Une nouvelle définition médicale (CD4 idiopathiques + lymphocytopenie des cellules T) a été créée pour éviter le fait que le SIDA survient en l'absence du VIH.

Le VIH ne satisfait pas les postulats de Koch, qui sont les critères qui doivent être remplis pour prouver qu'un microbe entraine une maladie

Les drogues anti-VIH, les inhibiteurs de protéase inclus, détruisent les cellules T

Le Septrin (aussi appelé Spetra, Bactrim, Co-trixomazole) et les drogues anti-VIH détruisent les mitochondries

Le champignon de la PCP (pneumonie Pneumocystose Carinii) devient résistant au Septrin

Les drogues récréationnelle (héroïne, poppers, crystal met, ecstasy, cocaïne) réduisent le nombre de CD4

Les patients séropositifs récupèrent après qu'ils aient arrêté de prendre des drogues récréatives ou des médicaments contre le SIDA

Les drogues récréationnelles entrainent les maladies du SIDA

Les médicaments anti-VIH entrainent les maladies du SIDA

Les médicaments anti-VIH inhibent les enzymes humains

Les africains séropositifs en situation de grande pauvreté en Ouganda et sans accès aux médicaments anti-VIH vivent aussi longtemps que les occidentaux qui prennent des médicaments anti-VIH.

Il n'y a pas d'études comparatives sur la survie des séronégatifs et celle des séropositifs hétérosexuels ne prenant pas de cocktail anti-VIH et n'ayant pas d'autres facteurs de risque

Seul 38 % des séropositifs en bonne santé sur une longue période ont pris de l'AZT ou d'autres nucléosides apparentés pendant au moins quelques temps, comparé aux 94 % de ceux qui ont atteint le stade SIDA.

Les baisses dans le nombre de cas de SIDA ont précédé l'introduction des nouveaux traitements (décembre 1995) de 3 années pleines.

Les médicaments anti-VIH ont des effets anti-microbiens

L'introduction de l'AZT (1987) n'a pas entrainé un déclin dans le taux de mortalité du SIDA

Dans le seul essai thérapeutique à long terme d'AZT (l'étude concorde) 172 participants sont morts : 169 en prenant de l'AZT, 3 en prenant un placebo

Les drogues analogues des nucléosides suppriment/détruisent la moele osseuse, là où toutes les cellules du système immunitaire naissent

Les enfant séropositifs nés de mères traitées à l'AZT ont une plus grande probabilité de déveloper une maladie grave ou une immunosuppression sévère

Les "pauses thérapeutiques" (les arrêts de prise de médicaments) entrainent la récupération de la réponse immunitaire

L'AZT entraine la même augmentation passagère du nombre de CD4 chez les séronégatifs que chez les séropositifs

Il n'y a pas d'études montrant que le SIDA survient en l'absence de toutes les autres causes (causes hors VIH) possibles.

Les séropositifs en bonne santé sur le long terme, ne prenant pas de drogues ou de médicaments, sont presque totalement ignorés par les chercheurs du SIDA.

En dehors des premières études (frauduleuses) sur l'AZT et l'étude Concorde, aucune étude d'efficacité ne compare médicaments contre placebo.

Il y a des causes qui n'ont rien à voir avec le VIH et bien documentées pour chacune des maladies du SIDA

L'incidence des maladies caractéristiques du SIDA parmi les occidentaux non consommateurs de drogues ou de médicaments n'excède pas les niveaux nationaux

Les premiers cas de SIDA ont coincidé avec les effets cumulatifs d'usages intensifs sans précédent de nitrites volatiles (poppers) comme aphrodisiaques dont la publicité était dirigé exclusivement vers les homosexuels

Le SIDA peut être traité efficacement sans médicaments anti-VIH

En moyenne, la charge virale surrestime le VIH infectieux d'un facteur 60.000

Même la méthode PCR qui peut détecter une cellule infectée sur 100000 trouve très peu d'ADN de VIH chez les séropositifs

Le VIH n'a pas pu être cultivé à partir de personnes ayant une charge virale détectable

Le VIH n'a jamais été isolé correctement

Après l'investissement de nombreux milliards de dollars en effort de recherche sur 20 ans, les scientifiques du VIH ne peuvent toujours pas expliquer comment le VIH entraine le SIDA

Après l'investissement de nombreux milliards de dollars en effort de recherche sur 20 ans, il n'y a pas de vaccin et pas de traitement permettant de guérir le SIDA. Il n'y a que des médicaments toxiques

Il n'y a pas eu d'augmentation dans la séroprévalance du VIH en dehors des groupes à risque en Angleterre, en dépit des taux records de maladies sexuellement transmissibles et d'adolescentes enceintes

L'ADN du VIH s'est avéré constant à partir de la date de séroconverstion, mais le nombre de CD4 baissait continuellement.

Le nombre de CD4 baisse et la charge virale monte durant la prise de médicaments anti-VIH

L'AZT est à peine triphosphorylaté par le corps. Du coup, il n'est pas possible qu'il ait un effet anti-VIH (triphosporylé, ça signifie que 3 molécules d'acides phosporique sont venues se fixer sur l'AZT)

L'AZT n'a pas d'effet sur l'ADN du VIH, mais fait baisser la charge virale (l'ARN du VIH)

Les recherches faites durant les années 1970 ont montré que les retrovirus ne tuent pas les cellules

La probabilité de transmission hétérosexuelle du VIH s'est avérée être très basse (1 pour 1000 rapports)

Les test d'anticorps du VIH donnent des faux positifs répétés et des séroréversions peuvent survenir

Les test de VIH sont sensibles au réactions non spécifiques des anticorps

Les tests VIH impliquent un taux de dilution arbitraire. Tout le monde réagit positif (à cause des réactions non spécifiques des anticorps) si le sérum n'est pas dilué

Toutes les protéines utilisées dans les tests de VIH sont associées avec des gènes rétroviraux qui sont trouvés naturellement chez tous les humains (endogènes)

Les rétrovirus endogènes peuvent entrainer des réponses immunitaires chez les humains

Pour aucune des protéines du VIH testées on a pu prouver qu'elles appartenaient au VIH

Il y a plus de 60 conditions différentes, incluant la grossesse, qui sont connues pour générer des faux positifs aux tests de VIH

Les notices des tests Elisa, Western Blot et PCR contiennent toutes des avertissements impliquant que leur capacité de détection du VIH est nulle et non avenue

Les critères de séropositivité utilisés dans les test d'anticorps varient entre les pays et entre les organisations à l'intérieur d'un même pays, et peuvent produire des résultats indéterminés (ni positifs, ni négatifs)

Les amorces PCR de la charge virale se sont révélées être non spécifiques pour les séquences génétiques du "VIH"

Le test de charge virale donne des faux négatifs

Le test de charge virale donne des faux positifs

Le test de charge virale a une faible reproductibilité

Des mesures directes ne montrent pas de correlation entre la charge virale et le nombre de CD4

De nombreuses conditions entrainent des faibles nombres de CD4

Un nombre de CD4 entre 200 et 300 a été observé chez des séronégatifs en bonne santé

Il n'y a pas d'études comparant les variations de cellules CD4 chez des séropositifs ne prenant pas de médicaments (et n'ayant pas de facteurs de risque) et chez des séronégatifs

Selon les officiels du SIDA, une "épidémie" hétérosexuelle de SIDA d'origine africaine a débuté en occident comme une "épidémie" homosexuelle

En 1985, l'incidence du VIH en Afrique du Sud était confinée aux homosexuels qui avaient été aux USA et à ceux qui avait eu des relations sexuelles avec eux

On a découvert que les Etats-Unis sont la nation où la promiscuité sexuelle est la plus forte du monde

Les capotes (faites de polyisoprene) ont des trous beaucoup plus larges que le VIH

La réduction de l'incidence des MST en Afrique n'a pas réduit le taux de séroconversion au VIH  *

Seule une proportion minime d'africains a vraiment été testée pour le VIH, les estimations de séroprévalence sont dérivées d'extrapolations basées sur des échantillons non représentatifs venant des maternités

En Afrique, un seul test ELISA positif, ou même un seul test rapide (salive/urine) est considéré comme une preuve de l'infection par le VIH. La "preuve" dans les pays développés requiert une série de tests

La séroprévalance au VIH s'est révélée bien plus basse dans les prisons Sud Africaines que dans la population générale

La grande majorité des "patients sidéens" africains ont réagit négatifs au test

Dans la Zambie "ravagée par le SIDA", depuis 1980, la population a augmenté et même le taux de croissance de la population a augmenté

Dans l'Afrique du Sud "ravagée par le SIDA", de nombreux fabricants de cercueils soit ont des ventes en berne soit se sont retirés du marché

Le nombre total de cas de SIDA en Afrique est constitué presque entièrement de cas estimés plutot que de cas connus et enregistrés

Le PCP est la maladie caractérisant le SIDA typique chez les occidentaux adultes, mais est presque entièrement limitée aux jeunes enfants en Afrique

Il n'y a pas d'épidémie hétérosexuelle de SIDA dans les pays occidentaux

Les utilisateurs de drogues intraveineuses qui utilisaient régulièrement le programme d'échange de seringues risquaient de 10,2 à 22,9 fois plus de réagir positifs au test VIH que ceux qui ne l'utilisaient pas

Les primates "progressent" vers le stade SIDA (SIDAS) bien plus rapidement que les humains

Le SIV n'entraine pas le SIDAS dans les populations de primates sauvages

La séroprévalance du SIV est trop faible dans les populations de primates sauvages pour être responsable de la résistance au SIV dans ces populations

On a constaté que la prévalence de la séropositivité pour le SIV dans une population de primates qui n'ont pas été exposés au SIV était très basse

Depuis le début des années 1930, des milliers d'européens ont reçu des greffes venant de chimpanzés et n'ont pas développé de SIDA

Une étude ougandaise a montré que la séropositivité au VIH n'indiquait pas une nouvelle cause de mort, mais seulement une baisse de la mortalité chez les séronégatifs

Un millier de membres du personnel médical contracte l'hépatite accidentellement par des piqures. Et pourtant, encore en1998, il n'y avait pas de cas documentés de chirurgiens ou de techniciens ou personnels paramédicaux de médecine d'urgence développant le SIDA ou même devenant séropositifs, à cause d'une exposition liées à leur travail

Tous les patients sidéens ont des taux de glutathion bas. Or, celui-ci est l'antioxydant intracellulaire soluble le plus important

L'antioxydant N-acetyl cisteine inhibe la "réplication du VIH"

Des espèces réagissant à l'oxygène sont impliquées dans l'induction de l'expression du VIH et de la mort des cellules

Un traitement avec des agents oxydants et mitogènes *** est nécessaire pour "l'isolement" du VIH à partir d'une culture de cellules

Du sperme déposé dans l'anus peut être immunosupresseur, mitogène, oxydant et un stimulant de la production d'antigène

Un nombre de cellules T bas s'est révélé survenir avant la séroconversion au VIH et prédire la séroconversion

Des séquences génétiques comme celle du VIH ont été trouvées dans du génome humain venant de personnes négatives

Les épitopes ** de protéines régulatrices du VIH, tat, rev, et nef, sont exprimées dans le tissu humain

Des stress toxiques intracellulaires peuvent créer des séquences génétiques nouvelles

Le VIH a montré plus de 40 % de variation dans une séquence (103) génétique (protéase) essentielle

On a découvert que les transfusions de protéines étrangères sont immunosuppressives

Les hémophiles peuvent avoir de l'hypergammaglobulinémie, ce qui peut causer des résultats faussement positifs aux tests VIH

Jusqu'à 99,9 % des génomes du VIH dans le plasma peuvent être défectueux

La mortalité des hémophiles a commencé à augmenter exactement la même année que celle où ils ont commencé à prendre de l'AZT

Le risque de développer le SIDA de la part des hémophiles sous AZT était 4,5 fois plus important, et la mortalité 2,4 fois supérieure, que pour ceux qui n'étaient pas traités

Le VIH infectieux (un virus délicat) ne survit pas au processus de préparation du Facteur VIII

Les théoriciens du VIH ont fait des prédictions incorrectes tout au long de l'ère VIH

Les corticostéroïdes et le cortisol endogène suppriment les réponses immunitaires cellulaires et le cortisol détruit les cellules T immatures

L'immunité cellulaire efficace repose sur la défense donnée par le gaz oyde nitrique, voir par exemple Eur. J. Immunol. 2002, 32(5) : 1455-63

Le SIDA se répend de façon non exponentielle, contrairement à une maladie infectieuse