Un appel pour la vérité.
(Concernant l'hypothèse virale du SIDA)
L'histoire de la médecine foisonne d'instances où
des physiciens ont agi - tragiquement -sous la pression d'un "consensus
d'opinion" plutôt qu'appuyé par des preuves
scientifiques substantielles. De telles pratiques trouvent leurs
origines dans l'idée - âprement défendue -
que la médecine est un art et non pas une science. Depuis
quelques décennies, des avancées technologiques
nous ont permis de nous affranchir de cet "age sombre"
de la diagnostique et des doctrines thérapeutiques souvent
basées sur des préjudices personnels et la "politique
médicale". Au début des années 1980, nous avons pris connaissance
d'un phénomène qui ressemblait à une épidémie
naissante, connu maintenant partout par le nom SIDA. Comme tous
mes collègues, j'ai suivi avec passion les dépêches
publiées par les services d'hygiène sur l'évolution
de cette maladie et les explications complexes concernant le comportement
de ce nouveau retrovirus nommé le VIH. Malgré une
ignorance relative au sujet des retrovirus, j'ai commencé
à flairer quelques incohérences quand certains rétrovirologistes
- les mêmes qui, pendant une vingtaine d'années,
avaient dépensé plus de vingt milliards de dollars
à l'étude des virus - commençaient à
se perdre dans des apologies longues et complexes concernant le
VIH. Ils parlaient d'un virus "mystérieux" et
"intelligent", avançant un nombre sans cesse
croissant d'explications hypothétiques cherchant à
clarifier les contradictions implicites dans l'originelle HYPOTHESE
VIRALE du SIDA. Si je souligne ce mot "hypothèse", c'est pour
rappeler à mes collègues que le prétendu
"virus du SIDA" n'a jamais été scientifiquement
prouvé capable de créer quelque maladie que ce soit,
sans parler du SIDA. Aucune des déclarations prétendues
scientifiques ne s'appuie sur des preuves établies au laboratoire
- elles demeurent toutes de la pure supposition. Permettez-moi de parler au nom de certains de nos plus éminents
collègues dans le domaine de la recherche sur le SIDA: le Dr. Peter Duesberg, Professeur de Biologie Moléculaire,
Université de Californie à Berkeley - le premier
rétrovirologiste du monde; le Dr. Charles A. Thomas, Professeur de Microbiologie, Harvard; le Dr. Kary Mullis, candidat au Prix Nobel par six fois, Lauréat
Nobel de 1993, découvreur du Polymerase Chain Reaction. J'ai nommé trois parmi les centaines de scientifiques
éminents qui se sont réunis pour former "The
Group for the Re-evaluation of the AIDS Hypothesis". J'ai
passé cinq ans à étudier autant que possible
de dépêches scientifiques et d'autres papiers afin
de comprendre pleinement l'énigme du SIDA. Tout ce que
j'ai pu lire et vérifier a confirmé les soupçons
qui sont nés de la contradiction flagrante entre l'hypothèse"
et l'expérience pratique dans le traitement des malades
du SIDA. Le SIDA n'est pas une énigme - depuis maintenant
plus de cinquante ans, nos textes médicaux définissent
clairement les causes d'une déficience immunitaire acquise.
Ce qui semblait être une épidémie naissante
dans la communauté homosexuelle est arrivée par
la coïncidence de trois phénomènes - l'éclosion
de la "drug culture" des années 60, l'utilisation
des "poppers" (amyl nitrite), et la visibilité
des "gays" à l'époque où ils se
"déclaraient". Si nous ajoutons à cela
deux autres facteurs (évidents) - la famine en Afrique
(la malnutrition est connue de longue date comme la cause principale
de la déficience immunitaire) et l'utilisation de l'AZT
- l'énigme du SIDA devient alors très clair. Du
coup, le "mystérieux" et "intelligent"
virus redevient ce qu'il est en réalité - un morceau
de matière sans intérêt, banal et sans vie. Je ne vous présente ici qu'une petite fraction des faits
qui réclament investigation et réévaluation
immédiate. Ce que j'appelle "La Déception Mortelle
- l'Hypothèse Virale du SIDA." POURQUOI LE VIH NE PEUT PROVOQUER LE SIDA Aucune des explications proposées - il en existe plus
que quarante - pour le modus operandi du VIH, de
même que l'hypothèse virale du SIDA elle-même,
n'est basée sur des données ni des preuves scientifiquement
acceptables. Les données des laboratoires plaident plutôt
contre l'hypothèse. Les données qui restent sont
épidémiologiques, et même là, quand
les faits sont présentés honnêtement et sans
censure préalable, prouvent que le VIH est innocent de
toute implication dans le SIDA. EPIDEMIOLOGIE On nous demande de croire qu'un seul virus est la cause de
deux formes de maladies différentes - celles dues à
la destruction des cellules, comme la pneumonie Pneumocystis,
et celles dues à la prolifération des cellules,
comme le sarcome de Kaposi! Pire, on nous demande de croire qu'un
seul virus peut créer non seulement deux complexes de maladie
différente, mais peut aussi sévir selon la distribution
géographique, la préférence sexuelle et le
sexe. En Afrique, le SIDA se compose à presque 100% de fièvre,
de diarrhée et d'amaigrissement. Aux Etats Unis et en Europe,
le SIDA se compose d'entre 25 et 35 maladies distinctes, selon
le mode de classification. Il n'existe pas de différence génétique
uniforme et signifiante entre le VIH isolé et les mutations
trouvées aux U.S.A., en Europe et en Afrique, qui soient
capable de rendre compte des grandes incohérences dans
l'occurrence de maladie. L'incidence du VIH en Afrique diffère d'un pays à
l'autre, et ne se conjugue qu'avec la malnutrition et la famine.
Ailleurs, il se conjugue avec la drogue, le sexe masculin, et
les préférences sexuelles, et il traverse toutes
les frontières. En Europe et aux Etats Unis, entre 86% et 90% des malades sont
masculin. En Afrique, le SIDA affecte les deux sexes de façon
égale. L'épidémie annoncée ne s'est jamais produite.
Pendant les dix dernières années (depuis 1984),
204,000 individus ont contracté le SIDA aux Etats Unis,
alors que l'on annonçait 602,000. En Afrique, 129,000 personnes
ont contracté le SIDA, alors que l'on annonçait
3,060,000. Si l'on rajustait ces chiffres pour inclure l'incidence
normale de toutes les maladies provoquant la déficience
immunitaire acquise, plus la famine et l'utilisation des drogues
(y compris le AZT), il n'en restera plus pour attribuer au VIH. L'épidémie imminente annoncée pour la
Thaïlande n'a produit que 123 cas de SIDA en 8 ans. Des rats de laboratoire traités avec des antibiotiques
et de la cortisone - tous les deux des immunosuppresseurs - ont
développé la pneumonie Pneumocystis, une des maladies
les plus répandues du SIDA. Aux Etats Unis et en Europe, un tiers des cas de SIDA concerne
des maladies qui ne sont pas vraiment immunodéficientes,
telles le sarcome de Kaposi, le lymphome, le dépérissement
et la démence. 83% des bébés né avec le SIDA aux Etats
Unis sont des "crack babies" (nés des mères
addictes) ou alors sont hémophiles (maladie congénitale). En Afrique, le virus n'a aucune ou très peu d'affinité
pour des groupes à comportement à risques, que ce
soit de comportements sexuels ou autres. Malgré la présence partout en Afrique de la Pneumocystis
et la Candida, ces maladies ne se présentent pas dans les
cas de SIDA Africains. 50% des cas de SIDA aux Etats Unis sont diagnostiqué
par supposition - sans test positif. Le SIDA se présente principalement dans la tranche d'age
de 20 à 45 ans - la tranche où la santé est
la plus vigoureuse, comme en témoigne le recrutement militaire. Le virus préfère les hommes, mais les maladies
ne sont pas spécifiques aux hommes. LE VIRUS NOMME VIH Le VIH n'a jamais été présent dans des
cas de SIDA en quantité suffisante pour provoquer la maladie,
et pourtant, il est censé tuer sa victime. Seulement 1
virus pour 100,000 lymphocytes peuvent être détecté
dans des cas de SIDA, même quand la mort est imminente. La présence du virus est souvent 40 fois plus marquée
dans des individus sains et VIH-positif que dans des cas de SIDA,
où, souvent, on ne le trouve pas du tout. Le virus n'est pas détectable dans les lésions
du sarcome de Kaposi. Le virus n'est pas détectable dans le cerveau dans des
cas de démence. Afin d'isoler le virus du sang d'une victime du SIDA, il faut
travailler avec un minimum de 5 millions (5,000,000) leucocytes,
et souvent, il faut s'y reprendre à 15 fois. L'incidence de SIDA est 33% moins élevée chez
les travailleurs de la santé publique, qui s'occupe des
cas de SIDA, que chez le grand public. Chose incroyable, ceux qui soutiennent l'hypothèse virale
du SIDA déclarent - sans apporter aucune preuve - que le
fait que le VIH n'obéisse pas aux Postulats de Koch constitue
une preuve que ce critère centenaire de preuve étiologique
est faux! Le test VIH mesure la présence des anticorps, pas le
virus lui-même. Le SIDA est donc la première maladie dans l'histoire
de la médecine où l'immunité indique que
le malade va mourir de sa maladie! Bien sûr, il existe des
virus latents qui peuvent, dans certaines conditions débilitantes,
répliquer en nombre suffisant pour causer une infection
clinique et même la mort. Cela ne s'est jamais encore produit
avec le VIH - c'est une hypothèse qui a été
posé comme un fait sans aucune preuve. Les Centers for Disease Control (CDC) aux Etats-Unis ne publient
jamais l'incidence du VIH dans leur rapport HIV / AIDS Surveillance
Report. S'ils le font, la fraude éclatera au grand jour. Le VIH ne correspond avec le SIDA qu'à 50%. Le cytomegalovirus
lui correspond à 100%, comme le font les drogues et le
virus Epstein-Barr. Il existe aussi des corrélations beaucoup plus élevées avec l'Hépatite A, l'Hépatite B, HSV, le nombre des transfusions sanguines reçues par le malade, la malnutrition et la famine.
LES INCOHERENCES ABONDENT Depuis que le VIH a pris le devant de la scène, l'espérance
de vie moyenne des hémophiles a augmenté de 5 ans! Les risques du SIDA chez les séropositifs non-hémophiles
sont deux fois plus grands que chez les séropositifs hémophiles. L'incidence du SIDA chez les épouses ou partenaires
des hémophiles séropositifs est 1/5 du nombre prédit
par l'hypothèse du SIDA. L'incidence du SIDA chez les enfants hémophiles s'est
multipliée par trois - deux ans après que le virus
a été enlevé des transfusions. Selon les statistiques officielles, les cas de SIDA n'avait
pas augmenté en 7 ans - jusqu'à ce que 5 nouvelles
maladies aient été ajoutées à la définition
clinique du SIDA. (1985 - 1992) On nous prévient sans arrêt de l'imminence d'une
épidémie catastrophique. Mais il existe des preuves
que le VIH existe depuis au moins 50 ans, et probablement depuis
des millénaires. Le VIH chez les prostituées qui ne prennent pas de drogues
est pratiquement inexistant. Le nombre de MST et des grossesses refusées a augmenté
au cours des 8 - 10 ans derniers - mais pas l'incidence du VIH. Seulement un provirus (et non pas le virus lui-même)
a été trouvé parmi un million de cellules
chez 1 séropositif masculin sur 25. Les statistiques indiquent que si vous voulez être "contaminé
par le SIDA" par un homme séropositif, vous aurez
besoin d'abord de prendre des drogues pendant longtemps. Aux U.S.A. et en Afrique, il existe des preuves solides qu'il
n'y a pas de différence concernant l'incidence des maladies
du SIDA entre les bébés séronégatifs
et séropositifs. Si le SIDA était sexuellement transmissible, la transmission
périnatale en ferait une maladie pédiatrique - la
période d'incubation est censée être de deux
ans. Le SIDA n'est pas une maladie pédiatrique. Un rapport publié par le U.S. Job Corps et l'Armée
des Etats-Unis, basé sur des millions de tests, indique
que, dans la tranche d'age de 17 à 24 ans, le VIH était
distribué de façon égale entre les hommes
et les femmes. Mais le rapport du CDC aux Etats-Unis indique que,
pour cette même tranche d'age, les cas de SIDA sont à
85% masculin. Il existe une proportionnalité entre le VIH et le SIDA
seulement s'il y a aussi la malnutrition, les transfusions ou
l'usage des drogues - y compris l'AZT. Sinon, le fait d'être
séropositif ne veut rien dire. 0% des hétérosexuels masculins et féminins
préfèrent les rapports sexuels anaux. L'incidence
du VIH et du SIDA chez ces femmes est la même que chez les
femmes préférant les rapports vaginaux. Mais l'incidence
du SIDA est à 90% masculin. Le virus du SIDA a été révélé
dans des échantillons de sang datant d'il y a 50 ans, au
même moment que Masters et Johnson ont confirmé une
incidence élevée des rapports anaux chez les hétérosexuels. Les statistiques démontrent qu'en Afrique, il faut en
moyenne 10,000 rapports sexuels afin de transmettre le SIDA, comparé
à 1,000 rapports en Europe et aux Etats-Unis. Ca se chiffre
à 20 fois par semaine! In vivo, le VIH est rare et neutralisé par des anticorps
(séropositif) - et donc inoffensif. In vitro, il peut être
infectieux parce qu'il n'y a pas d'anticorps. L'incidence du SIDA chez les travailleurs en laboratoire est
la même que chez la population générale, malgré
le fait qu'ils sont exposés beaucoup plus. Plus que douze cofacteurs sont considérés nécessaires
afin de créer un SIDA. Souvent (80% du temps), le VIH n'est
même pas présent, et quand il l'est, il est toujours
dormant. Les différentes maladies du SIDA sont supposées
être le résultat d'une déficience immunitaire
ou de l'auto-immunité provoquée par le VIH. Cependant,
quatre des maladies principales - le sarcome de Kaposi, le lymphome,
la démence et le dépérissement - ne sont
pas causé par une déficience immunitaire. En 1990, Hoffmann a pris la défense de sa théorie
concernant l'auto-immunité en disant que "tous les
paradoxes de Duesberg" pourraient être éclaircis
par sa "modèle" (de Hoffmann). (Voilà
un scientifique astucieux - on va rejeter la responsabilité
sur Duesberg plutôt que sur l'hypothèse VIH / SIDA.) Pourtant, la théorie auto-immune de Hoffmann n'explique
pas - * le sarcome de Kaposi, le lymphome, la démence et le
dépérissement * les maladies présentant un rapport avec des comportements
spécifiques ("poppers" + Kaposi) * les variations incroyables des types de maladies entre les
groupes séropositifs * le biais en faveur des mâles * le pourcentage des séropositifs (80% aux U.S.A. et
98% en Afrique) qui n'ont pas développe le SIDA depuis
1984. Un groupe de scientifiques particulièrement brillant
a même avancé une théorie (jamais démontrée)
que le corps pourrait former les anticorps contre les anticorps
VIH. Si l'on accepte leur théorie, tous les virus devraient
provoquer le SIDA. Le Professeur Gallo, qui semble avoir oublié son vol
du virus de Montaigner, (pour lequel il a été déclaré
coupable de "malfaisance scientifique" par ses pairs),
prétend avoir vu le VIH en train de tuer des cellules-T
primaires. Cependant, la même année 1984, Montaigner,
son "co-découvreur", a publié une étude
qui déclarait exactement le contraire. Le même Gallo - sans aucune preuve, et en contradiction
directe des 20 ans de connaissances recueillies par l'étude
intensive, coûteuse ($20 milliards), et conclusive menée
pendant la fameuse "Guerre du Cancer" du Président
Nixon - prétend que le rétrovirus VIH tue la cellule-hôte
dont il dépend pour se reproduire. La conversion de l'ARN
en ADN requiert la mitose de la cellule perdue, non pas sa mort! La raison même pour l'investigation des rétrovirus
comme cause possible du cancer était leur réplication
non-cytocidale. Gallo a patenté une technique pour assurer la reproduction
constante en culture des cellules-T, et suppose que la lignée
des cellules-T a développé une résistance
au VIH. Cependant, la même chose est vraie pour toutes les
lignées de cellules-T. On dit que 50% des séropositifs vont mourir sur une
période de 10 ans. En Afrique, seulement 0.3% meurt tous
les ans, ce qui veut dire qu'il faudra attendre 150 ans pour la
mort des 50%! Dans la première décennie du SIDA,
les prédictions de la mortalité ont été
surestimées de 300%. Après quatre années d'étude intensive
sur place, des investigateurs en Tanzanie - (Philippe et Evelyne
Krynen, directeurs de la mission Partage / article de Neville
Hodgkinson dans le Sunday Times 3 octobre 1993) - ont déclaré
qu'il n'y a pas d'épidémie du SIDA. Le Taux de Conversion Annuel du l'état séropositif
au SIDA est annoncé tous les ans par le World Health Organisation.
Ces chiffres indiquent que si vous êtes séropositif,
vous aurez 300 fois plus de chances de survivre sui vous habitez
le Zaïre plutôt que l'Europe ou les Etats-Unis! Aucune les déclarations concernant la pathogénicité
par mutation du VIH n'ont jamais été démontrées
et sont contraires à tous les faits reconnus. Le VIH est censé posséder des gènes uniques
et des toxines qui détruisent les tissus nerveux. Encore
une fois, tout ça n'a jamais été ni substantivé
ni démontré. L'information ARN, la structure et
la fonction du VIH ne le distinguent pas d'autres rétrovirus. On se sert du VIS (Virus Immunodéfience Simien) - censé
provoquer des maladies "similaires au SIDA" dans le
macaque - pour étayer l'Hypothèse VIH / SIDA. * n'a que 40% de ressemblance avec le VIH * cause la maladie 15 plus efficacement en 1/10 du temps * ne stimule pas les anticorps antiviraux * ne diminue pas la quantité de cellules-T * provoque une gamme de maladies totalement différente * et n'agit que sur des macaques de laboratoire, et non pas
dans les espèces sauvages. Voilà pour l'analogie. LES VRAIES CAUSES DU SIDA La première édition du Merck Manual (1952) a
dressé la liste des causes de la déficience immunitaire
acquise dans l'ordre suivante - malnutrition, drogues, radiation... L'incidence du SIDA en Afrique - complètement différente
des quelques 25 maladies en Europe et aux Etats-Unis - est caractérisée
par la diarrhée, la fièvre, et le dépérissement,
ce qui correspond pratiquement à 100% avec la malnutrition,
la famine et les maladies parasitaires. L'incidence de l'usage des drogues - à savoir des drogues
illégales de toutes sortes (prises par voie orale ou intraveineuse),
l'amyl nitrite (poppers) et d'autres drogues médicales
immunosuppresseurs, particulièrement le AZT, correspond
pratiquement à 100% au développement du SIDA en
Europe et aux Etats Unis! Ces facteurs ont été démontrés
suffisants pour causer les maladies du SIDA. Le VIH, parfois présent,
n'est qu'un badaud innocent qui n'a pas encore été
prouvé responsable de quoi que ce soit. Des recherches par un groupe de scientifiques respectés
de l'Australie ont démontré que le test VIH est
scientifiquement invalide. Ils ont trouvé que des facteurs
tels la malnutrition, les infections multiples, la malaria, la
sclérose en plaques, la tuberculose, la "grippe"
et la rougeole peuvent donner des résultats positifs. En
Russie, un premier test pas Elisa a donné 30,000 résultats
positifs. Mais seulement 66 ont été confirmés
par le Western Blot. Imaginez le carnage médical - des individus, ayant eu
un jour la rougeole ou la grippe, sont diagnostiqués comme
contaminés par un virus qui n'a jamais été
démontré de provoquer quelque maladie que ce soit,
et sont mis sous un régime de médication qui va
les tuer! L'incidence du SIDA chez les hémophiles chute de façon
dramatique si les contaminants protéines dans le Facteur
VIII rajouté sont purifiés par trois fois. De rares cas du SIDA survenus en dehors des groupes à
risques ont été les sujets de couvertures sensationnelles
dans les médias du monde. On prétend que la cause
des morts a été le SIDA dû à une infection
VIH, mais à regarder de plus près, l'on voit une
histoire différente - - L'hémophile Ryan White, 18 ans, est mort d'hémorragie
interne. Il a été traité de façon
intensive avec le AZT, qui cause le SIDA (comme en témoigne
la notice dans la boîte de médicaments). - Paul Gann, 77 ans, est mort en 1989. Il avait reçu,
en 1982, une transfusion sanguine qui a été désignée
comme la cause de sa mort, mais on n'a jamais démontré
que le sang était contaminé par le VIH. Gann a subi
un "by-pass" du coeur à 5 vaisseaux en 1982,
un autre "by-pass" en 1983, et en 1989, a été
hospitalisé avec une fracture de la hanche, a développé
une pneumonie et est mort. Combien de fois ce genre de situation
s'est-il produite dans le cabinet de pratiquement tous les médecins
généralistes avant le SIDA? Il n'empêche que
sa mort ait été attribuée au SIDA. Kimberly Bergalis, qui est censée avoir été
contaminée par le SIDA par son dentiste pendant l'extraction
d'une dent (la transmission n'a jamais été établie)
a été testée après que le dentiste
s'est déclaré homosexuel. On a donné du AZT
à Kimberly. Le taux de séropositifs parmi les patients
du dentiste était 0.4%, le même que chez tous les
Américains! Le nombre de morts des mâles américains entre
25 et 44 ans a augmenté de 10,000 pendant les années
1980. On suppose que ces morts sont dues au SIDA. Mais pendant
le même période le nombre de morts dues à
l'usage des drogues intraveineuses a augmenté de 400%.
60% des patients du SIDA américain sont des homosexuels
mâles. Une étude de 170 personnes de ce groupe a produit les
résultats suivants concernant l'usage de drogues, souvent
dans des combinaisons multiples - Inhalations nitrite 96% Inhalations ethly chloride 42% Acide lysergique 50% Cocaïne 55% Amphétamines 60% Phénylcyclidine 40% Methaqualone 50% Marijuana 90% Barbiturates 25% Héroïne 10% Drogues médicales 50% Beaucoup d'autres études concernant des milliers de
personnes ont confirmé ces chiffres. Quand le amyl nitrite ("poppers") a été
déclaré illégale au Massachusetts, l'incidence
de sarcome de Kaposi a chuté par 7 fois (une différence
de 700%). Partout où des études ont été
faites, l'incidence de la maladie se présente en parallèle
avec l'usage de la drogue. La même chose est vraie pour
d'autres maladies du SIDA. L'incidence de maladies multiples demandant l'usage fréquente
d'antibiotiques se présente comme ceci - Gonnorhée 80% Hépatite B 50% Syphilis 55% Mononucléose 15% Diarrhée parasitaire 30% AZT, UNE DES CAUSES DU SIDA Le AZT est toxique pour les cellules, sa fonction est de terminer
la synthèse de l'ADN. Les résultats d'un laboratoire
indépendant démontrent que le AZT est mille fois
plus toxique que ne le dise les études du National Institute
of Health et du fabricant, Burroughs-Wellcome. 180,000 séropositifs à travers le monde prennent
aujourd'hui du AZT. La notice dans la boîte déclare
très clairement que le AZT provoque la déficience
immunitaire. Les études indiquent que le AZT n'a pas d'incidence
sur la chute des cellules CD-4+. Des tests (animaux et humains) indiquent que la prise du AZT
provoque des diminutions sévères (et potentiellement
fatales) dans la production des cellules rouges et blanches, l'atrophie
musculaire, le polymyosite, les lymphomes, l'hépatite,
la démence, les manies, l'ataxie, l'encéphalopathie,
les crises épileptiques et l'impotence. Dans des tests
faits sur les souris, il s'est révélé carcinogène. Bien que ce soit établi que les maladies dues à
l'usage de drogues sont relatives aux doses, ce fait a été
largement ignoré dans la recherche épidémiologique. La seule étude contrôlée (aux U.S.A.) du
AZT (Fischl et al., 1987) a été discontinuée
après 4 mois, apparemment parce que les effets bénéfiques
étaient évidents. Cette étude est un exemple
frappant de corruption médicale. Le groupe AZT a reçu 6 transfusions / 1 dans le groupe
Contrôle. Les deux groupes n'étaient pas comparables. D'autres "médicaments concomitants" ont été
prescrits. Il y a eu partage de drogues entre les membres des deux groupes. Le groupe AZT a présenté 5 effets secondaires,
et le groupe Contrôle, 31. Ce ne pourra se produire qui
si le code est rompu, rendant ainsi l'étude caduque. Le
code a été rompu la première semaine. Le résultat finale de l'étude, ainsi que d'autres
faites depuis, démontre que le AZT multiplie le risque
de maladie par trois fois. La prise de AZT ajoute de nouveaux
risques sérieux et fatals, y compris des anémies
graves demandant transfusions, des leukoponies, et la mort (20%
après 9 mois sous AZT). Les études démontrent de façon incontournable
que le AZT accélère la progression vers la mort,
augmente l'incidence du lymphome par 3,000%, et ne prolonge pas
l'espérance de vie. Plusieurs études ont révélé la
récupération de l'immunité cellulaire et
une amélioration générale de l'état
une fois la prise du AZT a été arrêtée. MALGRE LA CONNAISSANCE DE CES FAITS, LE FEDERAL DRUG ADMINISTRATION N'A PAS CESSE L'USAGE DU AZT On dit que le virus du SIDA est mystérieux, étrange,
intelligent, extraordinaire, imprévisible et inconstant.
Comparé à l'inconstance de l'hypothèse VIH
/ SIDA, l'hypothèse Drogue / SIDA prédit de façon
précise l'incidence de maladies spécifiques aux
drogues. Les maladies du SIDA se produisent dans des individus
séronégatifs, mais sont simplement appelées
par leurs vieux noms, et non pas par le nom SIDA. Les médecins ont été malmenés par
des chercheurs et des politiciens égocentriques pseudo-scientifiques
qui profèrent des hypothèses comme des vérités
et présentent des demi-vérités qui portent
des conclusions erronées. Par conséquent, d'autres
scientifiques continuent la recherche - inutile et coûteuse
- pour des "requins dans le désert". Et pendant
ce temps, des centaines de milliers, et bientôt des millions
de gens, continuent de mourir d'une manque de connaissance des
vraies causes du SIDA - et de la mort iatrogènique dû
à l'AZT. Il serait temps que les médecins ôtent le masque
d'"artiste de la médecine" qui les protège
de la critique, et montrent avec courage leurs visages de vrais
scientifiques. Nous devons demander la révision immédiate
de l'hypothèse VIH / SIDA - pour le bien de nos patients,
et en raison de notre obligation sacrée "Avant toute
chose, ne pas faire du mal". Robert E. Willner, M.D., Ph.D., Avril 1994
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