Voilà déjà 10 ans et plus que nous oeuvrons, chacun avec nos propres moyens, pour diffuser nos informations sur ce que l'on peut définir comme 'l'approche alternative, différente, complémentaire, du sida et autres maladies réputées graves'.

 Des caractéristiques communes se retrouvent en totalité ou partie dans nos démarches et initiatives :
 

•  nous avons fait progressivement le constat de la multiplication récente (depuis 20 ans environ) d'effets pervers dangereux et cumulatifs dans les méthodes thérapeutiques dominantes
•  nous estimons que le système de santé actuel en général et son discours étiologique en particulier sont assujettis à des impératifs économistes de rentabilité et de compétition globalement pathogènes
• nous considérons dans la causalité du sida moins le VIH que le terrain de l'être séropositif ou sidéen et son histoire, et dans les affections infectieuses, moins l'élément microbiologique que les conditions immunodépressives macroscopiques
• nous n'accordons qu'une valeur relative au cloisonnement en diverses catégories dégénératives (sida, cancer, tuberculose, Alzheimer, etc)  mais donnons la plus grande place aux conditions vitales déterminantes de l'être dans son milieu
• nous avons participé personnellement à (ou supervisé) des pratiques de santé alternatives peu ou pas aliénantes, avec peu ou pas d'effets secondaires néfastes
• nous avons réalisé des expérimentations ou applications qui ont apporté une contribution probante à nos intuitions ou recherches en matière d'immunologie active
• nous donnons la priorité à l'idée directrice de l'état de bonne santé, à la conservation du potentiel immunitaire et à la prévention en général, bien avant le déni irresponsable des risques et la thérapeutique réparatrice
• nous ne pouvons concevoir un être réductible à de seuls organes ou fonctions assimilable à une mécanique ou un ordinateur, mais un indissociable tout physique, sensible, sexuel, affectif, social, émotionnel, spirituel,..
• nous sommes conscients de la disproportion de forces en matière de moyens médiatiques de masse, et des résistances ou hostilités aux niveaux économiques, culturels et éducatifs
• nous soupçonnons que sida et affections 'de civilisation', confrontant l'homme et les règnes animal et végétal, voire minéral, participent d'une brusque transformation contemporaine, inéluctable et nécessaire, en forme de mutation planétaire globale.

 Nous proposons à tous les chercheurs-découvreurs qui se reconnaissent dans ces caractéristiques de se retrouver et oeuvrer ensemble en réseau.

 Pour une première étape constitutive, contacter : Gian LAURENS, LOG, PARIS.