et c'est souvent le cas. L'Escroquerie du sida (L'Ultime
Supercherie), Dr Robert E. Willner sur ce site Par Frank Prescott - Nexus déc 94 - jan 95. Traduction en français : Yaël Lévy, Laurent Pommès
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