Bonnes raisons pour de bonnes personnes de questionner le SIDA.

 

Le SIDA n'est pas une maladie

Le SIDA est une nouvelle catégorie de 30 maladies familières telles qu’infection au candida, tuberculose, diarrhée, certaines formes de cancer et pneumonie. Ces trente maladies ont toutes des causes bien connues et des moyens de traitement bien distincts et séparés du virus VIH, et aucune de ces maladies ne se présente que dans le cas de la séropositivité. Vu que le SIDA est une catégorie et non pas une maladie, la définition du SIDA peut changer d'un pays à l'autre. En fait, par définition canadienne, plus de 180'000 américains diagnostiqués avec le SIDA n'auraient pas le SIDA s'ils déménageaient au Canada. Des études ont démontré que lorsque des personnes diagnostiquées avec le "SIDA" sont traitées selon leurs problèmes actuels de santé au moyen de thérapies non-toxiques et non basées sur le traitement du virus VIH, la guérison et un bon état de santé continuel sont possibles.

Le virus VIH n'a pas été prouvé être la cause du SIDA

Bien que plus d'argent a été dépensé pour l'étude du VIH que pour aucun autre virus jamais étudié dans l'histoire, il n'y a toujours pas d'évidence scientifique qui prouve que le virus VIH est la cause du SIDA. En fait, le VIH a été déclaré être la cause du SIDA avant qu'une vraie recherche sur le virus VIH n'aie été commencée. Vu que le VIH est un rétrovirus, un genre de virus qui n'a pas l'aptitude nécessaire à tuer des cellules pour créer une maladie, de plus en plus de chercheurs se posent la question pourquoi le VIH a été le seul centre d'attention dans la recherche, la prévention et le traitement du SIDA.

Le test de séropositivité ne teste pas pour le VIH

Les tests de séropositivité ne détectent pas le VIH, le virus supposé être la cause du SIDA. Ils recherchent des anticorps avec certaines protéines qui correspondent au virus VIH, mais qui correspondent aussi à bien d'autres anticorps. Un grand nombre d'anticorps créés en réponse à plus de 60 conditions différentes : herpès, hépatite, grippe, vaccinations, malaria et grossesse, peuvent être mépris pour des anticorps du virus VIH. Cela veut dire que des gens en bonne santé qui n'ont jamais été exposés au virus VIH peuvent être diagnostiqués séropositifs par le test de séropositivité. Et même si ce test de séropositivité détecte des anticorps du virus VIH, tester positif ne signifie toujours pas être infecté par le virus VIH. Seul un test qui a été vérifié par un standard d'or de l'isolation du virus peut dire de manière précise si une personne qui possède des anticorps a en fait aussi le virus. Ce standard d'or de précision n'a jamais été établi pour le test de la séropositivité ou pour les nouveaux tests de la force virale. En fait, la force virale n'a pas été approuvée par la FDA (Office du Contrôle Pharmaceutique et Alimentaire) comme moyen de diagnostic et les fabricants même du test déclarent : "la force virale n'a pas été destinée à être utilisé comme test de dépistage de la séropositivité ou comme test de diagnostic pour confirmer la présence d'une infection par le virus VIH.

Les cas de séropositivité ne sont pas à la hausse

Selon les experts du SIDA au gouvernement, le nombre d'américains déclarés séropositifs n'a pas augmenté depuis que le test de la séropositivité devint usage commun en 1985. En fait, ces chiffres baissent alors que les nouveaux cas de maladie vénérienne comme la syphilis ou la gonorrhée ont augmenté. Durant la période dite de l'épidémie du SIDA, plus de 15 millions d'américains ont été diagnostiqués avec la blennorragie ou la syphilis, alors que le nombre officiel de personnes séropositives aux Etats-Unis a chuté de 1.5 millions à 750'000.

Tout le monde n'est pas à risque

94 % des cas de SIDA diagnostiqués aux Etats-Unis se rapporte à des gens faisant partie de groupes particuliers dits "à risque élevé" qui ne reflètent guère la population générale. Chaque année, le nombre de personnes mortes par accidents de voiture est plus élevé que ceux qui sont morts par le SIDA et chaque année trois fois plus de personnes meurent d'une crise cardiaque que du SIDA. Alors que le SIDA est dit extrêmement contagieux, aucun cas de SIDA n'a été reporté dans la littérature médicale contracté par contact professionnel et ceci parmi les employés des services médicaux tels que chirurgiens, dentistes, paramédicaux et techniciens aux urgences médicales ; les gens le plus à risque. L'année passée, sur 26 millions d'adolescents américains, moins de 300 furent diagnostiqués avec le SIDA alors que plus de 1000 jeunes américains ont en fait eu une crise cardiaque.

La plupart des déclarations faites par les media sont fausses.

De récents rapports au sujet de l'augmentation de cas de SIDA parmi les minorités ethniques américaines est un exemple de données populaires sur le SIDA sans fondement. Selon le Centre de Contrôle des Maladies aux Etats-Unis (CDC), le nombre de cas de SIDA parmi les personnes de couleur a diminué régulièrement depuis au moins 1996.

L'Afrique n'est pas détruite par le SIDA

Alors que l'on estime qu'en Afrique du Sud, le nouvel épicentre du SIDA, quatre million de personnes sont infectées par le virus VIH, seuls 12,825 cas de SIDA y ont été reportés. Le continent africain a plus que le double de la population des Etats-Unis mais en à peu près le même nombre total de cas de SIDA. Les rapports d’actualité donnants d'autres chiffres sont basés sur des extrapolations qui n'ont que peu à voir avec la réalité. Une récente estimation de l'ONU déclare que les gens au Kenya meurent du SIDA au rythme d'une personne toutes les trois minutes. Si ces données étaient vraies, on aurait plus de morts au Kenya en une année que le nombre total de personnes diagnostiquées avec le SIDA durant toute la période de l'épidémie.

Le déclin du SIDA a précédé les nouvelles thérapies de drogue

Le nombre de cas de SIDA s'éleva vers son sommet en 1991 et monta en dramatiquement en flèche en 1993 lorsque la définition officielle du SIDA fut modifiée en y ajoutant d'autres maladies et séropositifs vivant en bonne santé. Lorsque ces changements furent adoptés, le nombre de cas de SIDA doubla au cours d'une seule nuit, mais depuis, a diminué chaque année dans chaque groupe à risque. Depuis 1993, plus de la moitié des gens diagnostiqués avec le SIDA ne sont pas malades.

Les cas de décès dus au SIDA ont commencé à diminuer au niveau national en 1994, deux ans avant que les nouveaux médicaments, les "Cocktails du SIDA" furent mis à disposition pour usage général. Aujourd'hui, les experts du SIDA reconnaissent que seule une minorité des Américains séropositifs prend ces nouvelles drogues - moins de 10% selon certains experts - alors que les rapports d'actualité reconnaissent aussi que ces nouvelles drogues échouent dans 50% des cas.

Cette information est présentée par :

Alive & Well (Vivant en Bonne Santé), une organisation basée sur le non-profit, centre alternatif du SIDA pour la recherche, l'éducation et le travail en groupe fondé par des gens séropositifs qui ont appris à vivre en santé sans recours aux drogues pour le SIDA et sans avoir peur de tomber malade. Notre travail questionne le fait que la séropositivité conduit au SIDA, basé sur un nombre de plus en plus élevé de données scientifiques, médicales et d'épidémiologie. Nous explorons des approches non toxiques pour éliminer la suppression du système immunitaire et promouvoir la prise de conscience de faits affirmant la vie pour les gens séropositifs, les gens au service de la santé publique et tous citoyens au monde concernés par ce sujet. Notre travail est soutenu financièrement par des donations individuelles, et contrairement à la plupart des autres organisations du SIDA, nous ne recherchons pas ou n'acceptons aucune aide financière des compagnies pharmaceutiques, du gouvernement américain ou de tout autre entité qui pourrait limiter l'accès d'information factuelle au public concernant le virus VIH, le SIDA ou la santé générale.

Alive & Well fait partie d'un réseau grandissant d'organisations supportées par la Fondation Américaine Alternative du SIDA qui comprend "Alive & Well" au Mexique, "AIDS Liberation Africa" La Libération du SIDA en Afrique, Femmes s'opposant à la médecine obligatoire et les étudiants réévaluant le SIDA.

Sources d'information :

National Institute of Allergy and Infectious Diseases, 1996 Reports: The Relationship Between HIV and AIDS; US centers for Disease Control 1999: HIV/AIDS Surveillance Report Year-end Edition 1998; Laboratory Centers for Disease Control : Health Canada 1998 HIV and AIDS in Canada; Inventing the AIDS Virus by Peter Duesberg, PhD 1993 Regnery Publishing Kary Mullis, PhD in Penthouse Magazine October 1998; The Group for the Scientific Reappraisal of the HIV/AIDS Hypothesis 877/256-6406; pour une liste complète de références des facteurs connus qui créent des résultats positifs pour la séropositivité, appelez, écrivez ou envoyez un e-mail à Alive & Well , le SIDA Alternatif;Roche Amplicor PCR Diagnostics HIV.1 Monitor test kit pamphlet (viral load); James Curran, 1985 The Epidemiology of AIDS: Current Status and Future Prospects, Science 229:1352-1357; NBC Nightly News March 10, 1995; US Centers for Disease Control 1997: STD Surveillance p 65-66; US Centers for Disease Control HIV/AIDS Surveillance Reports November 25, 1998 Kenya Slow to Face up to AIDS Scourge by Rosalind Russell; LA County Dept. of Health Services, January 15,2000.


Alive & Well — Centre Alternatif du SIDA offrant de nouvelles perspectives sur le virus VIH, le SIDA et la Santé
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Website : http://www.aliveandwell.org/
Email : christine@aliveandwell.org

Christine Maggiore est l’auteur du livre " Et si tout ce que vous avez appris à propos du SIDA était faux ? ". Ce livre est aujourd’hui à sa 4ème édition et Christine cherche un éditeur et traducteur pour une version française. Contactez-la (anglais ou italien) aux coordonnées ci-dessus, ou l’A.M.G. ici en France. (Notre livret " SIDA ? Première maladie virtuelle de l’histoire ! " est l’équivalent français de son livre).


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