Official Satellite Meeting
Presentation by
Eleni Papadopulos et al.

Dept. Med. Phys. Royal Perth Hospital, Australia
Dia 14

Dans l'interview que Montagnier a donné au journaliste français Djamel Tahi à l'institut Pasteur en juillet 1997, il lui a été demandé pourquoi il n'avait pas employé des lignées de cellules immortelles. Sa réponse fut que dans de telles lignées de cellules immortelles telles que MT2, MT4 (et donc Hut-78) "vous avez un mélange de VIH et de HTLV. C'est une vraie soupe."

Mais Montagnier a pu également avoir eu une soupe. Il y a une très bonne raison à ça. Bien avant l'époque du SIDA, les retrovirologues ont appris qu'il y avait une différence significative entre les retrovirus et tous les autres virus. À la différence des autres virus, des retrovirus, particulièrement dans une culture et dans les conditions employées par Montagnier, peuvent apparaitre même si les cellules ne sont pas infectées au départ ou si aucun retrovirus n'est introduit de l'extérieur. Ces retrovirus étaient devenus connus sous le nom de retrovirus endogènes.

Une des meilleures évidences de l'existence des retrovirus endogènes vient des tissus reproducteurs, dont le placenta et le cordon ombilical. En employant un cordon ombilical, Montagnier a eu une soupe d'une saveur différente, mais toujours une soupe.

   


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