Compilation de documents sur les tests VIH

 

 

1) Document : LE SIDA EST LE RESULTAT D’UN MODE DE VIE DANS LEQUEL DE NOMBREUX FACTEURS SONT NUISIBLES POUR LA SANTE

 

Holub met en doute la validité du test ELISA destiné à reconnaître le virus HIV:

En ce qui concerne les tests développés pour diagnostiquer le sida, l'on s'aperçoit que de nombreuses études ont été faites sans groupe de contrôle, ce qui est scientifiquement inadmissible. Un test comme le test ELISA présente de très nombreux faux positifs. Une étude récente (1987) montre qu'il donne un pourcentage de 97 à 99% de faux positifs dans des groupes qui ne sont pas des groupes à risque. En fait, il n'est rien d'autre qu'un test détectant des maladies chroniques; il peut en effet être positif dans toute une série d'affections comme la leucémie, l'hypogammaglobulinémie, le lupus erythémateux, la myasthénie, la sclérose en plaques, certaines tumeurs, les pathologies neurologiques liées à des troubles nutritionnels, la tuberculose, le paludisme et 35 autres infections communes sans compter la plupart des maladies auto-immunes. Le test montre des faux positifs si l'échantillon de sang a été chauffé, gelé ou stocké pendant une longue durée. Dans l'une des études, 95% des positifs ne contenaient aucun virus. Le Western Blot donne également un très grand nombre de faux positifs. Malgré ces faits, la plupart des gens font confiance à ces tests sans se rendre compte qu'ils sont loin d'être fiables.

Pour Holub la conclusion est simple: les tests de diagnostic du sida ne sont pas valables.

 

------------------------

 

2) Document : IL EST POSSIBLE DE PASSER DE SEROPOSITIF A SERIEUXPOSITIF

 

LES TESTS ENTRAINENT DES RESULTATS CONTRADICTOIRES DE FAUX-POSITIFS.

Examinez avec nous quelques études publiées antérieurement qui remettent en question le diagnostic de la séroposivité du test Elisa et vous verrez qu'elles présentent une majorité de faux-positifs par rapport à certains tests plus élaborés comme le Western Blot.4

- En Russie en 1991, le test Elisa donna lieu à 30 000 tests positifs dont seuls 66 furent confirmés par le Western Blot.

Si les études russes présentent pour vous peu de fiabilité, tournons-nous alors vers les études américaines d'où proviennent, soit-disant, les meilleurs travaux scientifiques.

- 83% des Aspirants à l'Armée des Etats-Unis détectés "positifs" par le test Elisa (10 000/12 000) s'avèrent être de faux positifs.
. ( Burke et al. New Eng.J. Med. 319, 961-964, 1988).

- 131 homosexuels de sexe masculin sont, à plusieurs reprises, "positifs" par Elisa et "négatifs" par Western Blot.
. (Phar, J., et al., 1992, J. AIDS 5, 988-992).

- 7 donneurs de sang sur 10, traités par un vaccin du virus de la influenza en 1991, deviennent positifs par Elisa et de faux-positifs par le Western Blot.
. (Mac Kenzie, W.R., et al., 1992, JAMA 268, 1015-1017).

LE TEST WESTERN BLOT.(WB) CONSIDERE FIABLE A 100%, PRESENTE DES REACTIONS CROISEES ET N'EST DONC PAS NON PLUS VALABLE.

Les tests d'anticorps les plus perfectionnés Western Blot.(WB) sont eux aussi remis en question pour leur imperfection. Dans de nombreuses situations normales ou pathologiques, mais indépendantes du virus VIH, ils ne mesurent qu'un taux de protéine élevée. Mais malgré tout, on les considère comme les preuves irréfutables de la séroposivité- et donc d'une soit-disante infection par le virus...
D'autre part, les résultats de ce Test pour un même échantillon de sang envoyé aux meilleurs laboratoires sont contradictoires, comme l'a démontré le Dr. Brialy lors de sa conférence à Omnimed.5

LE TEST WESTERN BLOT.(WB) PRESENTE, DANS LES SITUATIONS SUIVANTES, DES REACTIONS CROISEES PRODUISANT DONC DES ERREURS DANS LES RESULTATS:

- pour une personne sur 150 sans problèmes de santé.
- pour 13% des personnes présentant des verrues.
- pour 41% des patients atteints de sclérose multiple.
- dans de fortes expositions au sperme par voie anale.
- dans une malnutrition importante.
- dans le cas d'une arthrite rhumatoïde.
- dans le cas de tuberculose.
- dans le cas de malaria ou de paludisme.
- en général dans le cas de stimulations antigènes répétés.

Synthèse des travaux d'Eleni Eleopulous, Biophysicienne au Royal Perth Hospital et de d'autres collaborateurs des services d'urgence et du département de pathologie de l'Université d'Australie.6

5 : Revue Biotechnology. Vol 11 nº6. Juin 1993.
6 : Travail traduit dans la Revue de Médecines Complémentaires nº36. p.145.

 

------------------------

 

3) Document : VIH-SIDA : L'effondrement d'un mythe

 

On affirme qu'un test VIH est fiable à 98 %. Acceptons l'assertion par amour de la rhétorique. Dans notre culture obsédée par les chiffres, les quantités et les pourcentages, cela devrait rassurer la plupart des personnes. Mais que peut donc signifier cette vérité statistique dans la vie d'un individu ?

Dans un échantillon représentatif de la population américaine, I'estimation de la fréquence de l'infection VIH est de 0,04 %, soit 4 cas pour 10000 personnes. Si l'on teste donc 100 000 américains, on peut s'attendre à trouver parmi eux 40 cas réels de personnes infectées par Ie VIH. Cela signifie aussi que le reste, soit 99 960 personnes, serait diagnostiqué séronégatives. Cependant comme le test est fiable à 98 %, il se peut qu'il se trompe pour 2 % de ces 99 960 personnes en les identifiant comme séropositives, soit 1,999 d'entre elles !

Ainsi, pour cet exemple, parmi les 2 039 qui seraient révélées séropositives, seules 40 le seraient réellement. Cela signifie que 98 % de ceux qui ont été testés séropositifs ne le sont pas du tout. Lin d'autres mots, ce test déclaré fiable à 98 % et ainsi agréé pour être commercialisé est en fait imprécis à 98 %, du point de vue des personnes qu'il aura révélé séropositives.

Imaginez les sorts des 1999 cas sains, informés faussement de leur contamination par le VIH et qui, à force d'intimidations, ou bien séduits par l'establishment médical, prennent de l'AZT ou d'autres médicaments toxiques pour "retarder" la manifestation de la maladie. Mis à part le coût exorbitant du traitement (et donc l'énorme bénéfice pour le secteur médical) combien, d'après vous, survivront à l'épreuve ? Peu, je vous l'assure.

 

------------------------

 

4) Document : LE YIN ET LE YANG DU VIH

 

Les "anticorps VIH"

Il existe deux tests d'usage courant visant à détecter les "anticorps au VIH" : le test Elisa et le Western Blot (WB). Elisa provoque un changement de couleur quand un mélange de protéines supposées provenir du "VIH" réagit avec des anticorps présents dans le sérum du patient. Dans le WB, les "protéines VIH" sont d’abord étalées séparément sur toute la longueur d’un ruban de nitrocellulose. Cela permet de visualiser les réactions individuelles à la dizaine de "protéines VIH" sous forme d’une série de "bandes" sombres. Le test WB est utilisé pour "confirmer" des tests Elisa plusieurs fois positifs, parce que les experts sont d’accord pour dire que le test Elisa "surréagit"; en d’autres termes, il est insuffisamment spécifique.(voir note n°4 en fin d'article)

Avant 1987, une seule bande WB "spécifique du VIH" était considérée comme preuve de l’infection par le VIH. Cependant, comme 15 à 25 % des individus non à risque et en bonne santé présentaient des bandes WB "spécifiques du VIH",(119,120) il devint nécessaire d'exiger des bandes supplémentaires pour déclarer un WB positif, faute de quoi plus d'une personne sur sept eût été diagnostiquée comme infectée par le VIH. (Ceci n'a pas empêché de maintenir jusqu'en 1990 l'exigence d'une seule bande dans les investigations menées dans le cadre de l'étude de cohorte dite MACS précitée(121)). Par ailleurs, bien que le SIDA ait commencé à décliner en Europe et aux Etats-Unis dès 1987,(122,123) cette tendance fut masquée et apparut même inversée par la pratique consistant à modifier sa définition et à augmenter le nombre de maladies (et il ne s'agit parfois que de simples anomalies de laboratoire !) supposées caractériser le SIDA. C'est ainsi que la première définition CDC, celle de 1982, fut modifiée en 1985, puis en 1987, puis à nouveau en 1993.

Ces modifications eurent pour effet de perpétuer une corrélation apparente entre les "anticorps VIH" et le "SIDA" dans les groupes à risque, tandis les taux de séropositivité en dehors de ces groupes restait faible. Cela fut encore accentué ultérieurement du fait que l’on évita de tester en dehors des groupes à risque. Cependant, quand de telles études furent faites avec 89 547 spécimens sanguins anonymement testés, provenant de patients méticuleusement choisis pour n’être pas à risque face au SIDA dans 26 hôpitaux américains, jusqu'à 21,7 % des hommes et 7,8 % des femmes âgés de 25 à 44 ans se révélèrent séropositifs avec le test WB.(124) (On estime qu’environ 1% des hommes sont homosexuels. Autre bizarrerie : dans les cinq hôpitaux ayant donné le plus de tests positifs, le tiers de ces tests provenaient de femmes alors que la proportion d'hommes atteints du SIDA est de très loin supérieure à trois fois celle des femmes.)

Encore mieux, l’US Consortium for Retrovirus Serology Standardization rapporta que 127 (10 %) des 1 306 individus à "faible risque" face au SIDA, incluant même des donneurs de sang, avaient un test positif selon les critères américains WB "les plus sévères". (119) Ainsi, la corrélation entre "anticorps VIH" et SIDA, que les experts considèrent comme la seule preuve que le VIH cause le SIDA, n’est pas une statistique reflétant l’activité naturelle et débridée d’un virus, mais un artifice créé par l’homme. Non seulement une corrélation ne suffit jamais à prouver l'existence d'un lien de causalité, mais en plus, dans le cas du SIDA, la corrélation résulte d'un artifice, ce qui enlève toute valeur scientifique à une analyse qui la prendrait comme base.

L’un des aspects les plus bizarres de la théorie du VIH/SIDA est que les différents laboratoires, institutions et pays définissent différemment les jeux de bandes WB constituant un test positif. Par exemple, un test positif requiert un ensemble de quatre bandes si vous êtes en territoire australien. Aux Etats-Unis, deux ou trois bandes suffisent, qui peuvent inclure ou ne pas inclure les bandes requises en Australie. En Afrique, deux bandes suffisent. Cela signifie qu’une même personne testée le même jour dans trois villes différentes sera ou non infectée par le VIH selon la ville dans laquelle le test aura eu lieu. Si le diagnostic de l’infection par le VIH était une partie de poker, un flush exigerait cinq cartes de la même couleur dans un pays, mais seulement une ou deux ailleurs.

Un virus ne peut pas se comporter de cette manière. Et pourtant, selon le test VIH que l'on dit être spécifique à 99,999%,(125), il se comporte bien ainsi.

Aussi incompréhensible que cela puisse paraître, ce n'est pas tout. Ainsi, un Australien testé en Australie avec une ou deux bandes "spécifiques du VIH" ne sera pas déclaré infecté par le VIH.(101) Il faudrait tout de même parvenir à expliquer comment il est possible qu'un individu présente des bandes de réaction déclarées "spécifiques du VIH" alors qu'en même temps il est considéré comme non infecté par ce même VIH. Selon les experts, dans ce cas, ces bandes sont causées par des anticorps "non VIH" réagissant de façon croisée, c’est-à-dire par de "faux" anticorps, qui réagissent avec les protéines "VIH". Ceci signifie que l'on considère qu’un anticorps qui réagit avec une protéine particulière n’est pas nécessairement un anticorps spécifiquement généré par le système immunitaire en réponse à cette protéine.

L’Australian National HIV Reference Laboratory (NRL) reconnait que "la fausse réactivité est un phénomène courant et peut porter sur une ou plusieurs plusieurs bandes de protéines" (20 à 25 % des donneurs de sang déclarés séronégatifs présentent une ou plusieurs bandes au test WB).(120) Mais alors, argumente Eleopulos, si des anticorps "non VIH" réagissent avec "une ou plusieurs bandes de protéines", pourquoi pas avec quatre ou cinq, ou toutes les dix ? Sur quelle base les experts affirment-ils que certains anticorps sont "faux" et d’autres "vrais" ? Ou encore, quel raisonnement scientifique peut expliquer comment trois mêmes bandes ayant réagi avec de "faux" anticorps, sont tout à coup considérées comme ayant réagi avec de "vrais" anticorps par le simple fait qu'elles ne sont plus trois bandes mais quatre ? Sur quelles bases les experts affirment-ils qu’il existe de "vrais" anticorps VIH ? Si le voyageur australien se faisait tester aux Etats-Unis, où deux ou trois bandes suffisent pour poser le diagnostic de l’infection par le VIH, ses anticorps seraient-ils "faux" en Australie mais "vrais" dès que son avion atterrirait à Los Angeles ?

En 1994, on demanda au Dr Elizabeth Dax, directrice du NRL, comment elle justifiait les critères retenus par l'Australie pour déclarer un test WB positif et comment elle pouvait expliquer les variations que l'on constatait dans le monde.(28) Sa réponse (126) éluda ces questions et l'équipe de rédaction du Medical Journal of Australia se garda bien de publier la correspondance qui s'en suivit. Lorsque les mêmes questions furent à nouveau posées aux services du sénateur Chris Ellison, Ministre de l'Éducation de l'Orientation et de la Formation, la première question resta encore sans réponse, et les différences de critères entre l’Australie et l’Afrique furent justifiées par l’argument selon lequel, en Afrique, "la fausse réactivité est bien moins répandue qu’en Australie, de sorte que les critères d’interprétation pour définir la [vraie] positivité peuvent être moins stricts".(120)

Mais aucun scientifique ne peut faire une telle affirmation sans l'étayer par des données. Tous les tests d'anticorps sont sujets aux caprices des réactions croisées, et la seule manière de calculer les incidences des "vrais" et des "faux" anticorps est d’examiner minutieusement les réactions à ce que le test est censé mesurer, c’est-à-dire au VIH lui-même. L’isolement du VIH est donc absolument nécessaire pour déterminer la spécificité des anticorps, et cela doit être évidemment fait avant l’introduction du test en pratique clinique.

Et pourtant, le test WB bénéficie de la plus large diffusion et est considéré comme ce qu'il y a de mieux pour détecter le VIH (126) alors que ces données n’ont jamais été fournies par qui que ce soit. C'est une question que le NRL évite systématiquement d'aborder. À défaut, observons que (a) le NRL admet que des anticorps réagissant de façon croisée provoquent des réactions trompeuses dans le WB chez un quart des Australiens en bonne santé et que (b), contrairement aux Australiens, les Africains (tout comme les groupes à risque face au SIDA) sont exposés à une multitude d’agents infectieux produisant des myriades d’anticorps, chacun étant susceptible de réactions croisées. C'est donc en Afrique que la "fausse réactivité" sera la plus élevée et c'est donc là que les critères du WB devraient être les plus rigoureux. Si les "anticorps VIH" prouvent réellement qu’un tiers des adultes hétérosexuels, dans certains pays du centre et de l’est de l’Afrique, sont infectés par le VIH, "la vie dans ces pays doit être une partouze permanente".(39)

Si les protéines utilisées dans les tests Elisa et WB étaient des constituants uniques d’un rétrovirus exogène, et si un tel virus induisait des anticorps spécifiques, on ne devrait jamais trouver ces anticorps en l’absence de VIH. Or, en plus des circonstances mentionnées plus haut, il en existe de nombreuses autres où des anticorps réagissant avec des protéines "spécifiques du VIH" apparaissent là où les experts admettent qu’il n’y a pas de VIH. C’est le cas notamment des souris en bonne santé ayant reçu des injections de lymphocytes de souris également en bonne santé (127) ou d’extraits bactériens (V. Colizzi et al, communication personnelle). Le même phénomène est constaté dans le cas de transfusions de sang exempt de VIH (128) ou d'autotransfusion de sang irradié (129). De même, encore, on a retrouvé ces mêmes anticorps chez 72 chiens sur 144 testés à la clinique vétérinaire de Davis (Californie, Etats-Unis). (130) Il est en outre parfaitement connu que des anticorps aux microbes provoquant les maladies fongiques et mycobactériennes qui affectent 90% des malades du SIDA réagissent avec les protéines "spécifiques du VIH".(20,131)

Cette année, il a été rapporté que 35 % des patients souffrant de cirrhose biliaire primaire, 39 % des patients souffrant d’autres désordres biliaires, 29 % des patients souffrant de lupus, 60 % des patients souffrant d’hépatite B, 35 % des patients souffrant d’hépatite C (toutes maladies non-VIH et non-SIDA) ont des anticorps à la protéine considérée comme la plus spécifique du VIH, la p24. Jusqu’à 1990, un nombre inconnu des 4 954 homosexuels testés dans la MACS ont été diagnostiqués comme infectés par le VIH sur la base d’un anticorps à la protéine p24 "spécifique du VIH", c’est-à-dire sur la base d’une seule bande WB. Pourquoi tous les autres tests semblables ne prouvent-ils pas l’infection par le VIH? Pourquoi les homosexuels sont-ils déclarés infectés par un virus mortel avec la seule bande p24, alors que les patients atteints de maladies biliaires et hépatiques, avec la même bande, ne le sont pas ? Pourquoi les critères de l’infection par le VIH ont-ils été fixés moins rigoureusement pour les homosexuels ?

Tous les experts ès-VIH reconnaissent qu'il existe des réactions croisées dans les tests de dépistage du VIH. Ceci n'a pas empêché le Département de la Santé des Nouvelles Galles du Sud (Australie) de considérer que la détection d'anticorps au VIH chez quatre femmes constituait la preuve absolue de la transmission du VIH par un homosexuel lors d'une opération chirurgicale mineure en 1989. (133) Il n'y avait pourtant aucune preuve que l'homme était infecté à la date de l'opération ni que ces femmes aient été opérées à la suite de cet homme.

Cette position du Département de la Santé n'a pas d'équivalent dans le monde. Elle conduisit immédiatement à la constitution d’une commission spéciale du Royal Australasian College of Surgeons, qui écrivit à tous ses membres pour les inviter à donner leur avis. On aurait pu penser que la rareté de l’événement les inciterait à diligenter une enquête scientifique approfondie pour savoir si les "anticorps VIH" sont vraiment causés par l’infection due à un rétrovirus,(134) mais les membres du College se contentèrent d'entériner ces données comme preuve d’une infection croisée en notant seulement que "le mode de transmission était inconnu".(106, et voir note n°5 en fin d'article)

 

 

 

RETOUR Á TESTS
RETOUR Á L'INDEX