Pionnier d'un monde sans sida

Mark Griffiths est originaire d'une famille anglaise de la bonne bourgeoisie contre laquelle il entra, dès son adolescence, en rébellion intense. Il devint guitariste de rock'n roll et passa ses nuits dans des caves enfumées à gratter son instrument avec des passionnés de musique. À la fumée des cigarettes s'ajouta vite l'alcool puis les drogues douces et enfin les drogues dures. Après dix ans de polytoxicomanie, Mark était certainement un bon musicien, mais il n'était plus que l'ombre de lui-même. Sa santé avait fait les frais de son mode de vie suicidaire Quand, en plus des divers troubles dont il souffrait, on lui annonça qu'il était séropositif, il réalisa soudain qu'il ne pouvait plus continuer à poursuivre une vie qui menait en droite ligne vers une mort prématurée. Comme il avait entendu parler de mon intérêt pour ceux qui ne prenaient pas le sida pour un arrêt de mort mais comme un tremplin pour apprendre à se guérir, il vint me consulter. Nous eûmes un excellent contact, qui se transforma bientôt en une amitié de longue durée. Mark comprit très facilement qu'il était responsable de ce qui lui arrivait et de la chance qu'il fallait saisir de changer ses habitudes pour faire la découverte des techniques de santé. Je lui expliquai qu'apprendre la santé est comme voler en parapente. La phase où le parapentiste étale sa voile sur le sol correspond à étaler devant soi toutes les informations sur les moyens de santé. Puis il faut passer à l'expérience. Pour le parapentiste, c'est le moment de courir en avant pour tendre ses soupentes et faire gonfler sa voile. Pour l'apprenti en santé, c'est l'expérience vécue d'un jeûne, d'une cure de raisin ou de graines germées, d'un séjour de thalassothérapie, de méditation bouddhiste ou vipassana, bref d'un temps consacré à faire autre chose que tout ce qui nous a rendus malade ! Une fois sa voile bien gonflée, le parapentiste n'a plus d'effort à faire. Il est délicatement soulevé du sol par la corolle de toile fine qui vibre dans l'air au-dessus de lui et qui se laisse guider du bout des doigts par les commandes qu'il tient dans les mains. Cet instant magique où on se laisse porter par sa voile correspond, dans notre image, au moment où l'apprenti-santé sent que son corps répond à ses souhaits et commence son processus de guérison. Il se sent mieux, sa lassitude et ses symptômes disparaissent peu à peu et une énergie paisible et joyeuse se met à couler dans ses veines. Il a de nouveau envie de faire bouger son corps, de danser, de faire du sport, de marcher dans la nature, d'admirer les arbres et les fleurs, de s'intéresser à des idées positives, de renouer avec des activités de création artistique, de s'amuser comme un enfant. Il vole avec un enthousiasme tout neuf dans le ciel d'un bonheur de vivre retrouvé. Il lui reste peut-être encore quelques troubles, mais ils ne le clouent plus au sol du désespoir et de l'impuissance. Les améliorations déjà obtenues lui donnent confiance pour l'avenir. Il sait maintenant qu'il peut s'en sortir et cela lui donne des ailes ! Il n'est plus une victime de la maladie, il sent la force de guérison de son propre corps qui s'est pleinement déployée et le soutien comme le parapente soutient le pIlote. Guidé par son médecin intérieur, il tient les commandes avec légèreté. Le stress est devenu inutile pour lui. La vie le porte et il sait qu'il n'a plus besoin de se battre comme un fou. Il lui suffit de jouer en souplesse avec les vents ascendants pour monter dans le bien-être et se laisser glisser au-dessus des paysages du quotidien.

Dans son apprentissage de la santé, Mark trouva un plaisir particulier à partir de temps à autre, sac au dos, marcher pendant quelques jours dans les montagnes suisses ou françaises proches de Genève où il habitait. Il jeûnait, dormait à la belle étoile, buvait l'eau des torrents et marchait avec son sac à dos en répétant comme un mantra : "Chaque pas est en train de dissoudre un peu plus ma négativité" et "Je suis un avec la nature et la nature est un avec moi". Pour lui ces randonnées furent l'essence de la médecine douce, le chemin qui mène à la guérison en douceur, la découverte de l'épuration du corps qui conduit à une nouvelle confiance envers la vie. Peu à peu ce sentiment extraordinaire et puissant d'unité avec la nature le délivra de l'illusion de la séparation et de la solitude. Il retrouva sa joie d'enfant pour admirer le lever du soleil, le vol d'un papIllon ou la chanson silencieuse d'une fleur des bois. Il revenait de ces expéditions épuré, heureux, léger, plein d'envie de continuer son parcours d'apprenti-santé.

Pour apprendre à créer une relation positive avec lui-même et avec les autres, Mark prit part à des stages où on lui enseigna comment faire sortir de son corps toutes les colères qu'il avait accumulées en lui dès la petite enfance contre ses parents, la société et lui-même, en criant, en pleurant, en se roulant par terre comme un enfant furieux. Dans le cadre d'un groupe thérapeutique, il se dressa en face de son père pour lui dire qu'il ne le laisserait plus le dominer et lui imposer ses carcans mentaux et émotionnels. En un mot, il fit tout ce qu'il n'avait pas pu faire et se délivra de toutes ces situations passées vécues dans l'impuissance et la rage non exprimée.

De temps à autre, il se remettait à boire, fumer et manger n'importe quoi avec ses copains de rock. Mais, après quelques jours, sentant son bien-être s'évaporer et ses symptômes revenir, il se remettait sur le chemin du pèlerin et pratiquait assidûment les lavements intestinaux, les massages et auto-massages, la visualisation et la lecture des livres fondamentaux de naturopathie et de psychologie. Il suivit des stages de développement personnel et fit des séjours dans les prestigieuses écoles de santé des USA comme l'lnstitut Hippocrate de West Palm Beach et de San Diego. Il y rencontra de nombreux séropositifs et malades du sida qui étaient sur le chemin de la guérison et commença à se plonger dans la littérature consacrée au sida. Son esprit scientifique (il était aussi inventeur et avait déposé des brevets sur ses découvertes) voulait tout savoir sur cette maladie et comprendre les querelles d'écoles qui secouaient le monde médical. Quand il constata la rigueur intellectuelle des "dissidents du sida" (on appelle ainsi les scientifiques qui refusent le dogme officiel virus HIV = sida = mort) il fut enthousiasmé et correspondit directement avec plusieurs d'entre eux. L'importance de leurs conclusions lui sautait aux yeux : le sida n'était pas une maladie infectieuse et épidémique, c'était le produit d'un mode de vie destructeur de l'immunité. Pour le guérir, il ne s'agit pas d'attendre en macérant dans sa peur que la science médicale mette au point un médicament ou un vaccin miracle, il faut devenir "immunitairement éveillé", sortir des habitudes d'autodestruction pour vivre de manière holistique et consciente. Mark se mit aussi en relation avec tous les groupes qui, dans le monde, refusent les dogmes officiels et apportent des informations positives à ceux qui veulent vivre. Il commença à traduire de l'anglais au français des textes importants et à les publier dans son dossier "Sida, l'apprentissage" ou son journal "L'Apprenti Sage". Il déclara dans des conférences que le sigle sida signifiait désormais pour lui "Source Intérieure de Développement Acquis" et créa un des premiers sites Internet francophone sur ce sujet. Sa vie se construisit avec une alternance de périodes-convivialité, avec rock'n roll, cigarettes, bières et copains et de périodes-santé, avec jeûne ou graines germées, pratique intensive de toutes les méthodes de régénération ou stage de mise en forme. Un jour, en conférence, pour parler de l'expérience de Mark, j'ai trouvé l'image suivante : imaginons que la santé parfaite corresponde à l'altitude de mille mètres. La maladie grave se situe vers trois cents mètres et l'altitude-zéro c'est la mort. Mark, comme beaucoup d'autres survivants du sida, a commencé son processus de guérison alors qu'il était aux environs de cinquante ou cent mètres d'altitude, en train de descendre rapidement vers la tombe. Il s'est élevé, par des expériences-santé successives, jusqu'à mille mètres, puis il a alterné les moments de vie sociale, pendant lesquels il vit "comme tout le monde" mais descend peu à peu jusqu'à sept ou huit cents mètres d'altitude, et les moments de régénération où il regagne les mille mètres. Souvent, pour Mark, ces périodes de revitalisation ont correspondu à ses expéditions dans les montagnes. C'est ce qui m'a inspiré cette image, qui montre que la santé n'est pas une vie d'ascète qui ne mange plus jamais au restaurant, ne fait jamais la fête et vit dans une sorte de "monastère de la vie saine". Non, la santé est une dynamique du changement, une alternance de modes de vie qui permet de toujours apprécier le plaisir du changement et de ne pas se fossiliser dans des habitudes, quelles qu'elles soient. Notre immunité est un "hymne à l'unité" qui supporte très bien un peu de toxines de temps en temps ! Quand les toxines s'accumulent en trop grande quantité pour notre corps, il nous le fait savoir par des symptômes de mal-être. Si nous n'écoutons pas ces signaux d'alarme, alors surviennent les maladies aiguës. Si nous les bâillonnons à coup de médicaments chimiques, alors apparaissent les maladies chroniques. Comment avons-nous pu oublier ces lois de la vie qui sont aussi logiques qu'universelles !

Depuis quelques années, Mark a trouvé, pour donner ses conférences, un allié de poids, le docteur Etienne de Harven, qui, après avoir été anatomo-pathologiste et spécialiste de microscopie électronique aux U.S.A et au Canada, jouit d'une paisible retraite dans le sud de la France. Ce brillant scientifique, connu pour ses recherches sur les rétrovirus, fait partie des chercheurs dissidents. Il affirme :

1. Il n'y a aucune preuve que le sida soit une maladie infectieuse, transmissible sexuellement et de caractère épidémique.

2. Les tests de la dite séropositivité étant non spécifiques devraient être immédiatement interrompus, de même que la prescription de médicaments toxiques.

3. L'existence même du virus HIV doit être sérieusement mise en doute.

4. Ces conclusions représentent un message très optimiste car il y a manifestement moyen de guérir le sida autrement, sans prendre le risque d'administrer des médicaments de haute toxicité et d'indication scientifiquement douteuse.

5. Dans l'orthodoxie actuelle du sida, la recherche est exclusivement centrée sur le virus HIV. Si ce virus (si tant est qu'il existe vraiment !), n'est pas la cause du sida, il n'est probablement pas excessif de dire que, actuellement, il n'y a aucune recherche officielle poursuivant directement l'étude des causes du sida.

6. Ne pensez pas que les opinions que j'exprime ici sont celles d'un dissident isolé. Il y a de par le monde des milliers de dissidents qui pensent comme moi sur tout ce qui apparaîtra un jour comme la page la plus noire de l'histoire de la médecine.

Demandez à Mark Griffiths l'importante documentation qu'il a collectée. (Association Mark Griffiths, F-11190 LA SERPENT; ou consultez son site Internet (<<htpp ://perso. wanadoo.fr/sidasante/>>) qui est une véritable encyclopédie d'une autre manière de voir le sida. Vous y rencontrerez, par le texte ou par l'image, ces milliers d'ex-malades qui maintenant vivent en pleine santé, délivrés des illusions collectives, et ces centaines de chercheurs dissidents qui remettent en question les dogmes officiels et auxquels le journaliste français Renaud Russeil a consacré une passionnante enquête ayant duré plusieurs années et qu'il relate dans "Enquête sur le sida, les vérités muselées".

Voici un texte que j'ai écrit pour répondre à l'angoisse d'un ami séropositif, texte qui a été photocopié et distribué à des milliers de gens, traduit en plusieurs langues et publié par des journaux alternatifs :

Cher ami,

Tu viens d'apprendre que tu es séropositif. Le médecin t’a expliqué que tu avais attrapé le virus HIV et que tu risquais de voir, d'ici quelques mois ou quelques années, se développer les symptômes du sida, maladie censée être inévitablement mortelle puisque la science médicale n'a pas encore trouvé de vaccin ou de médicament efficace pour la guérir. Néanmoins, par une surveillance attentive et par des traitements de chimiothérapie permanents, nous pourrons peut-être retarder l'apparition de la maladie.

Tu es rentré chez toi, terrorisé, passant du désespoir à la rage, révolté contre la vie et contre Dieu. Tu as eu l'impression de tomber dans un trou noir. Tu m'as appelé au secours.

Pour te répondre j'écris cette lettre non seulement en tant que médecin, ce médecin généraliste que je suis depuis trente ans, mais aussi en tant qu'ami touché par ta détresse. J'aimerais partager avec toi ce que j'ai appris au fil des années et qui va probablement te surprendre. Je te demande de me lire calmement, jusqu'au bout, même si certains de mes propos te bouleversent et font se lézarder les murs de la citadelle des idées reçues. Avant de commencer je vais te dire quelle est ma motivation pour t'écrire : mon but est simplement de partager avec toi ce que j'ai appris, ce que j'ai compris, en toute spontanéité. Je ne vais pas te dire la vérité, mais ma vérité, dans l'espoir qu'elle t’aide à trouver ta vérité. En la trouvant, en écoutant ta voix intérieure, celle qui résonne tout au fond de toi, tu vas pouvoir apprendre à ne plus être soumis aux influences d'autrui. Tu vas sentir ce qui te correspond et te délivrer de la peur et du doute.

Être séropositif te place devant un choix : soit tu vis dans l'anxiété permanente, guettant les premiers signes d'apparition des symptômes de la maladie qui, inexorablement, rongera ta vie et te tuera, soit tu utilises cette situation comme un tremplin pour passer de l'état de séropositif à celui de POSITIF tout court, c'est-à-dire de quelqu'un qui a compris comment positiver sa vie tout entière.

Il faut savoir qu'il y a deux écoles de pensée en présence : les partisans du virus pensent que "cette méchante petite bête " est la cause de l'immunodéficience alors que ceux qui croient aux grandes médecines traditionnelles affirment que " le virus n'est rien, c'est le terrain qui est tout " Ils pensent que c'est le marécage qui attire le moustique et pas le moustique qui crée le marécage ! Comme le disait Hippocrate, il y a plus de deux mille cinq cents ans : "Toutes les maladies ne sont que la conséquence de nos habitudes de vie déséquilibrées" Nous sommes responsables de ce qui nous arrive. Le sida n'est que la conséquence d'un mode de vie immuno-destructeur.

Tu dois savoir aussi qu'être séropositif ne veut pas dire avoir le sida. Cela veut seulement dire qu'on trouve dans ton sang des anticorps contre le virus HIV De plus, personne n'a jamais apporté la preuve que c'est bel et bien ce virus qui produit la destruction du système immunitaire ! Il y a même un groupe dissident anglais qui offre une prime de plusieurs milliers de dollars à celui qui fournira le travail scientifique capable de confirmer cette hypothèse. Depuis plusieurs années personne n'a pu gagner ce prix ! "L'hypothèse du virus relève de la science-fiction" affirme le professeur Duesberg, de l'Université de Berkeley en Californie. Il a déclaré : "Si l'hypothèse du virus comme cause du sida avait permis de sauver ne serait-ce qu'une vie, je serais le premier à y souscrire, mais cette hypothèse a éloigné les chercheurs du vrai problème, à savoir le mode de vie immuno-destructeur qui mène au sida". Duesberg a résumé sa pensée dans une formule lapidaire: "le problème n'est pas le virus qui est sur la seringue mais la drogue qui est dedans !". Avec de nombreux autres chercheurs, dont un Prix Nobel, il a mis en évidence que c'est un mode de vie toxique (les drogues en étant l'un des exemples les plus frappants) qui mène au sida et non la présence du virus HIV

Il faut que tu lises les écrits des scientifiques dissidents : tu seras abasourdi par la clarté et le bon sens de ces savants. Tu comprendras alors que les propos du médecin qui t'a terrorisé ne sont que les dogmes d'une église médicale qui fait preuve d'un obscurantisme comparable à celui des prêtres du Moyen âge qui forçaient tous leurs contemporains à affirmer que la terre était plate sous peine de passer sur les bûchers de l'inquisition !

Tous les malades du sida ne meurent pas. Il y a de nombreux survivants, qui ont passé de l'état de victime à celui de vainqueur. L'important c'est que tu te délivres de cette vision étroite qui donne tout pouvoir à des tests médicaux pour empoisonner ta vie en y distillant le venin de la peur. Il n'y a rien de plus immuno-destructeur que la peur. En apprenant à gérer ta santé, à équilibrer ta vie physique, émotionnelle, mentale et spirituelle, tu vas entreprendre une passionnante aventure qui va faire de toi un individu responsable, délivré de l'ignorance et des influences d'autrui. Tu vas prendre ta vie en main et comprendre que, pour ne pas être malade, il s'agit d'apprendre à gérer ta santé !La meilleure assurance maladie qui soit c'est de te connaître et de savoir comment veiller à ton équilibre personnel. En lisant quelques livres tu verras quels sont les facteurs qui détruisent l'immunité physique et psychique et ceux qui la stimulent. Tu apprendras donc à vivre d'une façon immunologiste et plus jamais tu ne te laisseras impressionner par ceux qui, eux-mêmes victimes de la peur, la propagent autour d'eux. Tu découvriras qu'il y a des groupes de séropositifs qui ont appris à s'entraider et à se soutenir pour découvrir ensemble les moyens qui permettent de vivre dans la paix, la gaieté et la santé.

Rappelle-toi que ce qui t'arrive constitue un cadeau de la vie. Si tu oses sortir des pièges du conformisme et progresser i sur la route de la santé totale, tu rejoindras la légion de ceux qui ont appris à vivre au positif. Comment les reconnaître ?Ce sont des passionnés de la vie. Ils aiment ce qu'ils font et font ce qu'ils aiment. Ils s'occupent avec sensibilité et délicatesse de leur corps physique, le nourrissant d’aliments de qualité et lui donnant assez d'exercice physique et de repos. Ils ont appris à ne plus garder à l'intérieur d'eux-mêmes les émotions négatives que sont la peur, la colère, le jugement, la frustration et la rancune. Ils savent se défouler intensément mais sans faire de mal à autrui. Mentalement ils sont ouverts et réceptifs. Ils ne craignent pas de se remettre en question. On peut même dire qu'ils adorent l'art de la remise en question ! Ils savent que la sagesse se développe en s'ouvrant constamment à des idées nouvelles. Ils sont en contact, par leur intuition profonde, avec leur Moi supérieur, leur être de lumière. Cela leur donne une véritable indépendance. Ils n'ont en effet plus besoin d'obéir aveuglément à autrui Ils savent s'informer à plusieurs sources différentes pour ensuite aller à l'intérieur d'eux-mêmes, par la relaxation et la méditation, pour trouver le chemin qui leur correspond vraiment. Ils utilisent leur imagination non plus pour se faire peur avec toutes les catastrophes qui pourraient leur arriver mais pour créer des rêves positifs et les matérialiser de plus en plus rapidement. Ils sont joyeux, gais, plein d'amour et d'humour, enthousiastes et chaleureux. Leurs propos sont empreints d'émerveillement et de reconnaissance pour tout ce que la vie leur apporte.

Cher ami, tu as le choix : vivre dans la peur du sida et peu à peu t'auto-détruire ou te délivrer des carcans de ton éducation et commencer une vie nouvelle, une vie que tu crées à chaque instant par des pensées positives, des émotions positives, des actes positifs. Je te souhaite de devenir un être positif, responsable, conscient et heureux de partager avec les autres ta lumière et ta santé.

Extrait de " Artisans de leur miracle " du Docteur Christian Tal Schaller avec la collaboration de Maître Johanne Razanamahay © 2001, Editions Vivez Soleil.


RETOUR À MARK RETOUR Á L'INDEX CONTACTS COMMANDES et DONATIONS NOS PUBLICATIONS