Un appel pour la vérité.

(Concernant l'hypothèse virale du SIDA)
Robert E. Willner M.D., Ph.D.

 

L'histoire de la médecine foisonne d'instances où des physiciens ont agi - tragiquement -sous la pression d'un "consensus d'opinion" plutôt qu'appuyé par des preuves scientifiques substantielles. De telles pratiques trouvent leurs origines dans l'idée - âprement défendue - que la médecine est un art et non pas une science. Depuis quelques décennies, des avancées technologiques nous ont permis de nous affranchir de cet "age sombre" de la diagnostique et des doctrines thérapeutiques souvent basées sur des préjudices personnels et la "politique médicale".

Au début des années 1980, nous avons pris connaissance d'un phénomène qui ressemblait à une épidémie naissante, connu maintenant partout par le nom SIDA. Comme tous mes collègues, j'ai suivi avec passion les dépêches publiées par les services d'hygiène sur l'évolution de cette maladie et les explications complexes concernant le comportement de ce nouveau retrovirus nommé le VIH. Malgré une ignorance relative au sujet des retrovirus, j'ai commencé à flairer quelques incohérences quand certains rétrovirologistes - les mêmes qui, pendant une vingtaine d'années, avaient dépensé plus de vingt milliards de dollars à l'étude des virus - commençaient à se perdre dans des apologies longues et complexes concernant le VIH. Ils parlaient d'un virus "mystérieux" et "intelligent", avançant un nombre sans cesse croissant d'explications hypothétiques cherchant à clarifier les contradictions implicites dans l'originelle HYPOTHESE VIRALE du SIDA.

Si je souligne ce mot "hypothèse", c'est pour rappeler à mes collègues que le prétendu "virus du SIDA" n'a jamais été scientifiquement prouvé capable de créer quelque maladie que ce soit, sans parler du SIDA. Aucune des déclarations prétendues scientifiques ne s'appuie sur des preuves établies au laboratoire - elles demeurent toutes de la pure supposition.

Permettez-moi de parler au nom de certains de nos plus éminents collègues dans le domaine de la recherche sur le SIDA:

le Dr. Peter Duesberg, Professeur de Biologie Moléculaire, Université de Californie à Berkeley - le premier rétrovirologiste du monde;

le Dr. Charles A. Thomas, Professeur de Microbiologie, Harvard;

le Dr. Kary Mullis, candidat au Prix Nobel par six fois, Lauréat Nobel de 1993, découvreur du Polymerase Chain Reaction.

J'ai nommé trois parmi les centaines de scientifiques éminents qui se sont réunis pour former "The Group for the Re-evaluation of the AIDS Hypothesis". J'ai passé cinq ans à étudier autant que possible de dépêches scientifiques et d'autres papiers afin de comprendre pleinement l'énigme du SIDA. Tout ce que j'ai pu lire et vérifier a confirmé les soupçons qui sont nés de la contradiction flagrante entre l'hypothèse" et l'expérience pratique dans le traitement des malades du SIDA. Le SIDA n'est pas une énigme - depuis maintenant plus de cinquante ans, nos textes médicaux définissent clairement les causes d'une déficience immunitaire acquise. Ce qui semblait être une épidémie naissante dans la communauté homosexuelle est arrivée par la coïncidence de trois phénomènes - l'éclosion de la "drug culture" des années 60, l'utilisation des "poppers" (amyl nitrite), et la visibilité des "gays" à l'époque où ils se "déclaraient". Si nous ajoutons à cela deux autres facteurs (évidents) - la famine en Afrique (la malnutrition est connue de longue date comme la cause principale de la déficience immunitaire) et l'utilisation de l'AZT - l'énigme du SIDA devient alors très clair. Du coup, le "mystérieux" et "intelligent" virus redevient ce qu'il est en réalité - un morceau de matière sans intérêt, banal et sans vie.

Je ne vous présente ici qu'une petite fraction des faits qui réclament investigation et réévaluation immédiate. Ce que j'appelle "La Déception Mortelle - l'Hypothèse Virale du SIDA."

POURQUOI LE VIH NE PEUT PROVOQUER LE SIDA

Aucune des explications proposées - il en existe plus que quarante - pour le modus operandi du VIH, de même que l'hypothèse virale du SIDA elle-même, n'est basée sur des données ni des preuves scientifiquement acceptables. Les données des laboratoires plaident plutôt contre l'hypothèse. Les données qui restent sont épidémiologiques, et même là, quand les faits sont présentés honnêtement et sans censure préalable, prouvent que le VIH est innocent de toute implication dans le SIDA.

EPIDEMIOLOGIE

On nous demande de croire qu'un seul virus est la cause de deux formes de maladies différentes - celles dues à la destruction des cellules, comme la pneumonie Pneumocystis, et celles dues à la prolifération des cellules, comme le sarcome de Kaposi! Pire, on nous demande de croire qu'un seul virus peut créer non seulement deux complexes de maladie différente, mais peut aussi sévir selon la distribution géographique, la préférence sexuelle et le sexe.

En Afrique, le SIDA se compose à presque 100% de fièvre, de diarrhée et d'amaigrissement. Aux Etats Unis et en Europe, le SIDA se compose d'entre 25 et 35 maladies distinctes, selon le mode de classification.

Il n'existe pas de différence génétique uniforme et signifiante entre le VIH isolé et les mutations trouvées aux U.S.A., en Europe et en Afrique, qui soient capable de rendre compte des grandes incohérences dans l'occurrence de maladie.

L'incidence du VIH en Afrique diffère d'un pays à l'autre, et ne se conjugue qu'avec la malnutrition et la famine. Ailleurs, il se conjugue avec la drogue, le sexe masculin, et les préférences sexuelles, et il traverse toutes les frontières.

En Europe et aux Etats Unis, entre 86% et 90% des malades sont masculin. En Afrique, le SIDA affecte les deux sexes de façon égale.

L'épidémie annoncée ne s'est jamais produite. Pendant les dix dernières années (depuis 1984), 204,000 individus ont contracté le SIDA aux Etats Unis, alors que l'on annonçait 602,000. En Afrique, 129,000 personnes ont contracté le SIDA, alors que l'on annonçait 3,060,000. Si l'on rajustait ces chiffres pour inclure l'incidence normale de toutes les maladies provoquant la déficience immunitaire acquise, plus la famine et l'utilisation des drogues (y compris le AZT), il n'en restera plus pour attribuer au VIH.

L'épidémie imminente annoncée pour la Thaïlande n'a produit que 123 cas de SIDA en 8 ans.

Des rats de laboratoire traités avec des antibiotiques et de la cortisone - tous les deux des immunosuppresseurs - ont développé la pneumonie Pneumocystis, une des maladies les plus répandues du SIDA.

Aux Etats Unis et en Europe, un tiers des cas de SIDA concerne des maladies qui ne sont pas vraiment immunodéficientes, telles le sarcome de Kaposi, le lymphome, le dépérissement et la démence.

83% des bébés né avec le SIDA aux Etats Unis sont des "crack babies" (nés des mères addictes) ou alors sont hémophiles (maladie congénitale).

En Afrique, le virus n'a aucune ou très peu d'affinité pour des groupes à comportement à risques, que ce soit de comportements sexuels ou autres.

Malgré la présence partout en Afrique de la Pneumocystis et la Candida, ces maladies ne se présentent pas dans les cas de SIDA Africains.

50% des cas de SIDA aux Etats Unis sont diagnostiqué par supposition - sans test positif.

Le SIDA se présente principalement dans la tranche d'age de 20 à 45 ans - la tranche où la santé est la plus vigoureuse, comme en témoigne le recrutement militaire.

Le virus préfère les hommes, mais les maladies ne sont pas spécifiques aux hommes.

LE VIRUS NOMME VIH

Le VIH n'a jamais été présent dans des cas de SIDA en quantité suffisante pour provoquer la maladie, et pourtant, il est censé tuer sa victime. Seulement 1 virus pour 100,000 lymphocytes peuvent être détecté dans des cas de SIDA, même quand la mort est imminente.

La présence du virus est souvent 40 fois plus marquée dans des individus sains et VIH-positif que dans des cas de SIDA, où, souvent, on ne le trouve pas du tout.

Le virus n'est pas détectable dans les lésions du sarcome de Kaposi.

Le virus n'est pas détectable dans le cerveau dans des cas de démence.

Afin d'isoler le virus du sang d'une victime du SIDA, il faut travailler avec un minimum de 5 millions (5,000,000) leucocytes, et souvent, il faut s'y reprendre à 15 fois.

L'incidence de SIDA est 33% moins élevée chez les travailleurs de la santé publique, qui s'occupe des cas de SIDA, que chez le grand public.

Chose incroyable, ceux qui soutiennent l'hypothèse virale du SIDA déclarent - sans apporter aucune preuve - que le fait que le VIH n'obéisse pas aux Postulats de Koch constitue une preuve que ce critère centenaire de preuve étiologique est faux!

Le test VIH mesure la présence des anticorps, pas le virus lui-même.

Le SIDA est donc la première maladie dans l'histoire de la médecine où l'immunité indique que le malade va mourir de sa maladie! Bien sûr, il existe des virus latents qui peuvent, dans certaines conditions débilitantes, répliquer en nombre suffisant pour causer une infection clinique et même la mort. Cela ne s'est jamais encore produit avec le VIH - c'est une hypothèse qui a été posé comme un fait sans aucune preuve.

Les Centers for Disease Control (CDC) aux Etats-Unis ne publient jamais l'incidence du VIH dans leur rapport HIV / AIDS Surveillance Report. S'ils le font, la fraude éclatera au grand jour.

Le VIH ne correspond avec le SIDA qu'à 50%. Le cytomegalovirus lui correspond à 100%, comme le font les drogues et le virus Epstein-Barr.

Il existe aussi des corrélations beaucoup plus élevées avec l'Hépatite A, l'Hépatite B, HSV, le nombre des transfusions sanguines reçues par le malade, la malnutrition et la famine.

 

LES INCOHERENCES ABONDENT

Depuis que le VIH a pris le devant de la scène, l'espérance de vie moyenne des hémophiles a augmenté de 5 ans!

Les risques du SIDA chez les séropositifs non-hémophiles sont deux fois plus grands que chez les séropositifs hémophiles.

L'incidence du SIDA chez les épouses ou partenaires des hémophiles séropositifs est 1/5 du nombre prédit par l'hypothèse du SIDA.

L'incidence du SIDA chez les enfants hémophiles s'est multipliée par trois - deux ans après que le virus a été enlevé des transfusions.

Selon les statistiques officielles, les cas de SIDA n'avait pas augmenté en 7 ans - jusqu'à ce que 5 nouvelles maladies aient été ajoutées à la définition clinique du SIDA. (1985 - 1992)

On nous prévient sans arrêt de l'imminence d'une épidémie catastrophique. Mais il existe des preuves que le VIH existe depuis au moins 50 ans, et probablement depuis des millénaires.

Le VIH chez les prostituées qui ne prennent pas de drogues est pratiquement inexistant.

Le nombre de MST et des grossesses refusées a augmenté au cours des 8 - 10 ans derniers - mais pas l'incidence du VIH.

Seulement un provirus (et non pas le virus lui-même) a été trouvé parmi un million de cellules chez 1 séropositif masculin sur 25.

Les statistiques indiquent que si vous voulez être "contaminé par le SIDA" par un homme séropositif, vous aurez besoin d'abord de prendre des drogues pendant longtemps.

Aux U.S.A. et en Afrique, il existe des preuves solides qu'il n'y a pas de différence concernant l'incidence des maladies du SIDA entre les bébés séronégatifs et séropositifs.

Si le SIDA était sexuellement transmissible, la transmission périnatale en ferait une maladie pédiatrique - la période d'incubation est censée être de deux ans. Le SIDA n'est pas une maladie pédiatrique.

Un rapport publié par le U.S. Job Corps et l'Armée des Etats-Unis, basé sur des millions de tests, indique que, dans la tranche d'age de 17 à 24 ans, le VIH était distribué de façon égale entre les hommes et les femmes. Mais le rapport du CDC aux Etats-Unis indique que, pour cette même tranche d'age, les cas de SIDA sont à 85% masculin.

Il existe une proportionnalité entre le VIH et le SIDA seulement s'il y a aussi la malnutrition, les transfusions ou l'usage des drogues - y compris l'AZT. Sinon, le fait d'être séropositif ne veut rien dire.

0% des hétérosexuels masculins et féminins préfèrent les rapports sexuels anaux. L'incidence du VIH et du SIDA chez ces femmes est la même que chez les femmes préférant les rapports vaginaux. Mais l'incidence du SIDA est à 90% masculin.

Le virus du SIDA a été révélé dans des échantillons de sang datant d'il y a 50 ans, au même moment que Masters et Johnson ont confirmé une incidence élevée des rapports anaux chez les hétérosexuels.

Les statistiques démontrent qu'en Afrique, il faut en moyenne 10,000 rapports sexuels afin de transmettre le SIDA, comparé à 1,000 rapports en Europe et aux Etats-Unis. Ca se chiffre à 20 fois par semaine!

In vivo, le VIH est rare et neutralisé par des anticorps (séropositif) - et donc inoffensif. In vitro, il peut être infectieux parce qu'il n'y a pas d'anticorps.

L'incidence du SIDA chez les travailleurs en laboratoire est la même que chez la population générale, malgré le fait qu'ils sont exposés beaucoup plus.

Plus que douze cofacteurs sont considérés nécessaires afin de créer un SIDA. Souvent (80% du temps), le VIH n'est même pas présent, et quand il l'est, il est toujours dormant.

Les différentes maladies du SIDA sont supposées être le résultat d'une déficience immunitaire ou de l'auto-immunité provoquée par le VIH. Cependant, quatre des maladies principales - le sarcome de Kaposi, le lymphome, la démence et le dépérissement - ne sont pas causé par une déficience immunitaire.

En 1990, Hoffmann a pris la défense de sa théorie concernant l'auto-immunité en disant que "tous les paradoxes de Duesberg" pourraient être éclaircis par sa "modèle" (de Hoffmann). (Voilà un scientifique astucieux - on va rejeter la responsabilité sur Duesberg plutôt que sur l'hypothèse VIH / SIDA.)

Pourtant, la théorie auto-immune de Hoffmann n'explique pas -

* le sarcome de Kaposi, le lymphome, la démence et le dépérissement

* les maladies présentant un rapport avec des comportements spécifiques ("poppers" + Kaposi)

* les variations incroyables des types de maladies entre les groupes séropositifs

* le biais en faveur des mâles

* le pourcentage des séropositifs (80% aux U.S.A. et 98% en Afrique) qui n'ont pas développe le SIDA depuis 1984.

Un groupe de scientifiques particulièrement brillant a même avancé une théorie (jamais démontrée) que le corps pourrait former les anticorps contre les anticorps VIH. Si l'on accepte leur théorie, tous les virus devraient provoquer le SIDA.

Le Professeur Gallo, qui semble avoir oublié son vol du virus de Montaigner, (pour lequel il a été déclaré coupable de "malfaisance scientifique" par ses pairs), prétend avoir vu le VIH en train de tuer des cellules-T primaires. Cependant, la même année 1984, Montaigner, son "co-découvreur", a publié une étude qui déclarait exactement le contraire.

Le même Gallo - sans aucune preuve, et en contradiction directe des 20 ans de connaissances recueillies par l'étude intensive, coûteuse ($20 milliards), et conclusive menée pendant la fameuse "Guerre du Cancer" du Président Nixon - prétend que le rétrovirus VIH tue la cellule-hôte dont il dépend pour se reproduire. La conversion de l'ARN en ADN requiert la mitose de la cellule perdue, non pas sa mort!

La raison même pour l'investigation des rétrovirus comme cause possible du cancer était leur réplication non-cytocidale.

Gallo a patenté une technique pour assurer la reproduction constante en culture des cellules-T, et suppose que la lignée des cellules-T a développé une résistance au VIH. Cependant, la même chose est vraie pour toutes les lignées de cellules-T.

On dit que 50% des séropositifs vont mourir sur une période de 10 ans. En Afrique, seulement 0.3% meurt tous les ans, ce qui veut dire qu'il faudra attendre 150 ans pour la mort des 50%! Dans la première décennie du SIDA, les prédictions de la mortalité ont été surestimées de 300%.

Après quatre années d'étude intensive sur place, des investigateurs en Tanzanie - (Philippe et Evelyne Krynen, directeurs de la mission Partage / article de Neville Hodgkinson dans le Sunday Times 3 octobre 1993) - ont déclaré qu'il n'y a pas d'épidémie du SIDA.

Le Taux de Conversion Annuel du l'état séropositif au SIDA est annoncé tous les ans par le World Health Organisation. Ces chiffres indiquent que si vous êtes séropositif, vous aurez 300 fois plus de chances de survivre sui vous habitez le Zaïre plutôt que l'Europe ou les Etats-Unis!

Aucune les déclarations concernant la pathogénicité par mutation du VIH n'ont jamais été démontrées et sont contraires à tous les faits reconnus.

Le VIH est censé posséder des gènes uniques et des toxines qui détruisent les tissus nerveux. Encore une fois, tout ça n'a jamais été ni substantivé ni démontré. L'information ARN, la structure et la fonction du VIH ne le distinguent pas d'autres rétrovirus.

On se sert du VIS (Virus Immunodéfience Simien) - censé provoquer des maladies "similaires au SIDA" dans le macaque - pour étayer l'Hypothèse VIH / SIDA.
Mais le VIS -

* n'a que 40% de ressemblance avec le VIH

* cause la maladie 15 plus efficacement en 1/10 du temps

* ne stimule pas les anticorps antiviraux

* ne diminue pas la quantité de cellules-T

* provoque une gamme de maladies totalement différente

* et n'agit que sur des macaques de laboratoire, et non pas dans les espèces sauvages.

Voilà pour l'analogie.

LES VRAIES CAUSES DU SIDA

La première édition du Merck Manual (1952) a dressé la liste des causes de la déficience immunitaire acquise dans l'ordre suivante - malnutrition, drogues, radiation...

L'incidence du SIDA en Afrique - complètement différente des quelques 25 maladies en Europe et aux Etats-Unis - est caractérisée par la diarrhée, la fièvre, et le dépérissement, ce qui correspond pratiquement à 100% avec la malnutrition, la famine et les maladies parasitaires.

L'incidence de l'usage des drogues - à savoir des drogues illégales de toutes sortes (prises par voie orale ou intraveineuse), l'amyl nitrite (poppers) et d'autres drogues médicales immunosuppresseurs, particulièrement le AZT, correspond pratiquement à 100% au développement du SIDA en Europe et aux Etats Unis! Ces facteurs ont été démontrés suffisants pour causer les maladies du SIDA. Le VIH, parfois présent, n'est qu'un badaud innocent qui n'a pas encore été prouvé responsable de quoi que ce soit.

Des recherches par un groupe de scientifiques respectés de l'Australie ont démontré que le test VIH est scientifiquement invalide. Ils ont trouvé que des facteurs tels la malnutrition, les infections multiples, la malaria, la sclérose en plaques, la tuberculose, la "grippe" et la rougeole peuvent donner des résultats positifs. En Russie, un premier test pas Elisa a donné 30,000 résultats positifs. Mais seulement 66 ont été confirmés par le Western Blot.

Imaginez le carnage médical - des individus, ayant eu un jour la rougeole ou la grippe, sont diagnostiqués comme contaminés par un virus qui n'a jamais été démontré de provoquer quelque maladie que ce soit, et sont mis sous un régime de médication qui va les tuer!

L'incidence du SIDA chez les hémophiles chute de façon dramatique si les contaminants protéines dans le Facteur VIII rajouté sont purifiés par trois fois.

De rares cas du SIDA survenus en dehors des groupes à risques ont été les sujets de couvertures sensationnelles dans les médias du monde. On prétend que la cause des morts a été le SIDA dû à une infection VIH, mais à regarder de plus près, l'on voit une histoire différente -

- L'hémophile Ryan White, 18 ans, est mort d'hémorragie interne. Il a été traité de façon intensive avec le AZT, qui cause le SIDA (comme en témoigne la notice dans la boîte de médicaments).

- Paul Gann, 77 ans, est mort en 1989. Il avait reçu, en 1982, une transfusion sanguine qui a été désignée comme la cause de sa mort, mais on n'a jamais démontré que le sang était contaminé par le VIH. Gann a subi un "by-pass" du coeur à 5 vaisseaux en 1982, un autre "by-pass" en 1983, et en 1989, a été hospitalisé avec une fracture de la hanche, a développé une pneumonie et est mort. Combien de fois ce genre de situation s'est-il produite dans le cabinet de pratiquement tous les médecins généralistes avant le SIDA? Il n'empêche que sa mort ait été attribuée au SIDA.

Kimberly Bergalis, qui est censée avoir été contaminée par le SIDA par son dentiste pendant l'extraction d'une dent (la transmission n'a jamais été établie) a été testée après que le dentiste s'est déclaré homosexuel. On a donné du AZT à Kimberly. Le taux de séropositifs parmi les patients du dentiste était 0.4%, le même que chez tous les Américains!

Le nombre de morts des mâles américains entre 25 et 44 ans a augmenté de 10,000 pendant les années 1980. On suppose que ces morts sont dues au SIDA. Mais pendant le même période le nombre de morts dues à l'usage des drogues intraveineuses a augmenté de 400%.

60% des patients du SIDA américain sont des homosexuels mâles.

Une étude de 170 personnes de ce groupe a produit les résultats suivants concernant l'usage de drogues, souvent dans des combinaisons multiples -

Inhalations nitrite 96% Inhalations ethly chloride 42%

Acide lysergique 50% Cocaïne 55%

Amphétamines 60% Phénylcyclidine 40%

Methaqualone 50% Marijuana 90%

Barbiturates 25% Héroïne 10%

Drogues médicales 50%

Beaucoup d'autres études concernant des milliers de personnes ont confirmé ces chiffres.

Quand le amyl nitrite ("poppers") a été déclaré illégale au Massachusetts, l'incidence de sarcome de Kaposi a chuté par 7 fois (une différence de 700%). Partout où des études ont été faites, l'incidence de la maladie se présente en parallèle avec l'usage de la drogue. La même chose est vraie pour d'autres maladies du SIDA.

L'incidence de maladies multiples demandant l'usage fréquente d'antibiotiques se présente comme ceci -

Gonnorhée 80%

Hépatite B 50%

Syphilis 55%

Mononucléose 15%

Diarrhée parasitaire 30%

AZT, UNE DES CAUSES DU SIDA

Le AZT est toxique pour les cellules, sa fonction est de terminer la synthèse de l'ADN. Les résultats d'un laboratoire indépendant démontrent que le AZT est mille fois plus toxique que ne le dise les études du National Institute of Health et du fabricant, Burroughs-Wellcome.

180,000 séropositifs à travers le monde prennent aujourd'hui du AZT. La notice dans la boîte déclare très clairement que le AZT provoque la déficience immunitaire. Les études indiquent que le AZT n'a pas d'incidence sur la chute des cellules CD-4+.

Des tests (animaux et humains) indiquent que la prise du AZT provoque des diminutions sévères (et potentiellement fatales) dans la production des cellules rouges et blanches, l'atrophie musculaire, le polymyosite, les lymphomes, l'hépatite, la démence, les manies, l'ataxie, l'encéphalopathie, les crises épileptiques et l'impotence. Dans des tests faits sur les souris, il s'est révélé carcinogène.

Bien que ce soit établi que les maladies dues à l'usage de drogues sont relatives aux doses, ce fait a été largement ignoré dans la recherche épidémiologique.

La seule étude contrôlée (aux U.S.A.) du AZT (Fischl et al., 1987) a été discontinuée après 4 mois, apparemment parce que les effets bénéfiques étaient évidents. Cette étude est un exemple frappant de corruption médicale.

Le groupe AZT a reçu 6 transfusions / 1 dans le groupe Contrôle.

Les deux groupes n'étaient pas comparables.

D'autres "médicaments concomitants" ont été prescrits.

Il y a eu partage de drogues entre les membres des deux groupes.

Le groupe AZT a présenté 5 effets secondaires, et le groupe Contrôle, 31. Ce ne pourra se produire qui si le code est rompu, rendant ainsi l'étude caduque. Le code a été rompu la première semaine.

Le résultat finale de l'étude, ainsi que d'autres faites depuis, démontre que le AZT multiplie le risque de maladie par trois fois. La prise de AZT ajoute de nouveaux risques sérieux et fatals, y compris des anémies graves demandant transfusions, des leukoponies, et la mort (20% après 9 mois sous AZT).

Les études démontrent de façon incontournable que le AZT accélère la progression vers la mort, augmente l'incidence du lymphome par 3,000%, et ne prolonge pas l'espérance de vie.

Plusieurs études ont révélé la récupération de l'immunité cellulaire et une amélioration générale de l'état une fois la prise du AZT a été arrêtée.

MALGRE LA CONNAISSANCE DE CES FAITS, LE FEDERAL DRUG ADMINISTRATION N'A PAS CESSE L'USAGE DU AZT

On dit que le virus du SIDA est mystérieux, étrange, intelligent, extraordinaire, imprévisible et inconstant. Comparé à l'inconstance de l'hypothèse VIH / SIDA, l'hypothèse Drogue / SIDA prédit de façon précise l'incidence de maladies spécifiques aux drogues. Les maladies du SIDA se produisent dans des individus séronégatifs, mais sont simplement appelées par leurs vieux noms, et non pas par le nom SIDA.

Les médecins ont été malmenés par des chercheurs et des politiciens égocentriques pseudo-scientifiques qui profèrent des hypothèses comme des vérités et présentent des demi-vérités qui portent des conclusions erronées. Par conséquent, d'autres scientifiques continuent la recherche - inutile et coûteuse - pour des "requins dans le désert". Et pendant ce temps, des centaines de milliers, et bientôt des millions de gens, continuent de mourir d'une manque de connaissance des vraies causes du SIDA - et de la mort iatrogènique dû à l'AZT.

Il serait temps que les médecins ôtent le masque d'"artiste de la médecine" qui les protège de la critique, et montrent avec courage leurs visages de vrais scientifiques. Nous devons demander la révision immédiate de l'hypothèse VIH / SIDA - pour le bien de nos patients, et en raison de notre obligation sacrée "Avant toute chose, ne pas faire du mal".

Robert E. Willner, M.D., Ph.D., Avril 1994
Auteur du livre "Deadly Deception"
Peltec Publishing Co. Inc.
4400 North Federal Highway
Suite 210
Boca Raton, FL 33431

Ce livre est disponible ici : L'Escroquerie du sida


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