Pensez grand et agissez vite ! S.V.P. laissez de côté le rôle de victime et devenez les héros que vous êtes !

Stefan LANKA, virologiste allemand.

Depuis le début des années 80, il est clair pour tout immunologiste, et surtout ni plus ni moins pour le Dr Anthony Fauci, qui est à la tête des recherches sur le Sida aux États Unis et qui a publié dans les années 70 des articles à ce sujet, que des périodes de stress prolongé sont préjudiciables pour la santé et peuvent même être mortels. Dans de telles conditions, un excès d'hormones produites à cause du stress provoque que les globules blancs (spécialement ceux qui apparaissent dans les tests de CD4), quittent le courant sanguin et se logent dans la moëlle osseuse. Si le stress persiste, le corps perd sa capacité de récupération et les maladies ont la voie libre. Les cellules macrophages, qui routinièrement digèrent et recyclent le presque inconcevable nombre d'un billion de cellules mortes chaque jour (à peu près 1% de toutes les cellules du corps), deviennent incapables de faire leur travail adéquatement, car des réactions inflamatoires se déclenchent, créant de dangereux radicaux oxydants tels que les cellules macrophages ne peuvent plus maintenir les infections sous contrôle.

Ce phénomène spécifique du stress mortel peut être observé dans l'usage conscient qu'en font les indiens arborigènes d'Australie, chez qui la peine majeure qui puisse être appliquée à un individu est précisément l'otracisme, puisque d'être séparé de son clan le ménera à la mort.

Pseudo-virologie

De la même façon, une personne qui intériorise la sentence de mort qu' officiellement signifie un résultat positif au test du "sida", ne fait pas autre chose que de permettre à sa psyché d'être sapé. Alors elle est attrapée dans la stressante et potentiellement fatale panique induite par les actions des autres qui oeuvrent à leur propre fin. Pour cette intériorisation, il était nécessaire d'élaborer un test d'anticorps convaincant. Qui a cru à cette boite de pandore? De pseudo-virologues qui utilisaient conventionellement des procédés apparament scientifiques et qui par le passé avaient déjà exploité la peur et la panique patonnés par les politiques d'États durant "la guerre du cancer" initiée par Nixon en 1971. Les faits se désagrégèrent avec une telle rapidité depuis les années 70, qu'il est assez facile d'oublier la répartition du scénario. cependant, c'était les mêmes qui étaient derrière "Guignol" et qui tiraient les mêmes marionettes. C'est clair et facilement démontrable cocumentairement. Il fut clair même alors, qu'il n'y avait pas de virus causant le cancer et que les rétrovirus supposés responsables n'existaient même pas. Comment cela arriva-t-il?

Modes et convenances.

Un coup d'oeil, même superficiel, à la biologie moléculaire révèle que, au lieu de faits, ce que l'on y trouve, ce sont des modèles et des hypothèses. Comme des mites autour de la lueur d'une ampoule, les opportunistes sont attirés par les théories à la mode, qui les enrichissent, les rendent célèbres et puissants. Cela ne devrait alors pas surprendre, que sans perdre de temps, David Baltimore en 1970 ait sauté dans le train de la transcriptase inverse et en 1975 se trouve célébré comme son co-découvreur et récompensé comme demi prix Nobel. Avec Fauci, il continua le jeux du plus ignoble et misérable papier "scientifique" dans "la guerre du Sida". Ce que co-découvrit Baltimore en 1970 fut simplement le phénomène de transcripstase inverse de l'ARN en ADN. Du fait que celà s'emboitait parfaitement au récent concept d'alors (préalablement concentré artificiellement) de séquences virales endogènes, le modèle de rétrovirus a put naître. L'activité de l'enzyme transcripstase inverse découverte récemment fut bientôt trouvée dans toute substance vivante, démontrant ainsi que sa seule présence n'était pas une évidence de virus. Ceci fit aussi exploser le "dogme central" de la biologie moléculaire qui insistait que le courant d'information génétique pouvait produire de l'ARN mais non l'inverse. Les rétrovirus furent postulés pour expliquer "la carcinogénèse" dans les cultures de laboratoires. Il s'agissait d'une hypothèse sur-exagérée qu'aux environs de 1977 il résulta impossible de continuer à soutenir en apprenant que la transcriptase inverse était un processus commun. Puisqu'il n'existe aucun rétrovirus, le rétrovirus "VIH" ne peut donc pas non plus exister. Mais en 1982-83 il y avait besoin d'un artifice qui puisse expliquer l'apparente disparition d'un type de globules blancs particuliers provoqués par le stress. Ce fut l'occasion cette fois pour Luc Montagnier, un opportuniste français dont la servilité (après un litige prolongé) finit par lui devenir rentable. Avec son complice gagnant du prix Lasker, Robert Gallo, dans son dit "test d'anticorps" ne démontra rien d'autre que l'existence de protéines du stress produites dans le corps sous les conditions décrites ci-dessus et dans le tube d'essais quand les cellules sont soumises à une pression selon un procédé particulier choisi à cet effet.

Le test du "Sida".

Les protéines qu'ils ont utilisées pour le test du "Sida" et qu'ils vendirent ensuite au public comme s'ils étaient d'origine virale sont seulement le résultat (bio) logique des globules blancs soumis à un stress utilisé en laboratoire. Ceci explique en passant, pourquoi ont des résultats positifs principalement ceux d'entre les groupes à risque qui ont été:
a) soumise à un stress immunologique et toxique, ou
b) en contact immunologique avec certaines protéines par une autre source.
Le" VIH", qui n'a jamais été isolé ni identifié, dont les protéines n'ont jamais été prouvé exister (comme cela se fait avec d'autres virus), est une invention de l'imagination, un artifice visant à renforcer l'exploitation de la panique collective.
En conséquence, le test du "Sida" n'a aucun pouvoir de prédiction. Il n'a jamais été bénéfiquement sain, effectivement, vu les effets dévastateurs pour le système immunitaire que provoque sa sentence de mort une fois intériorisée.

Tuer avec gentillesse.

Il faut être conscient de tout ceci afin de questionner et guérir les maladies définissant le "Sida" et les problèmes psychologiques qui y sont liés. Les dissidents du "Sida" ont tenté d'apporter des explications alternatives, mais ce faisant, ils n'ont réussi qu'à renforcer le concept "Sida". Maintenant ils sont en passe d'être remplacés par des analystes du "Sida", qui nous l'espérons pourront démasquer le problème du "Sida". Mais bien sûr, seulement avec votre aide, celle des affectés.
Le grand problème n'est pas constitué par les fameux scientifiques complaisants- les Montagniers, Baltimores, Fauci, Weisses et Gallo de ce monde - des maîtres politiques, mais ceux qui, pour assurer leur propre pouvoir politique et économique, corrompt le désir humanitaire d'aider. On peut voir de toutes parts ou ont menées de telles perversité: lamentations qu'il n'y ait pas de sortie de ces crises globales sans que se produisent inévitablement désastre et catastrophes. Si quelqu'un croit ou se laisse impressionner par tout celà, il finit par tomber immédiatement dans le piège de la panique.
Si l'on pense au plus de cent milles études scientifiques écrites à propos d'un virus qui n'existe pas et aux hordes de chercheurs qui le fabriquent il est clair qu'il y a suffisament de capacités et de pouvoir cérébral qui devrait être disponible pour résoudre quelques uns des très réels problèmes que le monde doit affronter, sans avoir recours à la brutalité ou à la violence institutionelle ou à la discrimination minoritaire et raciale ou aux assassinats de masse. Et sans SIDA.

Penser grand et agir vite.

Vous, les suffisament malchanceux pour avoir été diagnostiqués d'anticorps, vous êtes ceux qui sont chargés sur leurs épaules, du fardeau de l'actuel désastre nommé SIDA. S'il vous plaît, unissez vos forces. Ne consentissez pas à être détroussés ou corrompus, mais usez de votre énergie pour surmonter le SIDA (Stress pour Induire le Disfonctionnement Artificiellement). Le futur est maintenant entre vos mains (et têtes). Ne perdez pas votre temps. Demandez à propos du virus, exigez de voir des micrographies du VIH isolé, ou une quelconque preuve directe de ses protéines et de son ARN ou ADN, et même si les rétrovirus existent vraiment... Découvrez qui bouge les ficelles derrière le CDC, l'EIS, LE NIH, au Capitoll Hil et autres endroits. C'est eux qui vous ont amenés au drame du Sida à force d'insister comme les jeteurs de sort avec leurs sortilèges. Alors seulement vous oeuvrerez pour votre propre bénéfice.
Allez de l'avant avec cela, démontez le Sida et finalement libérez ce qu'il y a de meilleur dans l'effort humain. N'ayez pas peur: vous pouvez le faire. Vous avez la force, l'assurance nécessaire en vous même et l'imagination.
Laissez de côté le rôle de victime et transformez vous en héros que vous êtes déjà, puisque vous tentez de vivre au positif et que vous savez ce que cela signifie. Soyez vraiment positifs! Commencez par poser des questions à ceux qui propagent les pronostics officiels à propos du Sida. Accusez le gouvernement. Faites des pétitions au Parlement sur la question s'il existe ou non un VIH, comme cela a été fait en Allemagne. Exigez que l'on vous montre des évidences. Réclamez des photos du virus isolé. Et n'oubliez pas de demander à propos de la toxicité des médicaments, spécialement les sulfonamides (Bactrim, Septrim). Demandez, renseignez-vous, interrogez, importunez en demandant des réponses à ceux qui diffusent la prétendue existence du virus. Pensez grand et agissez rapidement, maintenant.

Soyez prêts

Pour anticiper la prévisible fulmination de la part des défenseurs de l'existence du VIH, je vous demande d'urgence de lire mes écrits scientifiques- entre autres- qui ont été publiés en Grande Bretagne par la revue Continuum. Lisez mes correspondances avec le ministre de la justice, qui est en train d'essayer de cacher la vérité à propos du sang contaminé de la ville de Göttingen. Vous trouverez tous les détails nécessaires pour ceux que la briéveté de cet article aurait laissé "sur leur faim".
Extrait de Continuum, vol 3, n 6.
Traduction Sylvie Cousseau, 1999.

Lecture recommandée :
VIH - Artefact ou réalité de Stefan Lanka


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